L'écurie américaine Cadillac, et donc General Motors, a présenté le logo pour son écurie de F1 qui foulera les circuits dès l'an prochain, en 2026.

Et sur toutes les rumeurs qui étaient partagées, on ne peut donc pas dire que la présentation Cadillac du 3 mai au soir à Miami leur a répondu. En effet, la marque américaine a dévoilé une vidéo conceptuelle mais surtout son logo. Rien de transcendant graphiquement non plus, c'est plutôt sobre.

"Cadillac est honoré de partager la scène de la F1 avec les plus grandes marques de luxe du monde entier. C'est une marque dont l'héritage, sur la piste comme en dehors, est empreint d'innovation, de précision technologique et de beauté intemporelle", a déclaré Mark Reuss, président de GM. "Notre parcours a été long, mais dès le début, il a été synonyme d'ambition… d'audace… et maintenant d'accélération."

Il y a 20 h

La FIA a diffusé les résultats définitifs des qualifications et la grille de départ provisoire du Grand Prix de Miami 2025.

Il y a 19 h

Si Max Verstappen s'élancera en pole à Miami pour le Grand Prix, après avoir rebondi suite à sa course Sprint manquée, rien n'est joué sur la côte est des États-Unis. Avec des écarts serrés tout au long de la grille, une allocation pneumatique différente de 2024, très peu de roulage en conditions de course et une météo instable, la course s'annonce aussi imprévisible que stratégique.

En 2024, la victoire de Lando Norris avait été dictée par une Safety Car salvatrice au 29e tour, lui offrant un arrêt gratuit pour basculer des médiums (C3) aux durs (C2). Huit des dix premiers avaient alors opté pour cette stratégie classique médium>dur, la faible dégradation laissant une large fenêtre de pit-stop. Lewis Hamilton et Fernando Alonso, eux, avaient inversé l'approche (dur>médium), avec succès : partis loin, ils avaient profité d'un rythme solide en fin de course. Les rares pilotes à avoir tenté les tendres (C4 à l'époque) avaient dû composer avec une usure trop rapide.

En 2025, Pirelli a opté pour une sélection un cran plus tendre (C4-C3-C2), mais les gommes sont plus robustes. Résultat : la stratégie médium>dur à un seul arrêt reste la voie la plus probable, avec une fenêtre optimale entre les tours 19 et 25. L'alternative dur>médium, bien que moins flexible en cas de Safety Car précoce, conserve ses atouts, surtout pour ceux qui espèrent un neutralisation tardive. L'entrée aux stands se ferait alors entre les tours 32 et 38.

Les pilotes hors du top 10 pourraient envisager des scénarios à deux arrêts, notamment si la dégradation est supérieure aux attentes. Deux options tiennent la corde : médium>dur>dur (arrêts vers les tours 12–18 puis 34–40) ou tendre>dur>dur (arrêts vers les tours 8–14 puis 31–37). Les écuries, hormis Racing Bulls, ont d'ailleurs conservé deux trains de gommes dures en prévision d'un drapeau rouge ou d'un scénario chaotique.

Et ce chaos pourrait bien venir du ciel : les prévisions annoncent 40 % de risque de pluie au départ, grimpant à 60 % en milieu de course. Le Sprint humide du samedi a offert quelques leçons : la piste sèche vite, mais mal pour les pneus intermédiaires. Selon Mario Isola, "le pneu avant-droit s'use très vite après 10 à 12 tours, générant du sous-virage." En cas de piste séchante ou d'averses intermittentes, les pilotes devront jouer avec les zones humides pour préserver leurs gommes, sous peine de devoir ravitailler une fois de plus.

Entre stratégie classique, variations possibles et instabilité météorologique, le Grand Prix de Miami 2025 devrait nous offrir un dimanche d'une rare intensité tactique... Espérons-le, du moins.

Il y a 12 h

Départ de la voie des stands pour Gasly, son Alpine ayant subi un changement de setup des suspensions sous régime de Parc Fermé.

Il y a 11 h

La grille de départ définitive du Grand Prix de Miami a été diffusée par la FIA, avec Max Verstappen en pole position et le départ des stands de Pierre Gasly.

Il y a 9 h

Deuxième à l'arrivée du Grand Prix de Miami 2025, Lando Norris a salué la performance d'ensemble de McLaren tout en exprimant une certaine frustration sur la manière dont s'est déroulé son duel avec Max Verstappen au départ.

"Ce n'est jamais le meilleur des sentiments, mais l'équipe a fait un travail incroyable, donc je ne peux rien leur reprocher. De bons arrêts au stand, un excellent rythme, on était loin devant. C'était une bonne sensation, mais Oscar a bien piloté." Il a ensuite reconnu que le Néerlandais s'était montré une nouvelle fois coriace : "Max s'est bien battu comme toujours et j'en ai payé le prix, mais c'est comme ça."

