Juste avant la FP3, la FIA a publié un document indiquant que les Ferrari de Charles Leclerc et de Lewis Hamilton allaient bénéficier de pièces moteur neuves.

Moteur à combustion (ICE), turbocompresseur, MGU-H, MGU-K et échappement sont de la partie pour les deux monoplaces rouges.

Il est à noter que la Haas, à moteur Ferrari, d'Ollie Bearman va également bénéficier d'un échappement neuf.

Il y a 17 h

Lando Norris s'est de nouveau montré le plus rapide lors de la dernière séance d'essais libres à Djeddah. Le pilote McLaren a devancé son coéquipier Oscar Piastri de seulement 24 millièmes, tandis que George Russell a pris la troisième place, reléguant Max Verstappen à plus de huit dixièmes.

Sous les 30 degrés Celsius du crépuscule saoudien, la majorité du plateau a initialement boudé la piste, à l'exception de Gabriel Bortoleto, désireux de rattraper le temps perdu après son absence en EL2 causée par une fuite de carburant. Jack Doohan fut le premier à tenter un tour en tendres, rapidement imité par Ocon, Bearman, puis les Aston Martin.

Hamilton s'est aventuré en piste après dix minutes, cherchant à valider les ajustements effectués dans la nuit sur sa Ferrari. Son premier tour chronométré est resté derrière celui de Bearman, mais devançait néanmoins Leclerc, qui a évité de peu le mur au dernier virage après une sortie de trajectoire musclée.

Les chronos se sont ensuite emballés : Piastri et Norris ont tour à tour pris la tête avant d'être brièvement devancés par Verstappen. Mais à mesure que la piste s'améliorait, les pilotes ont peaufiné leur tour rapide lors d'un second effort, souvent après un ou deux tours de refroidissement. Dans ce contexte, le placement en piste est devenu crucial : Hadjar, notamment, a vu son tour gâché par le trafic.

Avec dix-sept minutes restantes, le peloton s'est élancé pour une dernière salve en tendres neufs. Russell a placé sa Mercedes en haut de la feuille des temps (1:28.214), mais Piastri a frappé fort dans la foulée avec un impressionnant 1:27.513. Norris a attendu les toutes dernières minutes pour lui reprendre la main, avec un tour en 1:27.489. Russell conserve la troisième position, à plus de six dixièmes, tandis que Verstappen (4e) a profité d'une aspiration pour limiter la casse, à 0.845.

Leclerc termine cinquième, suivi de très près par Albon et Sainz, confirmant la bonne forme de Williams sur ce tracé. Gasly (8e) s'est encore illustré après sa première place en EL1. Tsunoda, solide sixième en EL2, complète le top 10 malgré un déficit de 1.181 sur le leader, juste devant Antonelli.

Hadjar devance Hamilton, toujours en difficulté avec une Ferrari qui ne parvient pas à délivrer l'adhérence souhaitée. Lawson, Alonso et Doohan ferment la marche du peloton des 1'28", pendant que Bearman, Hülkenberg, Ocon et Bortoleto restent en retrait. Lance Stroll, en grande difficulté depuis le début du week-end, conclut la séance à la dernière place.

La tendance est claire à l'approche des qualifications : McLaren affiche un niveau de performance solide sur tous les composés, tandis que Red Bull reste en embuscade malgré un léger manque de rythme. Ferrari et Mercedes devront faire preuve d'audace pour s'inviter à la lutte pour la pole.

Il y a 17 h

Max Verstappen a laissé exploser sa joie à la radio juste après son tour de qualification à Djeddah. "Oh mon dieu, les gars. C'était tout simplement magnifique ! Je suis très content de ça. Bravo à tous. La voiture a vraiment pris vie une fois la nuit tombée."

Au micro de la F1, quelques minutes plus tard, le Néerlandais a poursuivi dans le même état d'esprit : "Très heureux. Je ne m'attendais vraiment pas à être en pole ici après les EL3 et en regardant comment tout le week-end s'est déroulé."

