La Hyundai IONIQ 5 N, fleuron de la division sportive 'N' de Hyundai, débarque dans Gran Turismo 7 avec la mise à jour de janvier 2025. Développée sur le mythique Nürburgring, cette sportive électrique allie performance et précision.

Avant son intégration dans le jeu, elle sera mise en avant ce week-end lors des qualifications de la Nations Cup du GT World Series à Amsterdam. Mieux encore, les joueurs pourront la débloquer en participant à la campagne Viewership en regardant la finale en direct. Ne manquez pas cet événement exceptionnel !

Il y a 23 h

À quelques jours du dernier Grand Prix de la saison 2024 à Abu Dhabi auquel il ne participera pas, Esteban Ocon a partagé un message chargé d'émotion sur ses réseaux sociaux.

Remerciant les équipes d'Enstone et de Viry-Châtillon, le pilote normand revient sur ses cinq années passées au sein de l'écurie Alpine / Renault, ponctuées de succès mémorables comme sa victoires en Hongrie et son dernier podium au Brésil.

Il ne cache toutefois pas sa déception de ne pas pouvoir conclure cette aventure en piste lors de la dernière course de l'année. Il a même partagé ce qui semble être le casque qu'il aurait porté pour sa dernière course dans l'écurie française (ou ce qu'il en reste).

Sa déclaration sur les réseaux sociaux, traduite en français :
"Je tiens tout d'abord à remercier les mécaniciens et ingénieurs dans toutes les fonctions, que ce soit sur le circuit, à Enstone ou à Viry-Châtillon, avec qui j'ai travaillé ces cinq dernières saisons. Nous avons partagé tant de choses ensemble, et je suis fier de pouvoir appeler beaucoup d'entre vous mes amis.

Je quitte Alpine/Renault avec de merveilleux souvenirs et la fierté d'avoir été le pilote qui a offert à l'équipe ses meilleurs résultats depuis son retour en Formule 1, montant sur les deux plus hautes marches du podium à Bahreïn, en Hongrie et au Brésil. Ce fut également un honneur de contribuer à la quatrième place au championnat Constructeurs en 2022. Je sais à quel point tous ces moments ont compté pour tout le monde, et c'est ce sentiment d'accomplissement et de joie partagé avec l'équipe que je retiens avant tout.

Cette saison n'a pas été facile sur la piste pour l'équipe, et la deuxième moitié de l'année a été particulièrement difficile. Pour diverses raisons.

Je ne regrette rien, sachant que j'ai donné 100% à chaque séance, comme je l'ai toujours fait.

Aux centaines de femmes et d'hommes qui travaillent dur à Enstone et à Viry, je suis désolé de ne pas pouvoir venir vous voir en personne et vous dire au revoir comme il se doit. Comme vous le savez, le plan a toujours été de courir une dernière fois ce week-end et de vous saluer personnellement la semaine prochaine. J'attendais ces deux moments avec impatience.

Ce n'est pas ainsi que je voulais que cela se termine.

Cela dit, le monde de la F1 est petit, et je suis sûr que je reverrai beaucoup d'entre vous très bientôt.

Je souhaite également le meilleur à mon ami Jack [Doohan] alors qu'il franchit cette étape importante de sa carrière lors du Grand Prix d'Abu Dhabi cette semaine.

MERCI"

Il y a 22 h

La FIA annonce l'introduction d'un programme de certification de carburants 100 % durables, une étape présentée comme essentielle pour réduire les émissions dans le sport automobile et au-delà. Dès 2026, la Formule 1 adoptera ces carburants, issus de composants durables avancés (ASCs) tels que la biomasse non alimentaire et les déchets municipaux, tout en garantissant leur compatibilité avec les moteurs thermiques existants.

Ce programme, développé avec Zemo Partnership, met en avant un processus rigoureux de vérification de l'origine, de la composition et des performances environnementales des carburants. Cependant, on peut s'interroger sur l'impact réel de cette initiative à court terme. Si l'idée de faire du sport automobile un laboratoire pour des solutions durables est louable, le déploiement de ces carburants à grande échelle dans le secteur des transports reste incertain, compte tenu des coûts de production et de l'infrastructure nécessaire.