Le Britannique a ensuite pointé du doigt la perception extérieure de ses choix en piste : "Que puis-je dire ? Si je n'y vais pas, les gens se plaignent. Si j'y vais, les gens se plaignent. Donc, quoi qu'on fasse, on ne peut pas gagner."

Puis il a évoqué plus frontalement les manœuvres de Verstappen : "Mais c'est comme ça avec Max, c'est soit tu t'écrases, soit tu ne passes pas. À moins de vraiment bien faire les choses et de le placer dans une position parfaite, on peut à peine y arriver. J'ai payé le prix de ne pas avoir fait un travail assez bon aujourd'hui, mais je suis quand même content d'être deuxième."

Interrogé ensuite par Sky Sports F1 sur son départ, Norris a été encore plus clair : "Sans ça, je suis dans le mur. Fort."

Et il a répondu, avant même d'entendre en entier la question suivante : "Se qualifier devant. C'est évident, non ?"

Concernant son dépassement sur Verstappen plus tard dans la course, il a expliqué : "Oscar est passé, je suis passé. On est tous les deux passés, mais il faut être parfaitement placé. À la fin, il m'a juste laissé passer, il ne s'est même pas battu." Et d'ajouter : "Ça dépend juste de combien il veut se battre. C'est Max. Il fait du bon boulot. Il peut faire ce qu'il veut."

Sur son "il peut faire ce qu'il veut", le Britannique a ironisé : "Non, je dis ça juste pour l'interview."

Et sur ce qu'il aurait pu faire différemment dans le premier tour, Norris est resté ferme : "Rien. S'il y a une ouverture, je vais y aller. Je ne vais pas lever le pied. Je suis là pour faire la course. Je vais arrêter de parler."

Enfin, il a dressé un bilan globalement positif de son week-end : "Ça reste un très bon week-end pour moi. Je suis content de mes progrès. Je me suis à nouveau senti plus à l'aise dans la voiture. Il y a encore des choses sur lesquelles je dois progresser." Il a reconnu ne pas encore être au niveau de confiance nécessaire pour viser la pole et se battre contre les meilleurs : "Je ne suis toujours pas dans l'endroit le plus heureux et le plus parfait, et je dois y être si je veux me qualifier devant et performer face aux autres gars, performer face aux meilleurs." Il a conclu en relativisant : "Donc je continue à avancer petit à petit. C'était un week-end positif. Le rythme est très bon. Juste ces petits trucs qui se sont mis en travers. Mais ça arrive." Et d'ajouter : "Je suis quand même content. Pas la position que je veux bien sûr. Je suis là pour me battre pour la victoire et aller la chercher, mais il y aura une prochaine fois."

Il y a 5 h

Le directeur de McLaren Andrea Stella s'est exprimé au micro de Sky Sports après le Grand Prix de Miami 2025 au sujet du départ disputé entre Lando Norris et Max Verstappen, qui a conduit le Britannique à perdre plusieurs places dès le premier tour.

En effet, pour Stella, les performances de la MCL39 auraient permis à Norris de reprendre l'ascendant sans prendre de risque dès les premiers virages. : "Le premier tour, avec le recul, il aurait peut-être été plus sage pour Lando de lever le pied et d'accepter qu'il aurait pris la tête plus tard dans la course, car la voiture était assez rapide. Mais ça, c'est avec le bénéfice du recul."

Il est également revenu sur le moment où Norris a dû redonner sa position à Verstappen dans le premier relais, après avoir coupé la chicane. "En ce qui concerne le fait de redonner la position, je pense que c'était la bonne chose à faire, car selon nous, Lando était en dehors des limites de piste et il faut rendre la position en pareil cas." Le directeur italien a souligné que ce genre de décision est aussi une question d'intégrité sportive : "C'est un peu de malchance, mais il faut se comporter correctement et agir de manière juste. Il y avait un risque de pénalité, donc c'était la bonne chose à faire."

Il y a 5 h

Oscar Piastri a remporté avec autorité le Grand Prix de Miami 2025, signant sa quatrième victoire de la saison. À l'arrivée, l'Australien a tenu à souligner le chemin parcouru, autant sur le plan personnel que collectif.

"Hier a été une journée difficile. Les qualifications ont été l'une de mes séances les plus compliquées de l'année, donc repartir avec une victoire est un résultat impressionnant." Malgré cette entrée en matière délicate, il a su tirer parti du chaos du départ : "Un peu de frottement au virage 1, ce qui m'a un peu aidé. J'étais assez conscient pour éviter Max qui arrivait dans le virage 1." Dès ce moment, il savait que le rythme allait parler : "À partir de là, je savais que j'avais un bon avantage en rythme et clairement, la voiture était incroyable."

