Albon : casque spécial Grand Prix de Singapour 2025

À l'occasion du Grand Prix de Singapour 2025, Alex Albon a dévoilé un casque spécial conçu pour ce rendez-vous en Asie du Sud-Est. Le pilote Williams a expliqué que ce casque, baptisé "SEA helmet", sera ensuite mis aux enchères dans le…
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Il y a 11 h

Détails sur le Grand Prix de F1 d'Italie 2025

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 Italie | Monza

Pneus
C3
C4
C5
Italie
Course 16/24
FP1 05/09/2025 13:30
FP2 05/09/2025 17:00
FP3 06/09/2025 12:30
Qualifications 06/09/2025 16:00
Course 07/09/2025 15:00

 FALC (Faits à la con)

1889 : naissance de la Margherita. Selon le mythe, Raffaele Esposito l'a créée en l'honneur de la reine Marguerite de Savoie.

 Les données sur le circuit

 Infos générales

Premier Grand Prix : 1950
Sens : horaire
Nombre de tours : 53
Nombre de zones DRS : 2

 Distances

Longueur du circuit : 5.793 km

Ou encore... 43 231 canettes de 250 mL de Red Bull couchées

Longueur de la course : 306.720 km

Ou encore... 2 288 955 canettes de 250 mL de Red Bull couchées

 Virages

Nombre de virages : 11
Nombre de virages à gauche : 4
Nombre de virages à droite : 7

 Les stands

Vitesse limite dans les stands : 80 km/h
Distance d'allée des stands sous limiteur de vitesse : 417.00 m
Temps nécessaire pour purger un Drive-Through : 19.00 s

 Chronos

Tour en course le plus rapide : 1:21.046 (Rubens Barrichello, 2004)
Tour le plus rapide : 1:18.887 (Lewis Hamilton, 2020)

 Pole position

Côté de la pole position : gauche
Distance de la pole au premier freinage : 458.00 m

 Accélérateur et boîte de vitesses

Temps à pleine charge : 76 %
Distance à pleine charge : 83 %
Consommation d'essence : élevée
Nombre de changements de vitesses en un tour : 40

Données F1 et Mercedes-AMG F1 Team, aucune affiliation ou autre. Ces données étaient valables avant que le Grand Prix de F1 ne se déroule.
Les éléments ont pu évoluer après le week-end de course : changement de tracé, nouveau record et etc.

 Les données pneumatiques Pirelli

 Pressions minimale de départ des slicks

Avant : 25.5 psi
Arrière : 23.5 psi

 Limites de carrossage

Avant : -3.00°
Arrière : -2.00°

 Pneumatique et piste

Evolution de la piste (FP1 aux qualifs) : moyenne
Abrasion de l'asphalte : 3/5

 Résultats du Grand Prix de F1 d'Italie 2025

Pos. Pilote (Constructeur) Temps Pos. grille Gain/perte pos.* Meilleur tour Points
1 M.Max VERSTAPPEN (Red Bull) 1:13:24.325 1   1:21.003 (T.52) 25
2 L.Lando NORRIS (McLaren) +19.207 2   1:20.901 (T.53) 18
3 O.Oscar PIASTRI (McLaren) +21.351 3   1:21.245 (T.47) 15
4 C.Charles LECLERC (Ferrari) +25.624 4   1:21.294 (T.53) 12
5 G.George RUSSELL (Mercedes) +32.881 5   1:21.800 (T.45) 10
6 L.Lewis HAMILTON (Ferrari) +37.449 10   4 1:21.546 (T.50) 8
7 A.Alexander ALBON (Williams) +50.537 14   7 1:21.368 (T.53) 6
8 G.Gabriel BORTOLETO (Sauber) +58.484 7   1 1:22.139 (T.51) 4
9 A.Andrea Kimi ANTONELLI (Mercedes) +59.762 6   3 1:21.968 (T.53) 2
10 I.Isack HADJAR (Racing Bulls) +1:03.891 19   9 1:22.133 (T.46) 1
11 C.Carlos SAINZ (Williams) +1:04.469 13   2 1:21.740 (T.47)
12 O.Oliver BEARMAN (Haas) +1:19.288 11   1 1:21.820 (T.53)
13 Y.Yuki TSUNODA (Red Bull) +1:20.701 9   4 1:22.712 (T.52)
14 L.Liam LAWSON (Racing Bulls) +1:22.351 18   4 1:22.777 (T.49)
15 E.Esteban OCON (Haas) (T.52) 15   1:22.892 (T.48)
16 P.Pierre GASLY (Alpine) (T.52) 20   4 1:22.185 (T.52)
17 F.Franco COLAPINTO (Alpine) (T.52) 17   1:22.239 (T.48)
18 L.Lance STROLL (Aston Martin) (T.52) 16   2 1:22.164 (T.51)
Ab F.Fernando ALONSO (Aston Martin) Abandon (T.24) 8 1:23.757 (T.23)
F N.Nico HÜLKENBERG (Sauber) N/A