Enfin, bien que la FIA insiste sur la robustesse de son approche, ce projet pourrait être perçu comme une manière de renforcer l'image verte de la Formule 1, sans adresser les autres défis environnementaux du sport, tels que la logistique et la consommation énergétique des événements. Une avancée certes significative, mais qui ne résout qu'une partie du problème.

Il y a 19 h

Le Grand Prix des Pays-Bas, réintroduit au calendrier en 2021 après une pause de 36 ans, quittera la scène de la Formule 1 à l'issue de la saison 2026. Une prolongation d'un an du contrat avec le promoteur a été confirmée, permettant à Zandvoort de rester au programme jusqu'à cette date.

Cependant, cette échéance marquera la fin d'une courte mais intense période marquée par la ferveur des fans locaux et une domination éclatante de Max Verstappen, vainqueur des trois éditions disputées à ce jour sur le circuit.

Ce retrait, annoncé par Robert van Overdijk, directeur du Grand Prix, découle d'une décision du promoteur, qui préfère conclure sur une note positive. Dans sa déclaration, il met en avant la nécessité de prendre en compte les responsabilités et les risques inhérents à l'organisation d'un tel événement, tout en saluant le succès populaire et sportif des éditions précédentes. Ce choix, bien que légitime pour une organisation privée, intervient dans un contexte de pressions croissantes sur les circuits européens face à l'expansion mondiale de la Formule 1.

Stefano Domenicali a exprimé sa gratitude envers le travail accompli à Zandvoort, en soulignant notamment l'exemplarité de l'événement en matière de spectacle et de durabilité. Cependant, son discours laisse également transparaître une logique de compromis : la volonté de maintenir un équilibre entre les Grands Prix historiques européens et l'inclusion de nouvelles destinations comme l'Afrique, toujours absente du calendrier moderne.

La décision du promoteur néerlandais pourrait refléter un changement plus large. Alors que la Formule 1 atteint un record de 24 courses en 2024, les calendriers à venir devront concilier une diversité géographique accrue et les exigences des circuits historiques. Des lieux emblématiques comme Spa, Barcelone ou Imola sont régulièrement évoqués pour une rotation des Grands Prix, et Zandvoort, malgré son succès fulgurant, pourrait n'être qu'un des premiers à céder sous cette pression.

L'annonce d'une édition finale incluant une Sprint en 2026 semble calibrée pour maximiser l'intérêt des fans et conclure sur une apogée médiatique. Mais elle pose aussi une question : la Formule 1, dans sa quête d'universalité, risque-t-elle de diluer ses racines européennes ? Avec la disparition simultanée d'autres rendez-vous historiques, le retrait de Zandvoort est un signal : chaque Grand Prix doit justifier sa place dans un calendrier toujours plus concurrentiel (et avec des pays prêts à mettre de l'argent... beaucoup d'argent - contrairement à la France).

Les fans néerlandais, eux, auront encore deux occasions de célébrer leur héros national (avant la retraite ? Qui sait...), dans un cadre qu'ils ont contribué à rendre mémorable. Mais cette annonce marque déjà la fin d'une aventure, dont l'héritage sera scruté pour comprendre le futur des circuits européens dans une Formule 1 en pleine mutation.

Il y a 5 h

Haas F1 Team a confirmé qu'Esteban Ocon et Ryo Hirakawa piloteront la VF-24 lors des essais de fin de saison sur le circuit de Yas Marina, le mardi 10 décembre, juste après le Grand Prix d'Abu Dhabi.

Dans le cadre de cette journée cruciale pour préparer la saison 2025, les dix équipes aligneront deux voitures : l'une dédiée à un rookie, l'autre à un pilote expérimenté. Ocon, fraîchement arrivé chez Haas, fera ses premiers tours de roue avec sa nouvelle équipe en tant que pilote titulaire pour 2025. À ses côtés, Ryo Hirakawa, pilote de réserve Toyota et rookie dans le cadre de cette session, découvrira également la monoplace américaine.

Ces essais seront l'occasion pour Haas de collecter des données essentielles pour développer un peu plus la voiture et, surtout, débuter sa collaboration avec Esteban Ocon.

Il y a 5 h

Pour son ultime course avec l'équipe Sauber, Zhou Guanyu a dévoilé un casque unique chargé d'émotion.

Orné de photos marquant ses trois années passées en Formule 1, ce design raconte des souvenirs précieux, tant sur la piste qu'en dehors, mettant en avant des moments partagés avec son coéquipier Valtteri Bottas, des fans, et même son chat.

