"Rien ne passe plus vite que le temps d'une vie.", tel est le slogan de la mini-série NETFLIX inspirée de la vie du pilote Ayrton Senna.

Les six épisodes de "Senna" sortiront le 29 novembre sur le service de streaming vidéo payant. On y retrouvera Gabriel Leone dans le rôle du champion brésilien, Patrick Kennedy dans le rôle de Ron Dennis, Charlie Hambletty incarnera Martin Brundle, Camila Márdila sera Viviane Senna et Matt Mella aura le rôle du "grand méchant" puisqu'il enfilera la combinaison d'Alain Prost.

Il y a 23 h

Alpine Racing SAS accepte un accord de violation avec la FIA pour un manquement procédural aux règles financières des unités de puissance, alors que Honda est également concernée.

L'administration des coûts de la FIA a relevé des omissions dans les documents 2023 d'Alpine, nécessitant une mise à jour en mai 2024.

Aucun gain indu ni intention de fraude n'a été constaté.

Signé le 11 octobre 2024, cet accord impose à Alpine de s'acquitter d'une amende de 400000 dollars (USD) et de couvrir les frais administratifs, dans un délai de 30 jours.

Il y a 22 h

Honda Racing Corporation (HRS) a accepté un accord de violation avec la FIA pour un manquement procédural similaire, Alpine étant également impliquée dans ce processus.

HRC a soumis des documents contenant des exclusions et ajustements incorrects de certains coûts. Malgré ces erreurs, aucun avantage indu n'a été obtenu.

Signé le 7 octobre 2024, cet accord impose à Honda une amende de 600000 dollars (USD), payable sous 30 jours, ainsi que la prise en charge des frais administratifs associés.

Il y a 22 h

Sébastien Loeb, nonuple champion du monde des rallyes, et Hayden Paddon, meilleur pilote néo-zélandais et champion ERC 2024, participeront à la Race Of Champions 2025, organisée pour la première fois dans l'hémisphère sud, à l'Accor Stadium de Sydney, les 7 et 8 mars.

Loeb visera un cinquième titre individuel "Champion des Champions", tandis que Paddon représentera la Nouvelle-Zélande pour sa première participation dans la ROC Nations Cup.

Pour rappel, la compétition accueillera également l'équipe allemande avec Sebastian Vettel et Mick Schumacher, et l'équipe australienne dirigée par Jamie Whincup, septuple champion de Supercars.

Le circuit en asphalte de 1 km, spécialement conçu pour l'événement, promet de magnifiques batailles entre des pilotes de disciplines variées comme la F1, l'IndyCar, et le rallye.

Les deux pilotes fraîchement annoncés sont enthousiastes ! Loeb, qui garde un excellent souvenir de ses victoires passées à la ROC, se dit prêt à viser le titre. Paddon, quant à lui, est honoré de représenter la Nouvelle-Zélande et espère une forte mobilisation des fans néo-zélandais pour cet événement unique dans la région.

Il y a 5 h

Pirelli rend hommage à Ayrton Senna lors du Grand Prix du Brésil 2024 avec deux objets symboliques et exclusifs : une édition spéciale du Pole Position Award et une casquette de podium aux couleurs brésiliennes.

Le Pole Position Award, un trophée en forme de roue avec pneu estampillé Pirelli, arbore les couleurs nationales vert, jaune et bleu, en hommage à la légende brésilienne, et est marqué du célèbre logo "S" de Senna. Ce trophée sera mis aux enchères en partenariat avec l'Institut Senna, offrant aux fans l'opportunité de contribuer aux actions de l'institut en mémoire du pilote.

La casquette de podium reprend également les couleurs vibrantes du drapeau brésilien, avec le logo de Senna fièrement brodé. Ce modèle commémoratif arbore le drapeau du Brésil, ainsi que des lauriers et inscriptions en vert, rappelant les liens historiques avec la deuxième maison de Bragance, une des grandes familles royales portugaises.

Il y a 4 h

Le Grand Prix du Brésil 2024, à São Paulo, marque la dernière étape de la tournée américaine de la F1, et cette année, l'intégralité des 4,309 kilomètres du circuit d'Interlagos a été refaite.

Contrairement aux circuits d'Austin et de Mexico où seules certaines sections avaient été resurfacées, l'asphalte de Sao Paulo a été entièrement renouvelé, y compris la voie des stands, rapporte Pirelli. Ce nouveau revêtement, plus abrasif grâce à un nettoyage haute pression, représente un défi inédit pour les équipes et les pilotes.

