Les 20 pilotes de F1 sont apparus dans la version 2025 du générique de la F1, sur la musique iconique de Brian Tyler. Et comme promis, George Russell reprend sa célèbre pose en "T".
Il y a 22 h
Gabriel Bortoleto a réagi aux déclarations d'Helmut Marko à son sujet, l'expérimenté conseiller de Red Bull ayant considéré le jeune Brésilien comme pilote de seconde zone (de catégorie "B"). Fidèle à lui-même, le jeune Brésilien ne s'est pas laissé déstabiliser et entend faire ses preuves en piste.
Lors d'une apparition sur Servus TV, Marko s'est effectivement exprimé sur la nouvelle vague de pilotes en Formule 1 pour 2025. Malgré ses titres consécutifs en Formule 3 et Formule 2, Bortoleto n'a pas convaincu l'Autrichien, qui ne l'a pas classé parmi les talents les plus prometteurs.
Interrogé en marge du Grand Prix d'Australie, le rookie de chez Sauber a tenu une réponse posée, préférant laisser le temps et ses performances parler pour lui : "Je pense qu'Helmut est quelqu'un qui est en F1 depuis très longtemps."
"Il a fait venir de nombreux pilotes talentueux en Formule 1, mais il en a aussi fait venir d'autres qui ont échoué à s'y imposer. J'ai – pour être honnête – du respect pour lui et pour ce qu'il a accompli avec les pilotes qu'il a fait monter. Max Verstappen, pour moi, est l'un des plus grands de ce sport."
"Tout le monde a droit à son opinion. Nous vivons dans un monde libre. Il a la sienne sur moi. Mais je pense que j'ai prouvé que j'ai ma place en F1. J'ai gagné la F3 et la F2 en tant que rookie."
Conscient qu'aucune déclaration dans les médias ne fera changer Marko d'avis immédiatement, Bortoleto préfère répondre sur la piste. "Je vais lui prouver qu'il a tort avec le temps. Ce n'est qu'une question de temps. Rien de ce que je peux dire aux médias ne changera son opinion pour l'instant, parce qu'il parle, il parle..."
"La seule chose que je peux faire, c'est aller en piste et démontrer que son argument ne tient pas. Avec un peu de temps, j'espère qu'il finira par admettre : ‘OK, mon opinion n'était pas juste', et qu'il regrettera ce qu'il a dit."
"Mais j'ai déjà vécu cela par le passé. J'ai moi-même dit des choses que j'ai probablement regrettées ensuite. C'est normal. Je ne vais pas en faire toute une histoire."
Membre du programme de management de Fernando Alonso, Bortoleto peut compter sur le soutien du double champion du monde, qui a lui aussi été interrogé sur les propos de Marko.
"Je pense qu'Helmut doit défendre ses pilotes", a commenté Alonso, alors que Bortoleto a devancé l'espoir Red Bull Isack Hadjar pour le titre de F2 l'an dernier. "Je pense que les faits sont un peu plus forts que les paroles d'Helmut."
"Peut-être que cela se réfère à la F2 l'année dernière avec Isack et Gabriel. Ils ont fini 1er et 2e, ils ont tous les deux un talent incroyable et sont aujourd'hui en F1, ce qui est un excellent signe. On verra ce que l'avenir leur réserve."
"J'espère pour eux qu'ils auront une carrière longue et couronnée de succès, mais ce que Gabriel a fait, gagner la F3 et la F2 dès sa première saison… L'avenir nous le dira, mais je suis heureux et fier de Gabriel."
Habitué aux déclarations tranchantes, Helmut Marko n'a pas toujours eu tort dans ses jugements par le passé, et seul le temps dira si Gabriel Bortoleto peut s'imposer au plus haut niveau. Le jeune Brésilien, lui, se concentre sur l'essentiel : faire parler la poudre en piste.