Le casque arbore également des éléments traditionnels chinois dorés sur fond rouge, symbolisant la chance et la prospérité, un clin d'œil à ses racines. Créé par KV Design et produit par Bell Racing, ce casque est une véritable œuvre d'art, célébrant le parcours de Zhou avant de tourner la page.

Alors que Zhou se prépare pour "une dernière danse" avec Sauber, ce casque spécial est un témoignage de gratitude envers ses coéquipiers, supporters et partenaires.

Il y a 3 h

Genesis fait une entrée remarquée dans le sport automobile avec Magma Racing, son écurie d'endurance dévoilée aujourd'hui.

Au cœur de ce projet, l'hypercar Genesis GMR-001, véritable vitrine de la vision de la marque pour l'endurance.

Développée sur un châssis Oreca, la GMR-001 allie design futuriste et technologies de pointe. Son programme débutera en 2026 dans le Championnat du Monde d'Endurance (WEC) avant de rejoindre l'IMSA en 2027. Genesis a confié l'exploitation de Magma Racing à IDEC Sport, une structure française réputée dans le domaine de l'endurance.

L'écurie s'appuiera sur deux pilotes expérimentés pour ses débuts : André Lotterer, multiple vainqueur des 24 Heures du Mans, et Pipo Derani, référence du prototype en Amérique du Nord. Ce duo promet de porter haut les ambitions de Genesis sur les circuits internationaux.

Avec Magma Racing, Genesis veut se positionner comme concurrent sérieux dans le paysage de l'endurance mondiale, bien décidé à rivaliser avec les plus grands noms de la discipline.

Il y a 1 h

Charles et Arthur Leclerc partageront la piste en FP1 pour la Scuderia Ferrari, devenant les premiers frères à rouler ensemble en Formule 1 sous les couleurs d'une même écurie.

Si des frères ont marqué la discipline dans le passé, comme les Schumacher (Michael et Ralf) ou les Fittipaldi (Emerson et Wilson), aucun duo fraternel n'avait encore eu l'opportunité d'évoluer en tandem dans une même équipe lors d'une session officielle.

Le parcours d'Arthur est d'autant plus remarquable que, faute de moyens financiers suffisants, la famille Leclerc a dû concentrer ses ressources sur la carrière de Charles, contraignant Arthur à interrompre sa progression pendant plusieurs années.

"À l'âge de huit ans, mon père n'avait plus les ressources pour faire rouler à la fois Charles et moi, se remémore-t-il. J'ai dû arrêter jusqu'à mes quatorze ans", expliquait Arthur Leclerc à Monaco Tribune en 2020.

En effet, après avoir remporté le Kart Racing Academy en 2014, il a dû faire une pause avant de reprendre la compétition en 2018 en Championnat de France F4, où il a terminé cinquième du championnat.

Un moment historique qui fera sans doute la fierté de leur famille et du peuple monégasque.

Par ailleurs, il est à noter qu'après ce premier roulage commun en FP1, Arthur poursuivra son travail avec Ferrari en participant au test post-saison mardi prochain, où il partagera une monoplace avec Antonio Fuoco, tandis que Charles roulera dans la seconde voiture.

Il y a 34 minutes

Polyphony Digital propose une nouvelle expérience pour attirer un public encore plus large : "My First Gran Turismo", une version bridée mais gratuite (une sorte de démo) de Gran Turismo 7, sera disponible en téléchargement sur le PlayStation Store à partir du 6 décembre 2024.

Conçu pour initier les nouveaux joueurs aux fondamentaux de Gran Turismo, ce jeu met l'accent sur trois piliers : conduire, apprendre sur les voitures et les collectionner. Avec une sélection variée de 18 véhicules, allant des compactes aux supercars, chaque modèle a été réglé pour offrir une expérience de conduite accessible et plaisante.

Les modes emblématiques comme le Licence Centre, où des tutoriels expliquent les bases du pilotage et les techniques de course, le Music Rally, et les Time Trials sont inclus. Ces activités permettent d'enregistrer des records personnels et d'ajouter un aspect compétitif avec un classement, idéal pour jouer en famille ou entre amis. Notons qu'il n'y a pas de monde online.

