Casque par Orlinski spécial Grand Prix de Miami pour Esteban Ocon.

Casque spécial #MiamiGP pour Liam Lawson qui pilotera une Racing Bulls avec livrée rose fluo.
Pour accompagner sa combinaison bleue et blanche du Grand Prix de Miami, Charles Leclerc a opté pour un casque dans la même palette bicolore.
Sobre et beau, il faut l'avouer ! On aurait aimé une livrée aussi belle pour sa Ferrari.
Lewis Hamilton va agrémenter la livrée Ferrari HP rouge, blanche et bleue de Miami avec un casque qui conserve la base jaune mais opte pour le bleu en ce qui concerne les traits et détails.
À l'occasion du Grand Prix de Miami, Jack Doohan arbore un casque aux allures de carte postale, né d'une collaboration inattendue avec Jason Oppenheim et son agence immobilière de luxe, The Oppenheim Group.
Le design mêle l'esthétique de South Beach à des éléments architecturaux issus de l'univers Oppenheim, avec palmiers, villas modernes et coucher de soleil stylisé en toile de fond.
Interrogés sur l'incident entre Oscar Piastri et Max Verstappen au premier virage du Grand Prix de Djeddah, Nico Hülkenberg, George Russell et Lewis Hamilton ont livré une lecture convergente, estimant qu'il s'agissait d'un fait de course relevant de la normalité à ce niveau de compétition. Hülkenberg a rappelé que les deux pilotes étaient engagés dans une lutte pour le championnat : "Eh bien, je pense que ces gars-là se battent pour le championnat, c'est ce que ça semble être en ce moment, et ça va probablement continuer comme ça. Donc il n'y a pas de cadeaux quand on se bat pour un titre, ni en course de manière générale."
Il a poursuivi en minimisant l'incident : "C'est une action du premier tour, au virage 1 – on arrive à assez haute vitesse même si ce n'est pas la plus longue des lignes droites. Donc pour moi, c'est simplement une partie de la course."
George Russell a abondé sans nuance, répondant d'un simple : "Ouaip."
Lewis Hamilton, également invité à donner son avis, n'a pas ajouté de commentaire, validant de fait l'analyse de ses collègues.
Aucun des trois pilotes n'a remis en question la pénalité de cinq secondes infligée à Verstappen, ni appelé à une sanction plus sévère, ni estimé que l'incident aurait dû rester sans suite. Tous ont semblé considérer qu'il s'agissait d'un épisode de course typique, dans un contexte où chaque centimètre compte.
La question des relations entre les pilotes et la FIA, ravivée par les récentes polémiques autour des sanctions et de la communication, a donné lieu à des échanges francs en conférence de presse. George Russell, très actif dans son rôle au sein du GPDA, a exprimé une forme d'agacement face aux annonces de bonne volonté restées sans suite concrète : Sur le principe, oui. Mais évidemment, on veut voir ces choses mises en œuvre, pas juste entendre qu'‘on y réfléchit'. [...] Ces mots ne veulent rien dire tant que le changement n'est pas appliqué."
Il a également déploré que les pilotes soient réduits à des lettres ouvertes faute de dialogue structuré avec les instances : "C'est… Je trouve que nous vivons une période sans précédent depuis 18 mois avec tous les changements. [...] On est ici pour courir, pour offrir le meilleur spectacle possible aux fans, avec les voitures les plus rapides et les plus sûres [...] et pourtant on passe notre temps à parler d'amendes, de punitions et de jurons."
Lewis Hamilton a confirmé cette frustration sur le manque de place des pilotes dans les processus décisionnels : "En fin de compte, nous n'avons pas de pouvoir à la table des décisions, et ça doit changer, selon moi."
Il a défendu l'idée d'un renforcement du poids des pilotes, non pas pour gouverner le sport, mais pour contribuer aux décisions avec un point de vue unique : ""Nous ne cherchons pas à tout contrôler – on veut juste collaborer davantage et être entendus. [...] C'est important d'avoir le point de vue des pilotes, et c'est tout ce qu'on essaie d'apporter."