Les actus concernant le Grand Prix de F1 d'Italie 2025

Les brefs concernant le Grand Prix de F1 d'Italie 2025 (41)

Fernando ALONSO | Aston Martin

Aston Martin a communiqué au sujet de l'abandon de Fernando Alonso lors du Grand Prix d'Italie. Dès le premier tour, la monoplace de l'Espagnol a été touchée par des projections de graviers, qui ont atteint plusieurs zones sensibles dont la suspension.

L'équipe ignorait alors l'ampleur des dommages subis. Au fil des tours, la charge continue a fragilisé la pièce endommagée jusqu'à entraîner sa rupture, provoquant l'arrêt prématuré du double champion du monde.

Pirelli a profité de la semaine suivant le Grand Prix d'Italie pour organiser deux journées d'essais sur l'Autodromo Nazionale di Monza en vue de finaliser les pneumatiques qui seront utilisés en 2026. Quatre équipes étaient impliquées, avec Max Verstappen, Carlos Sainz, Yuki Tsunoda, Felipe Drugovich et Isack Hadjar.

Le programme avait été initialement réparti sur deux journées distinctes, mais en raison des prévisions de fortes pluies, une partie des essais prévus le mardi a été avancée au lundi après-midi. Red Bull Racing, Aston Martin, Williams et Racing Bulls ont pris part à l'exercice avec des monoplaces adaptées aux prototypes plus étroits de 25 mm à l'avant et de 30 mm à l'arrière, tout en conservant le diamètre de 18 pouces. Red Bull et VCARB (Racing Bulls) ont utilisé des mule cars dérivés respectivement de la RB19 (2023) et de la VCARB01 (2024), tandis qu'Aston Martin et Williams avaient modifié leurs AMR25 et FW47.

Lundi, Verstappen a couvert 59 tours avant de céder le volant à Tsunoda, auteur de 63 boucles, tandis que Drugovich complétait un imposant total de 118 tours pour Aston Martin. Williams et Racing Bulls, avancés sur leur programme, ont roulé dès l'après-midi avec Carlos Sainz (49 tours) et Isack Hadjar (65 tours). Tous ont travaillé sur les composés les plus tendres de la gamme, avec des séries de tours rapides suivies de relais longs pour évaluer la dégradation. Les meilleurs chronos du jour ont vu Sainz signer un 1:22.388, Hadjar un 1:23.951, Drugovich un 1:23.792, Tsunoda un 1:23.826 et Verstappen un 1:24.117, sans valeur comparative réelle car liés aux programmes spécifiques.

Le mardi, les averses ont limité l'activité en piste au seul après-midi. Williams et Racing Bulls ont profité de l'opportunité pour évaluer une évolution des Cinturato Intermédiaire déjà testée artificiellement à Fiorano, avant de repasser aux slicks (C4, C5, C6). Sainz a couvert 57 tours pour un meilleur chrono en 1:22.108, Hadjar 56 avec une référence en 1:23.825. Les conditions fraîches (20 à 25 °C dans l'air, 27 à 32 °C en piste) ont permis d'affiner l'analyse de la phase de transition entre intermédiaires et pneus secs.

