Fernando Alonso s'apprête à célébrer une étape symbolique lors du Grand Prix du Mexique 2024, avec un casque spécialement conçu pour marquer l'occasion.

Cependant, bien que l'équipe Aston Martin mette en avant 400 engagements en F1, chiffre atteint à Austin le 20 octobre 2024, le décompte exact de ses participations reste sujet à débat. Selon les bases de données, après le GP du Mexique, Alonso comptera 398 participations officielles, avec 3 non-participations, ou 397 Grands Prix complétés et 4 non-participations selon StatsF1.

Il est donc encore légèrement en dessous des 400 courses disputées. Quoi qu'il en soit, cet hommage souligne la longévité et l'impact du double champion du monde en F1.

Il y a 18 h

Hamilton : Verstappen peut être fier de son travail

11/11/2022

Hamilton : Verstappen peut être fier de son travail - Crédit photo : F1 / GETTY - Jared C Tilton
Crédit photo : F1 / GETTY - Jared C Tilton 

« Je pense qu'il a fait un travail incroyable, il a fait tout ce qu'il avait à faire. L'équipe lui a fourni une voiture incroyable et il a livré [une performance] à peu près tous les week-ends. »

Hier, jeudi 10/11/2022, Lewis Hamilton a encensé la saison 2022 de son grand rival de 2021 en Formule 1 : Max Verstappen.
Il faut dire que le double champion du monde de 25 ans en est tout de même à 14 victoires, 16 podiums et 18 "Top 10" sur 20 courses cette saison.

"Je pense qu'il a fait un travail incroyable, il a fait tout ce qu'il avait à faire. L'équipe lui a fourni une voiture incroyable et il a livré [une performance / ce que l'on attendait de lui] à peu près tous les week-ends."

Le septuple champion du monde sait d'ailleurs bien ce que vit le Néerlandais : "Il peut être fier du travail qu'il a fait, je sais ce que ça fait d'être dans une position comme ça."

En marge de ces compliments, Lewis Hamilton a indiqué que la deuxième place au championnat des constructeurs était importante pour son écurie et son personnel. En effet, une meilleure position dans cette hiérarchie équivaut à des primes plus élevées. Ceci ne serait pas négligeable à un moment où la Grande-Bretagne traverse une crise du coût de la vie avec des coûts énergétiques grimpant en flèche.