Il y a 21 h
Jack Doohan revient sur l'importance de sa course à Abu Dhabi en 2024, qui lui a permis d'aborder sa première saison complète avec plus de confiance. Il explique que cette expérience l'a aidé à se préparer mentalement et à mieux comprendre le déroulement d'un week-end de Grand Prix en tant que titulaire.
"Oui, Abu Dhabi était important, honnêtement. Avant la course, j'étais nerveux. Et pour être franc, je pensais déjà à ce week-end à ce moment-là. Mon état d'esprit a beaucoup changé depuis. Avec tout ce temps pour digérer les choses, j'ai eu l'opportunité de me préparer et de me détendre par rapport à ce qui m'attend. Cela m'a beaucoup aidé."
Interrogé sur la pression liée à la présence de plusieurs pilotes prêts à prendre sa place (en particulier un certain Franco Colapinto), Doohan balaie les rumeurs et affirme qu'il ne se laisse pas perturber par les spéculations. Il rappelle que lorsqu'il était pilote de réserve, lui aussi convoitait un baquet, et que cette dynamique est inhérente à la Formule 1.
"J'ai un contrat pour au moins cette année, voire plus. Donc je me projette sur plusieurs Grands Prix à domicile. Et les incertitudes ? Pas besoin de s'en soucier. Je dois simplement performer chaque fois que je suis dans la voiture. Un pilote veut mon baquet ? Il y en a en réalité quatre maintenant, au cas où vous ne l'auriez pas remarqué. [...] Et moi aussi, quand j'étais pilote de réserve ces deux dernières années, je voulais leur place."
Il y a 20 h
Ferrari a partagé une image du volant de la F1 de Lewis Hamilton avec un message affiché sur l'écran : "The New Era Begins". Un clin d'œil à l'arrivée de Lewis Hamilton, qui a rejoint l'équipe en 2025.
L'attention portée au volant est tout sauf anodine. Hamilton est réputé pour son influence sur la conception des volants chez Mercedes, ajustant chaque détail à ses préférences.
L'adaptation des commandes de la Ferrari sera un des points clés de sa transition.
Il y a 18 h
La FIA a publié la carte version 2025 du circuit de l'Albert Park. Aucun changement n'est à à noter dans les zones DRS depuis 2024 sur le circuit australien.
Néanmoins, le circuit de l'Albert Park a subi plusieurs modifications avant le Grand Prix d'Australie 2025, principalement axées sur la sécurité et la visibilité. L'un des changements majeurs concerne le virage 6, où le vibreur à la sortie a été remplacé par un vibreur négatif, tandis que le gravier a été réintroduit jusqu'au niveau du vibreur à la sortie du virage 6 et à l'apex du virage 7. La barrière située sur le côté gauche du virage 6 a également été reprofilée pour améliorer la sécurité.
D'autres ajustements concernent le marquage au sol. La ligne de sortie des stands a été repeinte et mise en évidence en bleu, revenant ainsi à la configuration utilisée en 2018. Une ligne bleue a également été ajoutée derrière la ligne blanche à la sortie du virage 4. De plus, les lignes blanches ont été repositionnées aux sorties des virages 10 et 11, avec l'ajout d'une ligne bleue pour améliorer leur visibilité. Un marquage bleu a également été ajouté à la sortie du virage 12, ainsi qu'au niveau des lignes 1 et 2 de la voiture de sécurité pour mieux les distinguer.
Ces ajustements visent principalement à améliorer la sécurité en piste et la lisibilité des repères pour les pilotes.
Il y a 15 h
La Warner a publié la bande-annonce du film "F1", où Lewis Hamilton a pu être producteur et consultant.
Avec Brad Pitt dans le rôle de Sonny Hayes et Damson Idris dans celui de Joshua Pearce, il sera à retrouver en salles de cinéma le 25 juin 2025.
Il y a 13 h
Lando Norris a signé le meilleur temps de la première séance d'essais libres du Grand Prix d'Australie 2025, lançant ainsi la nouvelle saison de Formule 1 sur une note prometteuse pour McLaren. Le Britannique a devancé la Williams de Carlos Sainz et la Ferrari de Charles Leclerc, tandis qu'Ollie Bearman a été victime d'un petit accident.