Avec une jouabilité simplifiée et une progression axée sur le plaisir, cette version allégée offrira sûrement une porte d'entrée idéale pour s'initier au pilotage sans être submergé par les fonctionnalités complexes du titre principal.

Disponible gratuitement, "My First Gran Turismo" pourrait séduire ceux, de 7 à 77 ans, qui n'ont pas encore franchi le pas tout en ravivant la curiosité des anciens joueurs. Un coup de volant à tester dès le mois prochain !

Il y a 12 minutes

Lewis Hamilton a prolongé chez Mercedes AMG F1 jusqu'en 2025

01/09/2023

Lewis Hamilton a prolongé chez Mercedes AMG F1 jusqu'en 2025 - Crédit photo : Mercedes - LAT
Crédit photo : Mercedes - LAT 

Le septuple champion du monde de F1, Lewis Hamilton, a resigné chez Mercedes et sera encore là en 2024 et en 2025. Le pilote britannique de 38 ans s'est exprimé en conférence de presse à Monza.

40 ans et toujours en F1 ? Une perspective qui n'était pas forcément prévue par Sir Lewis Hamilton ! Mais ça se fera. En effet, le contrat de prolongation du Britannique avec l'écurie allemande a été conclu cette semaine. "En fait, tout a été finalisé la semaine dernière, le week-end dernier", dit-il.

Soutenu par Mercedes depuis ses 13 ans, le natif de Stevenage est heureux de prolonger avec la marque allemande et son écurie. Leur épopée, sur la piste et en dehors, n'est donc pas prête de se terminer et il avoue ne pas avoir d'endroit où il préfèrerait être en F1, surtout avec les "affaires inachevées" qui les lient.

Lewis Hamilton a déclaré à propos de son union historique avec Mercedes : "Nous rêvons chaque jour d'être les meilleurs, et nous avons consacré la dernière décennie ensemble à atteindre cet objectif. Être au sommet ne se produit pas du jour au lendemain ni sur une courte période, cela demande de l'engagement, du travail acharné et de la dédication, et c'a été un honneur de gagner notre place dans les livres d'histoire avec cette équipe incroyable."

Avait-il des doutes sur sa volonté de continuer ? Lewis Hamilton rétorque : "Non, non, je voulais vraiment continuer. Je veux dire, je pense que dans la vie, il y a toujours... Quand vous avez des hauts et des bas, comme l'année dernière a été une année difficile, je suis sûr que tout le monde se demandait s'ils voulaient continuer, car c'est juste difficile au sommet. Et c'est un sport tellement difficile."

"Mais ce sentiment, cette pensée, disparaît rapidement et vous mettez votre travail, votre esprit et votre énergie dans le fait d'être le meilleur possible et de faire face aux situations auxquelles vous êtes confronté. Donc, je suis vraiment fier de ce que nous avons accompli l'année dernière pour traverser cela. Et alors que nous avons mal commencé cette année, nous avons obtenu de très bons résultats, nous sommes deuxièmes au championnat des constructeurs, et le plan est de le maintenir et ensuite de réduire l'écart avec le gars devant."

On peut imaginer que l'objectif pour ses deux années de prolongation que sont 2024 et 2025 est simple. L'homme aux 103 victoires en Formule 1 répond : "L'objectif est simple, oui. Fixer l'objectif est simple. Atteindre cet objectif ne l'est pas."

"Mais cela va nécessiter que nous tirions tous dans la même direction... Je pense que chaque équipe ici et chaque pilote travaille si dur pour maîtriser le package aéro qu'ils ont et l'équipe qu'ils ont et pour rassembler tout le monde. Et avoir tout le monde qui fonctionne à plein régime n'est pas facile dans une grande équipe. Et cela nécessite donc un travail constant. Et du point de vue d'un pilote, vous savez, il suffit de vous assurer que vous performez chaque week-end."

Malgré sa grande expérience et ses nombreuses années dans la catégorie reine, Lewis a encore une marge de progression : "Même si je conduis et que je cours depuis toutes ces années, j'ai toujours l'impression que je peux m'améliorer chaque week-end. Et je pense que c'est ce que j'aime dans ce sport - vous n'atteindrez jamais la perfection, mais la poursuite de la perfection est l'une des choses les plus excitantes de ce que nous faisons."