Au total, ces deux jours ont permis d'accumuler 467 tours, soit 2 705 kilomètres. Pirelli dispose ainsi de données complètes pour poursuivre le développement de la gamme slicks, dont l'homologation définitive est attendue d'ici au 15 décembre. Le calendrier prévoit encore deux sessions en septembre, à Mugello (où seront validés les composés les plus durs) puis à Mexico (dédié aux plus tendres), avant les traditionnels essais de fin de saison à Abou Dhabi.

Charles LECLERC | Ferrari

Charles Leclerc a livré un beau duel en début de course avec Oscar Piastri, mais la Ferrari n'avait pas le rythme pour espérer mieux qu'une quatrième place devant son public.

"C'était une belle bataille avec Oscar [au départ]. J'avais l'impression de le dépasser quand il faisait une erreur, et lui me repassait quand c'était moi qui me loupais. Ils avaient simplement plus de rythme que moi. J'ai tenté des choses qui n'étaient pas dans la voiture et j'ai perdu l'arrière à plusieurs reprises, ce qui fait que je ne pouvais pas espérer beaucoup mieux malheureusement. J'ai essayé, je n'ai pas de regrets. Mais le rythme de la voiture était un peu moins bon que prévu. Singapour, peut-être Bakou et Las Vegas sont des circuits où nous pourrions être un peu plus proches de la victoire. Mais je pense que nous sommes la troisième force – peut-être la deuxième si Red Bull a des difficultés, mais jamais la première. Ce sera donc toujours compliqué et en montée."

Lewis HAMILTON | Ferrari

Parti dixième à cause de sa pénalité héritée de Zandvoort, Lewis Hamilton a sauvé une sixième place à Monza. Le Britannique s'est dit content de sa prestation, même s'il estime que Mercedes reste derrière Red Bull et McLaren.

"J'ai clairement eu le contrôle de la voiture aujourd'hui et j'en étais très content. J'ai pris un très bon départ, mais j'ai été coincé entre deux voitures donc j'ai dû lever le pied, même si j'étais satisfait de ma position au premier et au quatrième virage. Après cela, je me suis rapproché de George et, avec le recul, nous aurions dû tenter de le passer par un undercut. Prolonger le relais n'a pas payé, c'est une leçon. Sinon, après la pénalité, finir sixième, je suis reconnaissant. Pouvoir livrer une course solide devant les tifosi – c'est incroyable de rouler ici sous ces couleurs. Je ne méritais pas le podium aujourd'hui donc je n'y monterai pas, mais j'irai sans doute voir les fans depuis le mur. Charles a tout donné. Max est devant maintenant. Nous n'avons pas le rythme de Red Bull – aujourd'hui ils étaient très rapides – et nous n'avons pas celui de McLaren. Donc je pense que nous sommes la quatrième ou cinquième force. Si nous faisons un travail exceptionnel, nous pouvons peut-être viser un podium ici ou là. Il y a une chance, mais en termes de rythme pur, nous ne l'avons pas."

Oscar PIASTRI | McLaren

Le patron de McLaren, Andrea Stella, a longuement commenté la consigne d'équipe qui a vu Oscar Piastri céder sa position à Lando Norris après l'arrêt lent de ce dernier.

"On peut certainement expliquer cela. Je veux d'abord préciser que la décision que nous avons prise aujourd'hui n'a rien à voir avec ce qui s'est passé aux Pays-Bas. C'est complètement indépendant du DNF que l'équipe avait causé à Lando là-bas. Ici, c'est une situation complètement différente et nous prenons les courses une par une. Aujourd'hui, lorsque nous avons lancé la séquence d'arrêts, nous avons fait arrêter Oscar en premier, mais avec l'intention claire de ne pas inverser les positions. Malheureusement, cela s'est combiné avec le fait que nous avons eu un arrêt lent. En conséquence, nous avons estimé que la première chose à faire était de revenir aux positions que nous avions avant les arrêts. Je suis sûr qu'Oscar est très à l'aise avec cela. Il l'était déjà pendant la course. Nous montrons encore une fois les valeurs et les principes que nous avons chez McLaren."

Invité à préciser si le rappel de la Hongrie était l'argument clé, Stella a relativisé.