Pirelli a choisi une gamme de pneus plus tendres qu'en 2023 pour cette course, avec le C3 comme pneu dur, le C4 comme médium et le C5 comme tendre. Cette décision, combinée au format Sprint qui ne laisse qu'une seule séance d'essais libres, complique encore davantage la préparation et les choix stratégiques. Comme on l'a vu à Austin, le Sprint peut être une précieuse opportunité d'ajustement avant la course principale.

Interlagos, avec ses 15 virages et ses forces latérales et longitudinales modérées, pourrait offrir des temps au tour plus rapides en raison de la nouvelle surface. Cela augmentera le stress sur les pneus, favorisant probablement une stratégie à deux arrêts, surtout avec des composés plus tendres. En 2023, la plupart des pilotes avaient opté pour un départ en pneus tendres, avec un changement de stratégie permis par un drapeau rouge en début de course. Cette année, la diversité de stratégies possibles pourrait rendre la course encore plus imprévisible, renforcée par les traditionnels aléas météorologiques et les possibles interventions de la voiture de sécurité.

Il y a 4 h

Sauber Motorsport AG amorce un nouveau chapitre dans sa transformation en vue de l'entrée d'Audi en 2026, en nommant trois figures clés aux postes stratégiques.

Giampaolo Dall'Ara prend la tête du département de l'ingénierie de course dans un rôle nouvellement créé. Responsable des opérations à Hinwil et en piste, il devra harmoniser les efforts de l'équipe pour maximiser les performances de la monoplace. Ancien responsable de l'ingénierie des tests et des opérations piste chez Sauber, après un passage chez Alfa Romeo en DTM, Dall'Ara revient fort de son expérience acquise en indépendant depuis 2016. Sa mission : fluidifier la coopération entre l'ingénierie de course et le Technical Group pour améliorer la compétitivité de l'équipe.

Ignacio "Iñaki" Rueda, ex-Sporting Director de Ferrari, rejoint Sauber pour prendre en charge l'ensemble des activités sportives en piste, en tant que nouveau directeur sportif. Ayant accumulé des expériences stratégiques chez Jordan, Renault et Lotus, Rueda est prêt à superviser les opérations et les relations réglementaires avec la FIA, succédant à Beat Zehnder dans cette fonction clé.

Après plus de trois décennies au sein de Sauber, Beat Zehnder se dirige vers un nouveau poste de Director of Signature Programs and Operations dès 2025. Pilier historique de l'équipe, Zehnder a joué un rôle essentiel dans le développement de l'écurie et de ses liens avec la FIA. Dans ses nouvelles fonctions, il mettra son expertise au service de la transition de l'équipe et contribuera à préserver l'identité de Sauber tout en orientant son développement.

Il y a 2 h

La Porsche 911 Carrera T revient avec une approche allégée, axée sur la performance pure et le plaisir de conduite, fidèle à l'esprit du badge "T" introduit en 1968 pour les amateurs de sensations brutes.

Offerte en Coupé et, pour la première fois, en Cabriolet, cette version se concentre sur l'essentiel avec un allègement massif et une boîte manuelle à six rapports de série. Grâce à une isolation sonore réduite, des vitres plus légères et des sièges baquets en option, la Carrera T affiche jusqu'à 42 kg de moins que la Carrera standard, atteignant 1478 kg sur la balance dans sa configuration la plus légère.

Sous le capot, elle embarque le moteur Boxer 6 cylindres biturbo de 3,0 litres, identique à celui de la Carrera, développant 394 ch (290 kW) et 450 Nm de couple. Associée au Pack Sport Chrono de série, cette mécanique délivre des performances remarquables : le Coupé accélère de 0 à 100 km/h en 4,5 secondes, tandis que le Cabriolet réalise ce sprint en 4,7 secondes, pour une vitesse de pointe respective de 295 et 293 km/h. Le freinage, à la hauteur de ses capacités, est assuré par des disques de 350 mm et des étriers fixes à six pistons à l'avant.

Le châssis, optimisé pour une dynamique de conduite aiguisée, intègre les roues arrière directrices de série, un différentiel mécanique, ainsi qu'une suspension sport PASM abaissée de 10 mm. Combiné avec un ratio de direction plus direct à l'avant, cet ensemble confère à la Carrera T une agilité accrue et une stabilité en virage exemplaire, tout en maintenant l'ADN sportif de la 911. Les jantes Carrera S de 20 pouces à l'avant et de 21 pouces à l'arrière, chaussées de pneus en 245/35 ZR20 et 305/30 ZR21, renforcent sa prestance et sa précision.