Il a ensuite souligné les progrès réalisés juste avant la qualification : "La voiture a vraiment pris vie une fois la nuit tombée. On a fait quelques derniers changements, et c'était beaucoup plus agréable à piloter. L'adhérence venait à moi, et ici, un tour de qualification est extrêmement difficile à cause de tous les murs : il faut vraiment le réussir parfaitement."

Enfin, Verstappen a conclu en se projetant à propos de la course : "C'est vraiment satisfaisant. Être premier ici en qualifications est bien sûr la meilleure position pour demain, même si je pense qu'en course, ce sera difficile de les garder derrière. Mais on va vraiment tout donner. On fera de notre mieux."

Il y a 13 h

Oscar Piastri a signé le deuxième temps des qualifications à Djeddah, juste derrière Max Verstappen. Au micro de la F1, l'Australien s'est montré content de sa prestation : "Pour être honnête, j'étais plutôt content de mon tour. Il ne restait pas grand-chose à aller chercher, donc je suis satisfait du travail que j'ai fait."

Il a reconnu avoir mis un peu de temps à se mettre dans le rythme : "J'ai un peu couru après le chrono au début des qualifications, et ce dernier tour m'a semblé être plus ou moins le meilleur que je pouvais faire."

Interrogé sur l'écart avec la Red Bull, il a salué la performance de son rival : "Max a fait du bon boulot. C'est un autre circuit rapide pour eux, où ils semblent avoir un peu plus de réussite. Mais oui, il a encore bien travaillé, évidemment."

Confiant, Piastri se tourne maintenant vers la course : "Tout reste à jouer pour demain. Je pense que notre rythme est bon. Ce sera une course difficile, et les pneus sont un peu plus tendres que l'an dernier, donc on verra si ça peut jouer en notre faveur."

Il y a 13 h

Troisième sur la grille à Djeddah, George Russell a confié après la séance qu'il était globalement satisfait, même s'il lui restait une légère pointe de frustration : "Pour être honnête, avant la séance, j'aurais signé pour une P3, mais quand j'ai vu à quel point c'était serré… j'étais vraiment content de mon tour, mais on pense toujours qu'il y avait peut-être un tout petit peu plus à aller chercher."

Il a toutefois reconnu que ce résultat représentait sans doute la limite réaliste pour Mercedes ce samedi : "Mais en étant réaliste, on sait que c'était le maximum aujourd'hui. Sur ces circuits à haute vitesse, on n'a probablement pas tout à fait le rythme des McLaren, et Max a encore fait un travail incroyable, donc félicitations à lui."

Au micro de Sky Sports, George Russell est revenu plus en détail sur sa troisième place à Djeddah, admettant avoir fait un choix délibérément conservateur avant sa tentative unique en Q3 : "J'ai des sentiments un peu partagés, pour être honnête, parce que j'ai été assez prudent sur mon tour de sortie avec les pneus."

Il explique ce choix par l'absence de tour de sécurité au chrono : "Comme c'était mon seul et unique tour, sans temps déjà enregistré, je me suis dit que si je faisais une petite erreur au virage 1 ou un blocage, je me retrouverais en P10. Et normalement, ton dernier tour en Q3, tu l'attaques à fond, vraiment à fond."

Russell a donc choisi de monter ses pneus à température un peu plus prudemment que d'habitude : "J'ai pensé qu'il fallait que je chauffe un peu plus mes pneus, juste pour être sûr de ne pas faire d'erreur au virage 1, mais ça m'a coûté dans le dernier secteur. Je me suis fait perdre un dixième et demi dans ce dernier secteur."

Malgré cela, il reste satisfait de sa performance globale : "Le tour, sinon, était excellent. C'est grisant ici, et tu es à deux doigts de l'erreur à chaque instant. Mais la P3, c'est probablement mieux que ce qu'on pouvait espérer."