Sous un ciel dégagé et des températures estivales à Melbourne, les vingt pilotes ont pris la piste dès les premières minutes. Parmi eux, plusieurs nouveaux venus en F1 faisaient leurs débuts officiels, notamment Liam Lawson chez Red Bull, Kimi Antonelli chez Mercedes, Jack Doohan chez Alpine, Isack Hadjar chez Racing Bulls, Gabriel Bortoleto chez Sauber et Bearman chez Haas.
La séance a connu une première interruption lorsque plusieurs pilotes ont projeté du gravier sur la trajectoire en passant par le virage 6, obligeant les commissaires à brandir un drapeau rouge pour nettoyer la piste. Avant cela, Leclerc avait signé le premier temps de référence en 1:17.880, légèrement devant George Russell. Mais avec l'apparition des pneus tendres après la reprise, les chronos ont rapidement évolué.
Max Verstappen a brièvement pris les commandes avec un tour en 1:17.696, avant que Sainz ne le détrône avec un 1:17.401. Mais alors que les améliorations se succédaient, Bearman a perdu le contrôle de sa Haas en sortie de la chicane des virages 9 et 10, percutant violemment le mur de béton et provoquant un second drapeau rouge. Le Britannique, indemne, a aussitôt exprimé sa déception à la radio.
Dans les dernières minutes, Norris a signé la meilleure performance en 1:17.252, devançant Sainz de 149 millièmes et Leclerc de 209 millièmes. Piastri a pris la quatrième place devant Verstappen, tandis qu'Alex Albon a confirmé la bonne forme de Williams en se classant sixième. Russell, Alonso, Hadjar et Stroll ont complété le top 10.
Lewis Hamilton, pour sa première séance officielle avec Ferrari, a terminé 12e après avoir signalé des difficultés à faire tourner la voiture ("struggling to turn the car"). Derrière lui, les rookies Doohan, Antonelli, Bortoleto et Lawson ont pris leurs marques, tandis que Gasly et Hülkenberg ont terminé en fond de classement. Sauber et Haas ont fermé la marche, avec Ocon et Bearman pointant à plus d'une seconde et demie du meilleur temps.
Il y a 2 h
Charles Leclerc a conclu la première journée du Grand Prix d'Australie en tête après avoir signé le meilleur temps de la deuxième séance d'essais libres. Le pilote Ferrari a devancé les McLaren d'Oscar Piastri et Lando Norris, confirmant une belle performance de son équipe.
Après la première séance dominée par Norris, les pilotes ont repris la piste à 16h00 heure locale, avec Gabriel Bortoleto (Sauber) ouvrant la marche. Ollie Bearman, en revanche, n'a pas pu participer après son accident en FP1, Haas étant toujours en train de réparer sa monoplace.
Dès le début de la séance, Norris a dû passer sur l'herbe à la sortie des stands pour éviter Liam Lawson, impatient de s'élancer. Peu après, Nico Hülkenberg a traversé un bac à gravier au virage 6, nécessitant une inspection du fond plat de sa Sauber, tandis que Pierre Gasly a également commis une excursion hors piste plus tard.
Ferrari a rapidement pris les devants avec Leclerc et Hamilton aux avant-postes en pneus médiums. Mais avec l'arrivée des pneus tendres, la hiérarchie a évolué : Yuki Tsunoda a brièvement placé sa Racing Bulls en tête avant d'être battu par Norris en 1:16.580.
Juste après la mi-séance, Leclerc a repris l'ascendant avec un chrono de 1:16.439, reléguant Hamilton à quatre dixièmes. Pendant ce temps, Max Verstappen est resté immobilisé au garage pour des ajustements de réglage, terminant finalement septième.