L'esthétique se distingue par des éléments en Gris Vanadium Métallisé, comme les coques de rétroviseurs et les inserts de la grille du capot arrière, tandis qu'un logo spécifique "MT" orne le levier de vitesse en bois de noyer lamellé, clin d'œil à sa transmission manuelle. Le modèle propose une palette de couleurs étendue, incluant des teintes Légendes, Rêves et Nuances, et des options de personnalisation via les programmes Paint to Sample et Paint to Sample Plus.

À l'intérieur, l'esprit puriste se prolonge avec des sièges Sport Plus en Sport-Tex Noir de série, des coutures en couleur contrastante, et des finitions exclusives en Gris Vanadium et aluminium brossé noir. La Carrera T propose en option des sièges baquets légers et des sièges Sport Plus adaptatifs à 18 positions, idéaux pour les amateurs de sensations fortes. Un Pack design Carrera T ajoute des touches Bleu Gentiane sur les stickers extérieurs et des coutures intérieures, affirmant son exclusivité.

La Porsche 911 Carrera T est dès à présent disponible à la commande en France à partir de 145100 euros pour le Coupé et 159300 euros pour le Cabriolet, pour les puristes à la recherche d'une expérience de conduite à l'état brut et authentique.

Il y a 54 minutes

Daniel Ricciardo déjà sous pression en ce début de saison 2024 ?

21/03/2024

Daniel Ricciardo déjà sous pression en ce début de saison 2024 ? - Crédit photo : Getty Images - Red Bull Content Pool
Crédit photo : Getty Images - Red Bull Content Pool 

Début de saison mouvementé pour Daniel Ricciardo : entre défis chez Visa CashApp RB et attentes élevées, l'Australien est déjà confronté à la pression de prouver sa valeur sur la grille. Retour sur un parcours tumultueux et les perspectives d'un pilote déterminé.

Après une série de performances décevantes au sein de l'écurie McLaren, Daniel Ricciardo s'est retrouvé à la croisée des chemins dans sa carrière en Formule 1. Remercié fin 2022 avant la fin de son contrat, l'Australien a cédé sa place à son compatriote Oscar Piastri, signalant un tournant notable dans sa trajectoire professionnelle. Néanmoins, un nouvel horizon s'est offert à lui lorsque Red Bull, son écurie d'origine, a décidé de le réintégrer en tant que pilote de réserve et ambassadeur de la marque, lui accordant ainsi une seconde chance au sein de la famille qui l'a vu briller par le passé.

Et la saison 2023 a connu un autre rebondissement lorsque Ricciardo a remplacé le décevant Nyck de Vries chez AlphaTauri. Cependant, l'histoire ne s'arrête pas là pour l'Australien. Suite à une blessure au poignet survenue à Zandvoort, il a dû céder sa place à Liam Lawson, qui, en tant que "remplaçant de remplaçant", a réussi à faire des étincelles pendant son bref passage.

Malgré ces aléas, Daniel Ricciardo débute 2024 pour une saison complète aux côtés de Yuki Tsunoda au sein de Visa CashApp RB (VCARB), une nouvelle entité née des cendres d'AlphaTauri, précédemment connue sous le nom de Toro Rosso. Sous la direction de Laurent Mékiès, VCARB s'inscrit dans une nouvelle philosophie visant à resserrer les liens avec l'écurie principale de Red Bull Racing, partageant pièces et savoir-faire dans l'espoir de remonter dans la hiérarchie du championnat.

David Croft, de Sky Sports F1, s'est adressé à Daniel Ricciardo lors de la conférence de presse pré-Grand Prix d'Australie. En début de saison, il y avait beaucoup de discussions et de gros titres sur la façon dont cette saison pourrait être un retour brillant vers l'équipe principale, Red Bull Racing, pour lui. Et bien qu'il soit dans une bien meilleure position aujourd'hui qu'il ne l'était il y a 12 mois ici en Australie, en étant simple pilote de réserve, les deux premières courses n'ont probablement pas été aussi bonnes qu'il l'aurait souhaité. Croft lui demanda dans quelle mesure il croyait aux discussions concernant un potentiel baquet dans l'écurie majeure, s'il pensait toujours de cette manière et ce qu'il devait faire pour convaincre les dirigeants qu'il pourrait retourner à Milton Keynes et faire le travail.

Daniel Ricciardo sait où il en est, quelle est sa situation et ce que l'on attend de lui : "Je ne crois pas vraiment aux histoires, si vous voulez. Je connais, évidemment, ma position dans l'équipe. Je sais, disons, certaines choses potentielles qui pourraient se produire si je fais vraiment bien. Mais tout cela est juste... C'est comme tout, vous savez. Je pense que dans n'importe quelle équipe avec laquelle vous êtes, vous savez que si vous avez une saison vraiment forte, cela pourrait conduire à quelque chose de différent ou augmenter votre position où vous êtes actuellement. Je pense que notre objectif est toujours de faire de notre mieux. Et je pense que ce qui doit se produire se produira ou peut se produire."