Pour en revenir aux "affaires inachevées" mentionnées précédemment, quelles sont-elles ? Hamilton répond clairement : "Eh bien, nous essayons de remporter plus de championnats du monde, et je pense que, oui, les affaires inachevées consistent à nous ramener en haut, à revenir et à lutter pour les championnats du monde. Nous avons été l'équipe la plus réussie de l'histoire et nous avons connu la période la plus réussie des dix dernières années ou quelque chose comme ça, mais cela a été un défi l'année dernière. Donc, je pense que oui, il s'agit simplement de nous ramener là où nous appartenons et où nous fonctionnons avec tous ces cylindres, comme vous le voyez Red Bull le faire. Je ne me souviens pas de la dernière partie."

Et Abou Dhabi 2021 doit faire partie de ces fameuses affaires, une certaine vengeance doit trotter dans sa tête ? Que nenni ! Lewis explique : "Et en ce qui concerne 2021, je ne suis pas vraiment une personne avide de vengeance. Ce n'est pas une question de vengeance. Ce n'est pas une question de rédemption. C'est du passé."

"On ne peut rien faire pour le passé, mais ce que nous pouvons faire, c'est travailler plus dur, être plus précis et être meilleurs à l'avenir. Et je crois vraiment qu'avec cette équipe, nous pouvons remporter plus de championnats du monde et regarder des courses ensemble, c'est là que va toute mon énergie."

La volonté de gagner de nouveaux titres avec Mercedes a-t-elle été le seul facteur qui l'a convaincu de resigner ? Qu'ont-ils dit ? Pour le numéro 44, ça repose sur un ensemble d'observations qu'il a pu faire et d'actions entreprises pour sortir l'écurie de sa situation actuelle : "C'est ce que vous voyez."

"Ce n'est pas nécessairement ce que quelqu'un dit, c'est le travail que vous faites, ce sont les réunions que nous avons eues avec tous les ingénieurs, avec James Allison et l'ensemble du groupe de retour à l'usine qui se concentre simplement sur... les responsables de tous les départements se réunissant et discutant et s'engageant vraiment mieux que jamais sur où nous en sommes, les erreurs que nous avons commises, pourquoi nous avons pris ces décisions et pourquoi nous ne les referons pas, et où nous allons."

"Et avoir cette confiance les uns en les autres que nous sommes les meilleurs dans ce que nous faisons et que lorsque nous nous réunissons et que nous... en prenant le temps, nous arriverons là où nous devons être."

Et la motivation ne manque pas : "Nous n'avons jamais été aussi déterminés à gagner. Nous avons appris de chaque succès, mais aussi de chaque revers. Nous continuons à poursuivre nos rêves, nous continuons à nous battre quel que soit le défi, et nous gagnerons à nouveau."

Sinon, Lewis Hamilton est-il surpris par sa longévité dans le sport ? En effet, il expliquait il n'y a pas si longtemps que l'idée de courir au-delà de son quarantième anniversaire était quelque chose que qu'il ne pouvait pas imaginer ou qui ne semblait pas vraiment l'attirer. "Oui, certainement. Je n'aurais certainement pas pensé être à mon âge et me sentir comme je le fais, physiquement et mentalement, et aimer toujours autant ce que je fais."

"C'est quelque chose pour lequel je suis incroyablement reconnaissant. Je pense que beaucoup de gens restent dans les mêmes emplois et rôles pendant longtemps et finissent par ne plus l'aimer, mais continuent parce que c'est peut-être la seule chose qu'ils peuvent faire, mais pour moi, j'aime sincèrement, j'ai toujours cet amour pour ce que je fais."

"J'aime toujours monter dans la voiture. J'aime toujours courir avec mes pairs et j'aime toujours travailler aux côtés de Bono et de tous les gars dans le garage, dans l'équipe, pour poursuivre cet objectif et ce rêve communs. Et j'aime cette sensation quand vous traversez les bas ensemble et quand vous avez les hauts ensemble, il n'y a rien de tel."

Et dans son périple en F1, il continue à embarquer son ingénieur, Peter Bonnington, avec lui : "Oui, Bono est coincé. Ouais, je suis très chanceux et encore une fois, c'est comme l'histoire aussi. Je ne pense pas qu'il y ait déjà eu une association pilote-ingénieur qui ait duré aussi longtemps. Donc, nous établissons de nouveaux records."

Références FIA Mercedes-AMG F1

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