Il y a 13 h

Christian Horner a livré une analyse détaillée de la séance qualificative de son pilote vedette, au micro de Sky Sports. Le directeur de Red Bull n'en revenait presque pas : "En arrivant à cette qualif après une P3 en EL3, tout tournait autour de qui allait être troisième. Et soudain, en Q1, Max signe le meilleur temps. Là, tu te demandes : ‘Attendez, McLaren est en train de cacher son jeu ou quoi ?'"

La dynamique s'est confirmée dans le deuxième segment des qualifs : "En Q2, on était encore là. Puis l'accident malheureux de Lando en Q3… Il ne restait plus que quatre voitures avec deux trains de pneus neufs : les deux McLaren, George et Max. Heureusement que Lando allait bien, mais ça nous a mis juste à la limite : est-ce qu'on tente deux tours, avec une marge de 25 secondes, ou on joue la sécurité et on n'en fait qu'un ?"

Red Bull a choisi de tenter les deux tours, avec tout ce que cela impliquait : "On a choisi de faire deux tours, ce qui te met sous pression, car s'il y a le moindre souci, t'as perdu ta marge. Ce que j'ai trouvé super impressionnant, c'est qu'il avait six ou sept kilos de carburant en plus pour le premier tour à cause de l'arrêt au stand. Et malgré ça, il signe le meilleur temps, ce qui a mis la pression sur les autres."

Horner a tenu à saluer la qualité de l'exécution : "Son dernier tour était aussi exceptionnel. Décrocher cette pole, notre deuxième sur les trois dernières courses, c'est une vraie récompense. Une performance phénoménale de Max et de toute l'équipe. Et c'est aussi sympa d'avoir Yuki en Q3."

Quant aux perspectives en course, le patron reste prudent : "Oui, la pole a de la valeur car tu as l'air propre. Si tu peux la convertir, tu évites les turbulences d'une voiture devant toi." Mais il redoute la menace McLaren : "Ce qu'on a vu ce week-end, c'est que la McLaren est très, très rapide, surtout en rythme de course. Donc je pense qu'on va avoir un sacré combat pour garder Oscar derrière nous. Mais on part de la meilleure position possible, donc c'est génial d'aborder la course depuis la pole."

Enfin, il a insisté sur la détermination collective : "Honnêtement, je ne pensais pas que c'était possible en entrant dans cette séance. Mais ça montre bien : il ne faut jamais abandonner. On a une super équipe, on continue à se battre. On continue à chercher de la performance. Et ensuite, Max te va chercher cette dernière once de performance."

Il y a 13 h

Interrogé après la séance qualificative, Zak Brown s'est rapidement tourné vers les enjeux de la course, malgré la frustration de voir Lando Norris hors du coup en Q3 suite à son accident. "On se concentre sur la course. Ce sera probablement une course à un arrêt, mais avec une forte probabilité de voiture de sécurité ici."

Le PDG de McLaren espère que son pilote pourra inverser la tendance en conditions de course : "On se concentre sur la course, on fera de notre mieux, et on verra si on peut le faire remonter sur la grille."

Et de conclure avec confiance : "Il sera clairement plus rapide que ce qu'indique sa position sur la grille."

Il y a 13 h

Lewis Hamilton a une nouvelle fois vécu une séance de qualifications compliquée, qu'il a conclue au 7e rang à Djeddah.

AU micro de Sky Sports, le septuple champion du monde s'est exprimé : "C'était difficile, comme toujours, les qualifications pour moi." Le Britannique ne cache pas qu'il a peiné tout le week-end : "Je n'étais nulle part – 13e, je crois, dans quasiment toutes les séances – donc honnêtement, je me sens reconnaissant d'avoir atteint la Q3 et la P7."

Son dernier tour n'a pas été parfait, mais il préfère retenir les signes positifs : "Ce n'était pas un dernier tour spectaculaire, mais j'ai progressé tout le week-end. Il me fallait un meilleur tour à la fin, mais comme je l'ai dit, je suis simplement reconnaissant d'être là. Il y a encore beaucoup à venir."