Leclerc a conservé la première place jusqu'au drapeau à damier, Piastri échouant à 0.124s et Norris à 0.141s. Tsunoda et son coéquipier Hadjar se sont illustrés en terminant quatrième et sixième, encadrant Hamilton. Verstappen a fini septième devant Hülkenberg, Stroll et Russell.
Williams a placé ses pilotes en 11e et 12e positions, Sainz et Albon réalisant des temps identiques. Alonso, Doohan et Gasly ont suivi, tandis qu'Antonelli, Lawson et Bortoleto ont complété le classement devant Ocon. Bearman a brièvement envisagé de rouler en fin de séance, mais n'a finalement pas pris la piste.
Il y a 2 h
Aston Martin a mis en service sa nouvelle soufflerie, située sur son campus technologique de Silverstone, marquant une étape clé avant le coup d'envoi de la saison 2025 de Formule 1.
L'équipement devient la soufflerie de référence du team auprès de la FIA et jouera un rôle dans le développement de l'AMR25, mais surtout dans la préparation du projet 2026, qui verra Aston Martin devenir une écurie d'usine à part entière.
Le bâtiment qui l'abrite affiche un volume de 60580 m³ et comprend également des installations de fabrication additive [équipements dédiés à l'impression 3D et aux technologies associées - cela permet de produire rapidement des pièces prototypes ou des éléments destinés aux modèles réduits utilisés en soufflerie, avec une grande précision et flexibilité] ainsi qu'un espace dédié aux modèles réduits à l'échelle 60 %, destinés aux essais en soufflerie. L'objectif : optimiser le développement aérodynamique et améliorer l'efficacité opérationnelle.
Andy Cowell, PDG et directeur de l'équipe, souligne l'importance de ce projet : "Merci à tous ceux qui ont contribué à la création de notre propre soufflerie sur le campus AMRTC. Réunir des partenaires externes et de nouvelles technologies internes dans des délais aussi serrés est impressionnant. Cette installation nous apporte des moyens inédits pour observer avec plus de précision la complexité des flux aérodynamiques d'une F1. Tout avoir sous le même toit est un avantage considérable dans notre transition vers un statut d'écurie d'usine en 2026."
Cette inauguration coïncide avec les premiers jours d'Adrian Newey chez Aston Martin. L'ingénieur de légende a officiellement commencé à travailler pour l'équipe le 3 mars. Une soufflerie flambant neuve, un maître de l'aérodynamique dans les bureaux : l'écurie de Silverstone aligne ses pions.
Il y a 2 h
James Vowles souligne l'impact positif de Carlos Sainz chez Williams. L'Espagnol apporte son expérience et sa méthodologie, aidant l'équipe à progresser sur le plan technique et organisationnel. Williams montre un bon rythme, mais Vowles reste réaliste sur la hiérarchie : l'objectif est de se rapprocher des top teams sans surestimer leur position actuelle.
"Sa capacité à communiquer sur ce qui se passe dans la voiture est fantastique, tout comme son aptitude à comprendre l'environnement de l'équipe et à l'emmener vers l'avant, à définir l'excellence et à élever notre niveau. C'est sa force."
Il y a 18 minutes
Frédéric Vasseur tempère les attentes autour de Ferrari après un début de week-end encourageant. Il rappelle que les conclusions hâtives en début de saison sont souvent trompeuses, et préfère attendre la qualif et la course avant de juger la hiérarchie réelle.
"On fait ce métier depuis des années, et on a toujours les mêmes questions après les EL1 de la première course."
Il se réjouit néanmoins de l'intégration rapide de Lewis Hamilton chez Ferrari, soulignant que le Britannique est pleinement engagé et concentré sur le travail avec l'équipe.
"Honnêtement, quand il est en briefing, il est pleinement concentré sur l'objectif et il sait parfaitement ce qu'il a à faire."
Il y a 17 minutes
Andy Cowell explique que la nouvelle soufflerie d'Aston Martin est un atout majeur pour le développement de l'écurie. L'équipe ne dépend plus de Mercedes pour cet aspect, ce qui améliore l'efficacité et la cohérence des développements aérodynamiques.