"Oui, bien sûr, il y a la Hongrie, mais après la Hongrie nous avons eu beaucoup de discussions, beaucoup d'alignement entre nous sur la manière dont nous courons. Donc je ne pense pas qu'il soit nécessaire de revenir si loin. Je crois que nous devons simplement nous en tenir aux principes et à l'approche que nous avons dans la manière de courir. Donc oui, pour moi, tout va bien."

Dans une autre interview donnée à Sky Sports F1, Stella a encore insisté sur le fait que la décision venait clairement du mur des stands, et qu'elle reflétait la philosophie sportive de McLaren.

"C'était clairement une décision du mur des stands. Nous avions non seulement eu un problème dans la voie des stands, mais aussi organisé la séquence d'arrêts de manière à conserver la position après l'arrêt. Or, d'une façon ou d'une autre, l'ordre a changé. Nous avons donc estimé que la bonne chose à faire était de revenir à la position initiale et de les laisser courir. Je veux remercier Oscar, car il n'a pas du tout rendu cela difficile. Encore une fois, Oscar et Lando ont montré les principes et les valeurs que nous avons en course. Nous avons deux grands pilotes, deux pilotes en mesure de se battre pour le championnat du monde, et nous courons à la manière McLaren – ce que nous pensons être juste et sportif. C'est ce que nous avons fait aujourd'hui."

Charles LECLERC | Ferrari

Le directeur de la Scuderia, Frédéric Vasseur, a analysé la prestation de son équipe à Monza, marquée par la quatrième place de Leclerc et la remontée d'Hamilton.

"L'objectif était de finir sur le podium. Charles a fait une belle course, avec un très bon combat au début, mais nous avons surchauffé les pneus. Nous n'étions pas si loin de McLaren. Max volait."

Concernant Lewis Hamilton, qui a terminé sixième après sa pénalité sur la grille, Vasseur a salué une prestation encourageante.

"Il est revenu [remonté]. Avec la pénalité, il s'est retrouvé dans le peloton mais a fait un premier relais solide. Nous avons essayé d'avoir un avantage pneumatique en fin de course [face à Russell] mais la dégradation était trop faible. C'était une très bonne course et je suis très content pour lui car il avait connu un mois de juillet difficile. Il est de retour, de retour dans le rythme. Il a fait un bon week-end, dans un bon état d'esprit, avec une bonne approche, et je pense que cela l'aidera pour la suite de la saison."

Max VERSTAPPEN | Red Bull

Vainqueur à Monza, Max Verstappen a décrit une course parfaitement maîtrisée, malgré un départ animé.

"C'était une excellente journée pour nous. Le premier tour n'a pas été de chance mais après cela, nous volions littéralement. La voiture était très agréable, je pouvais bien gérer le rythme tout au long du premier relais et nous avons arrêté au bon moment. Avec les pneus durs à la fin, on peut pousser davantage, ils sont plus résistants. Une exécution fantastique de tout le monde, toute l'équipe a été impeccable tout le week-end. C'est vraiment agréable de gagner ici."

Interrogé sur le rythme de sa voiture, il a insisté sur la sérénité retrouvée et la cohérence du travail mené : "Je voyais que le rythme était bon, il fallait juste se caler. Je pouvais voir que le rythme était là et très vite nous étions de retour en tête. C'était un week-end incroyable."

Au micro de Sky Sports F1, il est revenu plus en détail sur les choix stratégiques et la solidité de son package : "Je dirais que le rythme de course a été encore meilleur qu'attendu. L'équilibre était vraiment agréable. Pendant la majeure partie du premier relais, nous étions en bonne position avec les pneus. Nous avons appliqué la bonne stratégie : passer aux durs pour que je puisse attaquer à fond jusqu'à la fin. J'ai compris la stratégie de McLaren qui est restée dehors en espérant une Safety Car, mais au final c'était assez simple. C'est bien d'avoir parfois une course claire. Nous expérimentons tout en cherchant des solutions. Cette saison, nous avons un peu tâtonné, mais je pense que nous avons trouvé une direction qui convient à la voiture et j'espère que désormais ce sera un peu plus constant."