À la question de savoir s'il espérait un meilleur rythme en course, Hamilton a répondu avec humour et franchise : "Espérer ? Je prie, plutôt ! Tenter de créer un lien avec cette voiture sur un seul tour, c'est quelque chose que je trouve très difficile en ce moment."

Mais le Britannique reste combatif : "Mais on n'abandonne pas. Quand on veut, on peut. On continue à pousser, on continue à essayer, j'ai un soutien incroyable, donc on va juste continuer à travailler dur."

Il y a 13 h

Cinq fois où la F1 a été scandaleuse

09/09/2019

Cinq fois où la F1 a été scandaleuse - Crédit photo : Charles Coates / Getty Images
Crédit photo : Charles Coates / Getty Images 

Samedi 7 septembre 2019, les qualifications du Grand Prix d’Italie se sont terminées dans l’incompréhension la plus totale. L’occasion de revenir sur cinq événements qui ont fait honte à la F1.

Après Spa, samedi 7 septembre se déroulaient les qualifications du Grand Prix d'Italie 2019, à Monza. Avec un des tracés les plus rapides du monde, la vitesse se devait d'être au rendez-vous. Pourtant, à moins de deux minutes de la fin du compte à rebours, la piste s'est transformée en plein périphérique durant l'heure de pointe.

Ne voulant s'élancer en première position afin de bénéficier de l'aspiration, les neuf pilotes sur la piste – Räikkönen ayant écrasé son Alfa Romeo dans la Parabolica – ont ralenti dans les premiers virages attendant qu'un pilote se jette à l'eau. Une situation semblable à celle du vendredi 6 septembre où 17 pilotes de F3 ont été pénalisés pour cette manœuvre.

Nico Hülkenberg, parti premier de la voie des stands, emprunte l'échappatoire pour (espérer) bénéficier de l'aspiration de Carlos Sainz Jr et de Lance Stroll. Manque de chance, l'Allemand manque sa manœuvre, ralentit et provoque un bouchon. L'image du troupeau des V6 au ralenti fait le tour des télévisions. Les responsables ont été convoqués par la FIA, sans être pénalisés. Une vraie Commedia des ratés.

Et le Grand Prix des États-Unis de 2005 ? Parce que niveau farce, celle-ci est une masterclass. Sur vingt F1 engagées, seulement six prendront le départ du Grand Prix des États-Unis 2005. La raison ? Tout part de l'accident de Ralf Schumacher, le vendredi.

Le frère du sept fois champion du monde a terminé sa course dans le mur situé avant la ligne droite des stands, tout comme son coéquipier et troisième pilote de l'écurie Toyota de l'époque, Ricardo Zonta. Ceci suite aux pneus Michelin n'ayant pu encaisser à haute vitesse le virage incliné à 9 degrés.

Pour que la course se passe sans entrave, Michelin pense à utiliser d'autres pneus en course. Problème : les écuries doivent utiliser les mêmes pneus en course qu'aux essais.

La FIA menace de sanctions les écuries tentées par cette solution. Ce qui n'empêchera pas le manufacturier français d'envoyer des nouveaux pneus à Indianapolis. Sans succès.

Dernier recours : on pense à installer une chicane pour réduire la vitesse. Sur les dix équipes, neuf votent pour sa mise en place. La seule qui dit non est la Scuderia Ferrari, qui par ailleurs, était classée à ce moment-là cinquième au classement des constructeurs.

Au final, quatorze voitures rentrent définitivement aux stands après le tour de formation. Seules les voitures équipées de pneus Bridgestone (Ferrari, Minardi et Jordan) prennent la piste. À savoir que les pneus japonais étaient plus adaptés à ce tracé, la marque développant les pneus Firestone pour l'Indycar depuis 1996.

Le public américain est bafoué et le spectateur sur son écran TV médusé. Ferrari gagne cette course sans saveur, dans laquelle Tiago Monteiro devient le premier portugais à gravir un podium de F1, qui fut d'ailleurs le 19e et dernier de l'histoire de l'écurie Jordan.