Le natif de Perth explique : "Mais pour nous, mon objectif est de conduire cette voiture aussi bien que possible. Je pense que maintenant que je suis de retour dans une voiture, je ne me projette pas trop dans l'avenir. Alors, est-ce que je pense au baquet dont vous parlez chez Red Bull ? Non. Je sais que si je réalise de très bons résultats, peut-être que cela pourra se présenter potentiellement. Ce n'est pas quelque chose auquel je pense parce que, oui, comme vous l'avez dit, il y a 12 mois, je n'étais pas dans cette position. Je ne savais pas si je serais de retour dans cette position. Donc, je pense que je prends chaque week-end après week-end. Il y aura toujours quelque chose, oui, qui circule. Mais je connais mon travail et ce que je dois faire. Et je pense que plus je me laisse... Regardez, c'est aussi par expérience. Mais plus vous vous laissez prendre par ces choses, alors cela commence à détourner l'attention de mon travail et qui est de piltoer aussi vite que possible."

Et le pilote australien veut briller à domicile ce week-end : "Je sais que nous faisons beaucoup d'autres choses au cours d'un week-end de course, mais c'est pourquoi nous sommes ici finalement, pour pousser la voiture à la limite et essayer de la rendre aussi bonne qu'elle peut l'être. Donc ce week-end, c'est quelque chose que j'attends avec impatience évidemment d'être ici, de courir à domicile, mais oui, comme vous l'avez dit, après les deux premières courses, ça n'a pas été incroyable. mais ce n'est pas une préoccupation, je pense que c'est deux courses sur 24 et il y a beaucoup de nouvelles personnes dans l'équipe. Donc c'est très tôt, mais je veux définitivement avoir un week-end fort et oui, bien faire."

Chiel Van Koldenhoven, de Viaplay, posa une question complémentaire à Daniel Ricciardo. Helmut Marko s'était exprimé de manière assez directe la semaine dernière, évoquant la fantastique qualification de Yuki Tsunoda, son coéquipier chez Visa CashApp RB, mais indiquant que Daniel devait trouver une solution. Ces déclarations, en plein week-end de course à domicile, étaient-elles agaçantes ou motivaient-elles encore plus Daniel ? Il se demandait également si cela était ennuyeux parce qu'il recevait maintenant ce type de questions.

Le sémillant Australien a répondu : "Non, ce n'est pas ennuyeux. Je pense qu'une grande partie de notre travail... La partie la plus importante est le pilotage, mais une grande partie consiste également à parler à vous, les journalistes, et évidemment à entendre quand les choses vont bien, évidemment tout le monde parle positivement et quand elles ne le font pas, ils ne parlent pas si positivement. Cela fait partie du jeu. Je pense aussi que plus je suis dans le sport, plus je sais juste que je suis de retour ici parce que je crois que je peux le faire. Je crois que je mérite ma place ici, et c'est vraiment ça."

Daniel a complété : "Quand les gens disent, avez-vous un point à prouver ou quoi que ce soit, ou avez-vous besoin de rendre les gens heureux ou de plaire à quelqu'un, je suis ici pour moi. C'est vraiment ça, parce que je sais que je peux encore le faire. Je veux rendre fiers les gens qui me soutiennent. Si quelqu'un dit quelque chose, je le sais déjà, parce que je me le suis dit, ou je sais ce qui est attendu de moi. Donc, c'est ça."

Et le numéro 3 est exigeant avec lui-même ! "Bien sûr, je veux me qualifier en Q3. Je veux obtenir ces résultats que je crois pouvoir atteindre. Mais c'est serré. Nous sommes dans un milieu de peloton très serré. Et comme à Bahreïn en qualifications, je savais que je n'avais pas réalisé le tour que j'aurais dû. Et je l'admets. Et c'est la différence. C'est la différence peut-être de la P14 à une Q3. Je pense qu'à la fin de la Q1 en Arabie Saoudite, de la P9 à la P16, c'était moins d'un dixième. Donc, on peut très vite passer pour un héros ou pas. Et c'est là que chaque dixième compte. Et c'est là, évidemment, que je me regarde d'abord."

Nous verrons ce que le futur réserve au souriant et sympathique pilote australien. Car en F1, être cool ne suffit pas et il ne le sait que trop bien : il faut aller vite, surtout dans la maison Red Bull ! Espérons simplement qu'il termine sa carrière avec panache et pas sur un goût d'inachevé.

Référence FIA

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