À la question de savoir si le post Instagram du président Ben Sulayem annonçant une "réflexion en cours" sur ces sujets faisait suite à une vraie discussion, Russell a répondu sèchement : ""Collectivement, on n'a pas eu d'échange supplémentaire depuis la lettre ouverte. Donc est-ce que ça, c'est la réponse ? Je ne suis pas sûr."
Hamilton a confirmé l'unité des pilotes : "Je pense qu'en fin de compte, le GPDA est très uni. [...] On travaille pour… pour pouvoir, à terme, collaborer plus étroitement avec la FIA."
Le ton était clair : les pilotes veulent passer de la consultation de façade à une vraie collaboration, structurée, durable et respectueuse de leur expérience de terrain.La question des relations entre les pilotes et la FIA, ravivée par les récentes polémiques autour des sanctions et de la communication, a donné lieu à des échanges francs en conférence de presse. George Russell, très actif dans son rôle au sein du GPDA, a exprimé une forme d'agacement face aux annonces de bonne volonté restées sans suite concrète : "Conceptually, yes. But obviously we want to see these things put into action rather than saying 'we're considering things'. [...] Those words don't mean anything until the change has been made."
("Sur le principe, oui. Mais évidemment, on veut voir ces choses mises en œuvre, pas juste entendre qu'‘on y réfléchit'. [...] Ces mots ne veulent rien dire tant que le changement n'est pas appliqué.")
Il a également déploré que les pilotes soient réduits à des lettres ouvertes faute de dialogue structuré avec les instances : "It's… I feel it's like unprecedented times we've been in over the last 18 months with what's been changed and what's happening. [...] We're here to go racing, we're here to create the best show for the fans, to have the fastest cars, the safest cars [...] and yet we talk about fines and punishments and swearing."
("C'est… Je trouve que nous vivons une période sans précédent depuis 18 mois avec tous les changements. [...] On est ici pour courir, pour offrir le meilleur spectacle possible aux fans, avec les voitures les plus rapides et les plus sûres [...] et pourtant on passe notre temps à parler d'amendes, de punitions et de jurons.")
Lewis Hamilton a confirmé cette frustration sur le manque de place des pilotes dans les processus décisionnels : "Ultimately, we don't hold a power seat at the table, and that needs to change, in my opinion."
("En fin de compte, nous n'avons pas de pouvoir à la table des décisions, et ça doit changer, selon moi.")
Il a défendu l'idée d'un renforcement du poids des pilotes, non pas pour gouverner le sport, mais pour contribuer aux décisions avec un point de vue unique : "We don't want to control things – we just want to collaborate more and have our voices heard. [...] It's good to have the point of view from the driver's perspective, and that's all we try to give."
("Nous ne cherchons pas à tout contrôler – on veut juste collaborer davantage et être entendus. [...] C'est important d'avoir le point de vue des pilotes, et c'est tout ce qu'on essaie d'apporter.")
À la question de savoir si le post Instagram du président Ben Sulayem annonçant une "réflexion en cours" sur ces sujets faisait suite à une vraie discussion, Russell a répondu sèchement : "Collectively we've not spoken any further since the open letter that was sent out. So whether that is the response – I'm not too sure."
("Collectivement, on n'a pas eu d'échange supplémentaire depuis la lettre ouverte. Donc est-ce que ça, c'est la réponse ? Je ne suis pas sûr.")
Hamilton a confirmé l'unité des pilotes : "I think ultimately the GPDA is very unified. [...] We are working to… ultimately we want to be able to work closely with the FIA."
("Je pense qu'en fin de compte, le GPDA est très uni. [...] On travaille pour… pour pouvoir, à terme, collaborer plus étroitement avec la FIA.")