Enfin, interrogé sur l'épisode McLaren et l'échange de positions entre Norris et Piastri, il a refusé de s'immiscer dans les affaires de l'écurie anglaise : "Je ne vais pas commenter ce qu'ils doivent faire car McLaren gère l'équipe comme elle l'entend. De mon côté, des erreurs arrivent : parfois on peut avoir un arrêt lent, parfois on commet une erreur ou on subit une défaillance, cela fait partie de la course. C'est entre eux de toute façon dans le championnat, donc ils ont tout à fait le droit de faire ce qu'ils veulent."

Lando NORRIS | McLaren

Après sa deuxième place à Monza, Lando Norris a reconnu avoir été battu par le rythme supérieur de Verstappen et Red Bull, tout en regrettant l'erreur au stand qui lui a coûté cher face à son coéquipier... mais réparé par une consigne d'équipe.

"Je sais toujours que c'est un bon combat avec Max et ça l'a été (au départ). C'était agréable mais nous n'avions tout simplement pas la vitesse aujourd'hui face à Max et à Red Bull. Un week-end compliqué, l'un des premiers où nous étions un peu moins rapides. Mais ça reste une belle course, je me suis amusé."

"Pour l'arrêt au stand, je n'ai aucune idée. J'ai eu l'impression d'y rester très longtemps. Parfois, en tant qu'équipe, on fait des erreurs et aujourd'hui en était une. J'ai tout donné aujourd'hui, je ne pouvais pas faire beaucoup plus. J'ai essayé de me battre contre Max. Nous avons eu une bonne course mais il a eu le dessus. La deuxième place était notre meilleur résultat possible et je dois continuer sur cette voie."

Oscar PIASTRI | McLaren

Après sa troisième place à Monza, Oscar Piastri a reconnu un début de course compliqué et une monoplace dont l'équilibre ne lui convenait pas pleinement.

"Un début difficile, peut-être pas mes deux meilleurs premiers tours. Nous semblions avoir un rythme assez bon par rapport à Charles, puis j'ai dû le dépasser et la course a ensuite été assez solitaire. J'ai un peu souffert dans la première partie, la voiture n'était pas exactement comme je l'aimais. Une fois que les pneus ont commencé à se dégrader, c'était un peu mieux, ce qui n'est jamais bon signe. Content des points et je les prends."

Il est également revenu avec humour sur la consigne d'équipe et l'échange de positions avec Norris en fin de course : "Un petit inschident à la fin mais ça va !" (référence à une vidéo virale de karting entre Leclerc et Verstappen où le Monégasque parlait d'un incident avec cet accent).

Au micro de Sky Sports F1, l'Australien a détaillé davantage son ressenti et le contexte du swap avec Norris : "Heureux n'est pas le mot, mais je ne suis pas non plus trop déçu. Il est clair qu'aujourd'hui, en tant qu'équipe, nous n'avions pas le rythme pour rivaliser avec Max. De mon côté, la première moitié de course a été compliquée avec l'équilibre de la voiture. Ensuite, les choses se sont améliorées à mesure que les pneus mediums vieillissaient. Mais il fallait bien s'arrêter à un moment donné. Je ne pense pas qu'il y ait eu trop d'occasions manquées, simplement pas tout à fait le rythme et puis je n'ai pas fait le travail en qualifications non plus."

A propos de l'échange de positions ordonné par McLaren : "C'est quelque chose dont nous allons discuter, c'est certain. Quand vous êtes dans la même équipe, c'est le même pit crew, les mêmes mécaniciens, il y a beaucoup en jeu, pas seulement pour nous mais pour toute l'écurie. Je pense qu'aujourd'hui, la décision de rétablir l'ordre des positions était juste. Lando a été devant moi toute la course donc je n'ai pas de problème avec ça. Mais nous en discuterons quand même."

"Ce week-end, je n'ai rien appris de révolutionnaire. Partir plus devant aide beaucoup et je pense savoir ce que j'aime et ce que je n'aime pas de la voiture. Il faut simplement éviter de se retrouver à nouveau dans cette situation."

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