Nicholas Latifi décroche son MBA, loin du tumulte de la F1

Près de trois ans après son dernier Grand Prix disputé à Abu Dhabi en novembre 2022, Nicholas Latifi a annoncé avoir obtenu son MBA à la London Business School. L'ancien pilote Williams s'était éloigné du monde de la F1 pour se concentrer…
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Il y a 23 h
WRC : Andrew Wheatley rejoint Hyundai comme directeur sportif

Hyundai Motorsport renforce son organisation en nommant Andrew Wheatley au poste de directeur sportif. Ancien de M-Sport Ford et récemment directeur du département "Road Sport" à la FIA, le Britannique apporte près de trente ans…
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Il y a 23 h
Russell et Antonelli confirmés chez Mercedes pour 2026

Le duo George Russell et Andrea Kimi Antonelli poursuivra l'aventure avec Mercedes en 2026. L'écurie de Brackley conserve ainsi son binôme issu de son programme junior, dans la continuité de la saison 2025.

Russell, vainqueur de cinq…
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Il y a 1 h
Russell prolonge chez Mercedes et vise 2026 avec ambition

George Russell arrive à la reconduction de son contrat avec Mercedes en position forte. Cette saison, il domine nettement son coéquipier Antonelli : sur les 18 Grands Prix disputés, Russell a terminé devant lui systématiquement et le total…
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Il y a 1 h
Antonelli confirmé pour 2026 après un rebond salué par Wolff

Kimi Antonelli conserve son rôle de pilote titulaire chez Mercedes pour 2026 après une saison de montagnes russes.

Ayant débuté fort (pole en Sprint à Miami, podium au Canada, où il est devenu parmi les plus jeunes à y parvenir), sa…
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Il y a 1 h

Pour le Grand Prix de Monaco 2024, Pirelli a une nouvelle fois sélectionné les trois composés de pneus les plus tendres disponibles cette année : le C3 en tant que pneu dur, le C4 comme pneu médium, et le C5 pour le pneu tendre. Cette sélection est typique des circuits urbains où la surface de la piste est particulièrement lisse, car elle est utilisée quotidiennement par des véhicules routiers. Par conséquent, les pneus doivent offrir un maximum d'adhérence.

À Monaco, les pneus subissent des forces parmi les plus faibles de la saison en raison de la vitesse moyenne très lente sur les 3,337 kilomètres du circuit, avec certains virages pris à moins de 50 km/h et seulement 30 % du tour passé à pleine puissance. Cependant, cette faible contrainte est compensée par le fait que, avec 78 tours à couvrir le dimanche, chaque phénomène pouvant influencer le comportement des pneus se produit bien plus fréquemment, en particulier en ce qui concerne l'énergie développée lors des phases de traction. Un autre élément à prendre en compte est le graining, qui pourrait apparaître de manière significative durant les premiers jours.

Sur un tracé où la marge d'erreur est quasiment nulle, un facteur clé pour améliorer les temps au tour est la confiance que les pilotes acquièrent progressivement, même s'ils connaissent bien le circuit. Ils doivent trouver les meilleures trajectoires, se rapprochant de plus en plus des barrières, souvent jusqu'à effleurer celles-ci avec les flancs des pneus. La maîtrise de cette technique, sans endommager la voiture, est cruciale pour obtenir une bonne position sur la grille de départ, essentielle dans une course où les dépassements sont quasiment impossibles, même lorsque l'écart de performance entre les voitures peut atteindre plusieurs secondes. La qualification sera encore plus critique cette année, alors que nous avons vu que l'ordre de départ se joue souvent à quelques millièmes de seconde.

Sur un circuit comme Monaco, l'apparition de la voiture de sécurité est presque inévitable, avec une probabilité moyenne de 77 %, soit presque deux interventions par course. Curieusement, la course de l'année dernière s'est déroulée sans aucune neutralisation. Il n'y a vraiment qu'une seule stratégie viable : un arrêt unique, en essayant de s'arrêter le plus tard possible pour profiter éventuellement de la voiture de sécurité et ainsi minimiser le temps perdu dans la voie des stands.
 Monaco 2024