Le ton était clair : les pilotes veulent passer de la consultation de façade à une vraie collaboration, structurée, durable et respectueuse de leur expérience de terrain.
Questionnés sur les qualités du Grand Prix de Miami et les points à améliorer, les pilotes ont unanimement salué l'ambiance de l'événement tout en pointant quelques aspects logistiques à revoir. Yuki Tsunoda a ouvert la séquence avec légèreté : "Alors, on parle du circuit ou… ? La nourriture est bonne !"
Il s'est ensuite montré assez neutre sur le reste : ""Jusqu'ici, pas de plaintes je crois. Oui, c'est bien."
Pierre Gasly a ironisé sur le trafic en rappelant que les pilotes bénéficiaient d'un traitement particulier : "Tu as une escorte policière, de quoi tu te plains !"
Mais au-delà de cette petite vanne à son ancien coéquipier chez AlphaTauri, il a insisté sur le cadre unique offert par la ville : "Miami est une ville géniale. Il y a toujours une belle énergie en ville. [...] On ressent vraiment l'ambiance de Miami, ce qui est assez différent de ce qu'on connaît en Europe."
Il a aussi reconnu envier Norris pour y avoir signé sa première victoire.
Lando Norris, justement, a abondé dans le même sens : "Miami est un super endroit. Bien sûr, c'est très fun. [...] Il y a beaucoup de stars, d'athlètes et de célébrités, ce qui est toujours sympa. J'aime bien ce genre d'ambiance."
Il a néanmoins pointé un problème récurrent : "Le trafic est affreux. Est-ce pire qu'au Mexique ? Peut-être bien."
George Russell s'est montré plus technique dans son appréciation : "C'est une course folle. Le circuit est un peu bizarre. Cette section étroite – on ne l'aime pas, mais elle est différente. [...] On ne veut pas que tous les circuits se ressemblent non plus."
Il a noté les améliorations visibles dans les infrastructures, notamment à l'intérieur du stade.
Nico Hülkenberg a rejoint cet avis : "Oui, personnellement j'aime bien ici aussi. Comme George l'a dit, c'est un peu différent."
Mais il a regretté un changement cette année : "Apparemment, le Grand Prix a réduit le budget consacré aux escortes policières. Ce serait bien de rétablir ça l'an prochain, s'il vous plaît."
Il a aussi trouvé que l'horaire de la course, jugé trop tardif, méritait d'être repensé.
Lewis Hamilton, de son côté, n'a pas formulé de critique particulière, se contentant d'un : "Rien ne me vient vraiment à l'esprit sur ce qu'il faudrait améliorer ici."
Depuis son coup d'éclat à Melbourne, Nico Hülkenberg n'a pas retrouvé le même niveau de compétitivité au volant de la C45. Il a reconnu que les dernières courses avaient été plus compliquées pour Sauber, en particulier à Djeddah où l'équipe n'a pas su exploiter son potentiel : "Sur certains circuits, nous avons été un peu plus compétitifs que sur d'autres. Je pense qu'à Djeddah en particulier, nous n'avons pas maximisé le potentiel en qualifications, et en course, nous n'étions tout simplement pas assez compétitifs."
Il a expliqué ces résultats en demi-teinte par une sensibilité prononcée de la monoplace aux caractéristiques du tracé : "J'ai l'impression que ça dépend pas mal du circuit."
En ce sens, Miami pourrait s'avérer plus favorable : "D'après ce qu'on a vu jusqu'à présent, c'est peut-être un peu plus les virages lents et moyens qui nous conviennent."
Au-delà des considérations techniques, Hülkenberg a insisté sur l'importance de ne pas relâcher l'effort, même à l'approche de l'ère Audi : "Tout ce qu'on fait maintenant comptera d'une manière ou d'une autre pour l'an prochain. Bien sûr, le règlement sera différent, mais il faut avancer en parallèle."
Il a rappelé qu'il restait encore beaucoup à jouer en 2025 : "Je veux quand même voir des progrès cette année et on veut marquer plus de points. La saison est encore longue, on n'en est qu'au début."