"Avoir tout sur un même site… Les aérodynamiciens n'ont même plus besoin de mettre un manteau pour aller en soufflerie maintenant !"
De plus, Adrian Newey est déjà focalisé sur la réglementation 2026 et travaille sur la meilleure approche pour maximiser les performances sous le nouveau cadre technique.
"Peut-être qu'une fois que nous aurons mieux compris notre voiture, ses forces et ses faiblesses sur les premières courses, il proposera quelques ajustements pour la monoplace 2025."
Il y a 17 minutes
Vasseur réagit aux propos de Charles Leclerc, qui a déclaré que devenir champion du monde était son obsession. Il préfère nuancer cette vision en expliquant que cette ambition est normale pour tout pilote de haut niveau, tout en rappelant que la saison sera longue.
"Je ne suis pas certain que ‘obsession' soit le bon mot, mais quand on fait ce métier, et que l'on court depuis l'âge de trois ans, soit 23 ans dans son cas, c'est normal d'avoir cet objectif."
Il y a 16 minutes
Les trois dirigeants des écuries Aston Martin (Andy Cowell), Williams (James Vowles) et Ferrari (Fred Vasseur) s'accordent à dire que le film F1 avec Brad Pitt aura un impact médiatique majeur, comparable à l'effet de Drive to Survive sur la popularité du sport. Ils s'attendent à ce que cela élargisse encore l'audience de la F1, notamment auprès d'un public plus jeune.
Vowles, Williams : "Netflix a été transformateur – et ce n'est pas juste parce qu'ils filment discrètement dans un coin. Ils ont vraiment changé notre sport."
Vasseur (Ferrari) : "Si on revient en 2018 ou 2019, la F1 n'était absolument pas dans le même état. Netflix nous a énormément aidés, et j'espère que ce film aura le même impact."
Il y a 15 minutes
Le trio Aston Martin (Andy Cowell), Williams (James Vowles) et Ferrari (Fred Vasseur) salue l'arrivée de Cadillac en F1, expliquant que la présence d'un constructeur américain est une excellente nouvelle pour le sport. Mais Vasseur rappelle que partir de zéro en F1 est un défi monumental, et que General Motors devra prouver sa solidité sur la durée.
Vasseur : "Pour moi, avoir un autre constructeur dans le championnat est une bonne nouvelle. C'est un constructeur américain, ce qui est aussi une bonne chose. Mais il est encore un peu tôt pour les considérer comme un constructeur à part entière."
James Vowles met en avant la puissance de la marque Cadillac, qui pourrait attirer de nouveaux sponsors et enrichir l'écosystème de la F1.
"C'est une grande marque, un grand constructeur, et il apportera des éléments que nous n'avons pas encore en F1."
Il y a 14 minutes
Vasseur minimise l'importance des premiers résultats de Hamilton, expliquant que son adaptation prendra du temps, et qu'il ne faut pas tirer de conclusions trop hâtives.
"Ce n'est pas qu'il doive être à la limite dès une séance, vous savez. Ce n'est pas une question de vitesse."
Lorsqu'on lui demande si Hamilton aura besoin de plusieurs courses pour être au niveau de Leclerc, il répond avec une pointe d'ironie en rappelant que Sainz n'était que P8 en essais libres l'an dernier avant de gagner la course.
"L'an dernier, Carlos était P8 ou P9 en essais libres, et il a gagné la course."
Il y a 14 minutes
James Vowles admet que Williams a accumulé du retard sur les infrastructures par rapport aux autres équipes, mais que l'écurie est sur une trajectoire d'investissement pour combler cet écart progressivement.
"Nous avons pris du retard il y a 15 ans, donc ce n'est pas une question récente. Nous investissons, tout comme Aston Martin et McLaren l'ont fait ces dernières années."
Il y a 13 minutes
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