Sur son rythme de course, Piastri a reconnu un déroulé en deux temps : "Le premier relais était vraiment solide. Le relais en pneus durs, j'avais un peu plus de mal, donc c'était une bonne chose d'avoir creusé l'écart dans le premier relais." Il a néanmoins su reprendre le contrôle dans le dernier tiers de la course : "Vers la fin, j'ai commencé à reprendre un peu les choses en main, donc il y a clairement encore des choses à améliorer. Très heureux de la victoire, très heureux des points." Et d'ajouter : "Il faut toujours continuer à apprendre. Très heureux de quitter Miami en tête."

L'Australien a conclu en rendant hommage à McLaren, en replaçant cette victoire dans une perspective plus large : "C'est incroyable, le travail acharné de l'équipe. Il y a deux ans à Miami, nous étions l'équipe la plus lente. Je pense qu'on avait été pris un tour deux fois." Et de mesurer le chemin parcouru : "Maintenant, gagner le Grand Prix avec plus de 35 secondes d'avance sur le troisième, c'est un résultat incroyable."

Il y a 5 h

George Russell a terminé troisième du Grand Prix de Miami 2025, un résultat qu'il a accueilli avec soulagement au terme d'un week-end qu'il a lui-même qualifié de difficile sur le plan personnel.

"Vraiment content de repartir avec la troisième place. J'ai eu du mal ce week-end, personnellement, j'ai toujours été un peu en retard." Malgré ce contexte, il a su saisir sa chance au bon moment : "Au final, quand ça comptait, j'ai obtenu un très bon résultat. Bravo aux McLaren. Ils sont juste là-bas, devant."

Face à Max Verstappen, qu'il a réussi à contenir dans les derniers tours, Russell s'est montré serein : "J'étais plutôt calme. Je me sentais vraiment bien dans la voiture pour le garder derrière moi."

Enfin, dans un clin d'œil amusé, il a fait référence à un incident matinal avec Norris hors-piste : "Je crois que Lando est un peu fâché contre moi parce qu'on a eu un petit crash dans la course LEGO ce matin !"

Il y a 5 h

Lamborghini Huracán STJ : 10 unités pour célébrer le V10

11/04/2024 Automobile

Lamborghini Huracán STJ : 10 unités pour célébrer le V10 - Crédit photo : Lamborghini
Crédit photo : Lamborghini 

Lamborghini dévoile la Huracán STJ, série limitée à dix unités, apogée du V10 légendaire. Avec son design inspiré de la STO et des performances améliorées, cette supercar célèbre l'héritage et l'avenir de Lamborghini, marquant une fin triomphale pour le moteur V10.

Lamborghini lève le voile sur un joyau mécanique qui va faire battre le cœur des amateurs de supercars : la Huracán STJ (Super Trofeo Jota), une série ultra-limitée à dix exemplaires seulement. Cette merveille technologique marque le chant du cygne pour le moteur V10 emblématique de la marque, un adieu en grande pompe pour un bloc propulseur qui a su écrire sa légende dans l'asphalte.

Née de l'esprit innovant des ingénieurs de Sant’Agata Bolognese, cette édition spéciale incarne l'apogée de la famille Huracán, enrichie d'un package exclusif qui pousse encore plus loin l'esprit de compétition insufflé par le modèle STO. Le nom "STJ" rend hommage, avec panache, à la fois au championnat monomarque Lamborghini, une institution depuis 2009, et à la célèbre Annexe J des règlements de la FIA, référence absolue dans le monde de la course automobile.

Au-delà de son pedigree, la Huracán STJ se distingue par un package aérodynamique sur mesure, fruit du génie des techniciens de Lamborghini Squadra Corse. Avec des innovations telles que le "cofango", deux tout nouveaux appendices aérodynamiques en fibre de carbone (flicks), et un aileron arrière incliné de 3 degrés de plus pour un appui augmenté de 10 %, cette supercar n'est pas seulement conçue pour éblouir - elle est née pour dominer la piste.

Sous le capot, le V10 atmosphérique livre une symphonie de puissance : 640 chevaux à 8000 tr/min et un couple de 565 Nm, le tout orchestré par une boîte de vitesses à double embrayage à 7 rapports, exclusivement en propulsion. Les performances sont transcendées par des amortisseurs de course ajustables et des pneus Bridgestone Potenza Race spécialement conçus et montés sur des jantes de 20 pouces à écrou central, promettant une expérience de conduite sans précédent, plus d'une seconde plus rapide sur le circuit d'essai de Nardò que la Huracán STO.

L'exclusivité de la Huracán STJ se voit également dans son esthétique, avec deux configurations uniques dessinées par le Lamborghini Centro Stile. Que ce soit l'association sophistiquée du Grigio Telesto avec des touches de Rosso Mars et Bianco Isi, ou le caractère audacieux du Blu Eliadi souligné par le Nero Noctis, chaque modèle porte en lui l'essence de Lamborghini : performance, passion, perfection.

Avec seulement dix unités en circulation, la Huracán STJ n'est pas juste une voiture : c'est une pièce de collection, un hommage roulant au V10 et à l'innovation de Lamborghini.

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