Quid du Grand Prix d'Autriche 2002 ?! "Let Michael pass for the championship". Avant d'entendre "Valtteri, it's James", la réplique culte de la F1 était celle déclarée à la radio de Rubens Barrichello, par Jean Todt, directeur de la Scuderia en ce temps-là.

Le Brésilien dominait ce Grand Prix d'Autriche 2002, bien aidé par une voiture de sécurité mal gérée par Williams-BMW, dans un championnat, déjà promis, à Michael Schumacher.

Dans la dernière ligne droite du dernier tour, Barrichello lève le pied et laisse passer le baron rouge pour sa 58e victoire en Grand Prix. Sur le podium, Schumacher laisse sa place sur la plus haute marche à Barrichello. La FIA infligera 1 000 $ d'amende à Ferrari pour non-respect du protocole. Le journal Auto-Hebdo titrera sa Une sur l'évènement avec, en légende, "La honte". Mérité ?

L'apothéose ? Le Grand Prix de Singapour 2008 ! Cet épisode a conduit ni plus ni moins qu'au bannissement de Flavio Briatore du monde de la Formule 1.

Le premier Grand Prix de nuit, disputé à Singapour, promettait d'être mémorable. Il a été le théâtre de la première victoire de Fernando Alonso durant la saison, mais est aussi le lieu du "crashgate".

Au quatorzième tour de la course, Nelson Piquet Jr. est accidenté, provoquant l'intervention de la voiture de sécurité, favorable à Alonso. Rien d'anormal… jusqu'à un an plus tard.

Viré de Renault en 2009, après le Grand Prix de Hongrie (et remplacé par Romain Grosjean pour l'anecdote) Nelson Piquet Jr. révèle la planification de l'accident à la télévision brésilienne Rede Globo. Si Alonso a été blanchi dans ces accusations quelque temps après, même si Felipe Massa a émis des doutes, les regards se tournent vers Flavio Briatore et Pat Symonds, directeur technique de l'écurie française.

À la FIA, Nelson Piquet Jr. détaille la planification du crash mais aussi les conditions dans lesquelles il travaillait. Il évoquait également dans ce rapport "un état d'esprit instable" à cause de son traitement dans l'écurie :

Renault attaquera son ancien pilote pour diffamation, avant de retirer leurs accusations et d'admettre la préméditation de leur acte en décembre 2010. Cette affaire provoquera d'abord le bannissement à vie (réduit à cinq ans après appel) de la F1 pour Flavio Briatore et de cinq ans pour Pat Symonds.

L'écurie Renault perdra aussi, suite à cet incident, deux de ses sponsors, dont son principal, ING.

Et on finit avec le Grand Prix de Bakou 2017. Émaillé par de multiples incidents dont trois voitures de sécurité, le Grand Prix va prendre une tournure encore plus polémique, suite à un incident entre Lewis Hamilton et Sebastian Vettel.

Le 19e tour se déroule sous voiture de sécurité. Le pilote Mercedes devance la Ferrari et freine. Vettel ne peut éviter la collision et endommage son aileron.

Énervé par la manœuvre, l'Allemand se porte à hauteur d'Hamilton, donne un coup de volant et heurte la Mercedes. Un acte qui serait réprimandé par les développeurs de la série des jeux F1 (Codemasters) par un avertissement.

Dans la réalité, il est pénalisé d'un stop-and-go dans un premier temps et passera la ligne d'arrivée en quatrième position… devant Hamilton.

Le lundi suivant la course, Vettel a rendez-vous à Paris avec la FIA, accompagné de Maurizio Arrivabene. "Dans le feu de l'action, j'ai surréagi" dira le quatre fois champion du monde. Sans blague ?

Et le reste ?

Il ne s'agit là que d'une sélection. Il y eut aussi la Lola T97/30, les deux livrées de la BAR PR01 de 1999, la pénalité infligée à Vettel au Canada en 2019, la bataille FISA-FOCA de 1982…

Auteur Thomas WOLOCH 𝕏 

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