George Russell a dressé un premier bilan positif de son début de saison, en admettant que les résultats avaient légèrement dépassé les attentes de l'équipe : "Non, je pense que c'est probablement mieux que ce qu'on attendait avant la saison, pour être honnête."
Il a cependant rappelé que ces podiums ne reflétaient pas une domination, mais plutôt une bonne régularité dans un peloton encore très dense.
À ses yeux, la hiérarchie reste claire : "Le rythme s'est avéré là où on s'y attendait – un cran derrière McLaren, puis une bagarre serrée avec Red Bull et Ferrari."
Il situe donc Mercedes comme troisième force du plateau, une position qu'il juge cohérente avec les performances observées jusqu'ici.
Revenant sur le Grand Prix de Djeddah, Russell a reconnu avoir poussé la voiture au-delà de ses capacités pour rester au contact de Charles Leclerc : "Je pilotais probablement trop vite par rapport à ce que les pneus et la voiture pouvaient supporter, et ensuite on a tout perdu d'un coup ["we dropped off a cliff"]."
Concernant le week-end à Miami, il s'est montré partagé : "J'ai confiance dans le rythme en qualifications, ça devrait aller, mais pour le rythme de course… il y a un peu plus d'incertitude."
Il reste prudent sur la capacité de la W16 à bien gérer les pneus dans des conditions proches de celles de Djeddah.
Toujours en phase d'apprentissage au sein de Ferrari, Lewis Hamilton a reconnu que la prise en main de la SF-25 ne s'était pas faite naturellement. "Je travaille clairement dur pour m'adapter à cette voiture, c'est certain" a-t-il admis.
Lorsqu'on lui a demandé s'il pouvait piloter instinctivement, il a précisé : "On est toujours un mélange des deux, mais oui, je fais beaucoup d'efforts pour m'adapter."
Il a comparé cette période d'adaptation à celle vécue en 2013 lors de son arrivée chez Mercedes : "Quand j'ai rejoint Mercedes, les six premiers mois ont été difficiles pour m'habituer à travailler avec de nouvelles personnes."
Il a précisé que les ingénieurs de Maranello étaient encore en phase de compréhension de ses besoins : "Les ingénieurs avec qui je travaille sont habitués à régler une voiture pour un autre pilote et un autre style de pilotage."
La pause entre Djeddah et Miami lui a permis d'intensifier son travail dans le simulateur : "Oui, j'ai passé pas mal de temps en Italie. On a beaucoup travaillé, fait de bonnes séances de simulateur. On a procédé à certains ajustements."
Mais il a reconnu ne pas savoir si cela porterait ses fruits : "On verra si ça fonctionne ce week-end."
À court terme, il n'a pas formulé d'objectif précis : "On fera de notre mieux. Nous n'avons pas d'évolution technique ce week-end."
Sur un ton plus léger, il a évoqué sa difficulté à résister aux tentations locales : "J'étais à Maranello la semaine dernière et j'ai mangé trois pizzas en deux jours. J'ai mon gars sûr – il continue à m'apporter des pizzas."
Il a ajouté qu'il ne vivait pas encore en Italie, mais envisageait d'y passer plus de temps malgré la lenteur de ses progrès en italien.
Questionné sur les critiques entourant son adaptation, il s'est montré détaché : "J'essaie de ne pas trop faire attention aux opinions de ceux qui ne savent pas réellement ce qui se passe."
Enfin, en marge du sport, il a salué l'influence de David Beckham, dont il a suivi de près la carrière et la reconversion : ""J'ai rejoint son ancienne équipe de management il y a de nombreuses années avec pour objectif d'essayer de faire quelque chose de similaire – inspiré par ce qu'il a accompli."
En lien avec le merch Mercedes pour Miami, Kimi Antonelli aura un casque aux tons roses et à fleurs pour la course américaine.
Miami 2025