Lando Norris portera bien le numéro 1 en 2026

Lando Norris a confirmé qu'il utilisera le numéro 1 en 2026, une décision qui peut surprendre à l'ère des numéros permanents mais qui reste un privilège réservé au champion du monde en titre. Fidèle depuis toujours au numéro 4, devenu une…
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Il y a 23 h
Pirelli dévoile les pneus F1 2026 et un nouveau design de flanc

Pirelli a présenté ce matin à Abou Dabi la nouvelle gamme de pneus qui accompagnera l'arrivée des monoplaces 2026, avec un design de flanc entièrement revu.

Pour la première fois depuis son retour comme fournisseur exclusif en 2011, le…
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Il y a 20 h
Les équipes concluent le test Pirelli à Yas Marina pour 2026

La saison 2025 s'est refermée par une dernière journée d'essais à Yas Marina, où les équipes ont pu tester l'intégralité de la gamme de pneus 2026 sur leurs "mule cars" (mulets), tandis que dix jeunes pilotes prenaient le volant des…
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Il y a 19 h

Pour le Grand Prix de Monaco 2024, Pirelli a une nouvelle fois sélectionné les trois composés de pneus les plus tendres disponibles cette année : le C3 en tant que pneu dur, le C4 comme pneu médium, et le C5 pour le pneu tendre. Cette sélection est typique des circuits urbains où la surface de la piste est particulièrement lisse, car elle est utilisée quotidiennement par des véhicules routiers. Par conséquent, les pneus doivent offrir un maximum d'adhérence.

À Monaco, les pneus subissent des forces parmi les plus faibles de la saison en raison de la vitesse moyenne très lente sur les 3,337 kilomètres du circuit, avec certains virages pris à moins de 50 km/h et seulement 30 % du tour passé à pleine puissance. Cependant, cette faible contrainte est compensée par le fait que, avec 78 tours à couvrir le dimanche, chaque phénomène pouvant influencer le comportement des pneus se produit bien plus fréquemment, en particulier en ce qui concerne l'énergie développée lors des phases de traction. Un autre élément à prendre en compte est le graining, qui pourrait apparaître de manière significative durant les premiers jours.

Sur un tracé où la marge d'erreur est quasiment nulle, un facteur clé pour améliorer les temps au tour est la confiance que les pilotes acquièrent progressivement, même s'ils connaissent bien le circuit. Ils doivent trouver les meilleures trajectoires, se rapprochant de plus en plus des barrières, souvent jusqu'à effleurer celles-ci avec les flancs des pneus. La maîtrise de cette technique, sans endommager la voiture, est cruciale pour obtenir une bonne position sur la grille de départ, essentielle dans une course où les dépassements sont quasiment impossibles, même lorsque l'écart de performance entre les voitures peut atteindre plusieurs secondes. La qualification sera encore plus critique cette année, alors que nous avons vu que l'ordre de départ se joue souvent à quelques millièmes de seconde.

Sur un circuit comme Monaco, l'apparition de la voiture de sécurité est presque inévitable, avec une probabilité moyenne de 77 %, soit presque deux interventions par course. Curieusement, la course de l'année dernière s'est déroulée sans aucune neutralisation. Il n'y a vraiment qu'une seule stratégie viable : un arrêt unique, en essayant de s'arrêter le plus tard possible pour profiter éventuellement de la voiture de sécurité et ainsi minimiser le temps perdu dans la voie des stands.
 Monaco 2024