Dans le dernier communiqué d'Alpine, pour l'aperçu du dernier GP, Pierre Gasly s'est exprimé au sujet du départ d'Esteban Ocon et de l'arrivée de Jack Doohan : "Je voudrais avant tout remercier Esteban et lui souhaiter le meilleur pour l'avenir. C'était spécial d'être équipiers ensemble chez Alpine. Nous avons vécu des moments incroyables comme à São Paulo, mais aussi d'autres plus compliqués, mais le sport automobile est parfois ainsi. J'ai désormais Jack à mes côtés dans le garage et j'ai hâte d'ouvrir ce chapitre avec lui."
Jack Doohan, quant à lui, est ravi de débuter en F1 et a fait un post réseaux sociaux très respectueux pour le Normand au numéro 31 : "Je suis très reconnaissant envers Esteban avec qui j'ai beaucoup appris au cours des deux dernières années. Il a été bénéfique pour mon apprentissage et mon développement en Formule 1 et lui souhaite le meilleur pour son avenir."
Il y a 23 h
La Hyundai IONIQ 5 N, fleuron de la division sportive 'N' de Hyundai, débarque dans Gran Turismo 7 avec la mise à jour de janvier 2025. Développée sur le mythique Nürburgring, cette sportive électrique allie performance et précision.
Avant son intégration dans le jeu, elle sera mise en avant ce week-end lors des qualifications de la Nations Cup du GT World Series à Amsterdam. Mieux encore, les joueurs pourront la débloquer en participant à la campagne Viewership en regardant la finale en direct. Ne manquez pas cet événement exceptionnel !
Il y a 23 h
À quelques jours du dernier Grand Prix de la saison 2024 à Abu Dhabi auquel il ne participera pas, Esteban Ocon a partagé un message chargé d'émotion sur ses réseaux sociaux.
Remerciant les équipes d'Enstone et de Viry-Châtillon, le pilote normand revient sur ses cinq années passées au sein de l'écurie Alpine / Renault, ponctuées de succès mémorables comme sa victoires en Hongrie et son dernier podium au Brésil.
Il ne cache toutefois pas sa déception de ne pas pouvoir conclure cette aventure en piste lors de la dernière course de l'année. Il a même partagé ce qui semble être le casque qu'il aurait porté pour sa dernière course dans l'écurie française (ou ce qu'il en reste).
Sa déclaration sur les réseaux sociaux, traduite en français :
"Je tiens tout d'abord à remercier les mécaniciens et ingénieurs dans toutes les fonctions, que ce soit sur le circuit, à Enstone ou à Viry-Châtillon, avec qui j'ai travaillé ces cinq dernières saisons. Nous avons partagé tant de choses ensemble, et je suis fier de pouvoir appeler beaucoup d'entre vous mes amis.
Je quitte Alpine/Renault avec de merveilleux souvenirs et la fierté d'avoir été le pilote qui a offert à l'équipe ses meilleurs résultats depuis son retour en Formule 1, montant sur les deux plus hautes marches du podium à Bahreïn, en Hongrie et au Brésil. Ce fut également un honneur de contribuer à la quatrième place au championnat Constructeurs en 2022. Je sais à quel point tous ces moments ont compté pour tout le monde, et c'est ce sentiment d'accomplissement et de joie partagé avec l'équipe que je retiens avant tout.
Cette saison n'a pas été facile sur la piste pour l'équipe, et la deuxième moitié de l'année a été particulièrement difficile. Pour diverses raisons.
Je ne regrette rien, sachant que j'ai donné 100% à chaque séance, comme je l'ai toujours fait.
Aux centaines de femmes et d'hommes qui travaillent dur à Enstone et à Viry, je suis désolé de ne pas pouvoir venir vous voir en personne et vous dire au revoir comme il se doit. Comme vous le savez, le plan a toujours été de courir une dernière fois ce week-end et de vous saluer personnellement la semaine prochaine. J'attendais ces deux moments avec impatience.
Ce n'est pas ainsi que je voulais que cela se termine.
Cela dit, le monde de la F1 est petit, et je suis sûr que je reverrai beaucoup d'entre vous très bientôt.
Je souhaite également le meilleur à mon ami Jack [Doohan] alors qu'il franchit cette étape importante de sa carrière lors du Grand Prix d'Abu Dhabi cette semaine.
MERCI"
Il y a 21 h
La FIA annonce l'introduction d'un programme de certification de carburants 100 % durables, une étape présentée comme essentielle pour réduire les émissions dans le sport automobile et au-delà. Dès 2026, la Formule 1 adoptera ces carburants, issus de composants durables avancés (ASCs) tels que la biomasse non alimentaire et les déchets municipaux, tout en garantissant leur compatibilité avec les moteurs thermiques existants.
Ce programme, développé avec Zemo Partnership, met en avant un processus rigoureux de vérification de l'origine, de la composition et des performances environnementales des carburants. Cependant, on peut s'interroger sur l'impact réel de cette initiative à court terme. Si l'idée de faire du sport automobile un laboratoire pour des solutions durables est louable, le déploiement de ces carburants à grande échelle dans le secteur des transports reste incertain, compte tenu des coûts de production et de l'infrastructure nécessaire.
Enfin, bien que la FIA insiste sur la robustesse de son approche, ce projet pourrait être perçu comme une manière de renforcer l'image verte de la Formule 1, sans adresser les autres défis environnementaux du sport, tels que la logistique et la consommation énergétique des événements. Une avancée certes significative, mais qui ne résout qu'une partie du problème.
Il y a 18 h
Le Grand Prix des Pays-Bas, réintroduit au calendrier en 2021 après une pause de 36 ans, quittera la scène de la Formule 1 à l'issue de la saison 2026. Une prolongation d'un an du contrat avec le promoteur a été confirmée, permettant à Zandvoort de rester au programme jusqu'à cette date.
Cependant, cette échéance marquera la fin d'une courte mais intense période marquée par la ferveur des fans locaux et une domination éclatante de Max Verstappen, vainqueur des trois éditions disputées à ce jour sur le circuit.
Ce retrait, annoncé par Robert van Overdijk, directeur du Grand Prix, découle d'une décision du promoteur, qui préfère conclure sur une note positive. Dans sa déclaration, il met en avant la nécessité de prendre en compte les responsabilités et les risques inhérents à l'organisation d'un tel événement, tout en saluant le succès populaire et sportif des éditions précédentes. Ce choix, bien que légitime pour une organisation privée, intervient dans un contexte de pressions croissantes sur les circuits européens face à l'expansion mondiale de la Formule 1.
Stefano Domenicali a exprimé sa gratitude envers le travail accompli à Zandvoort, en soulignant notamment l'exemplarité de l'événement en matière de spectacle et de durabilité. Cependant, son discours laisse également transparaître une logique de compromis : la volonté de maintenir un équilibre entre les Grands Prix historiques européens et l'inclusion de nouvelles destinations comme l'Afrique, toujours absente du calendrier moderne.
La décision du promoteur néerlandais pourrait refléter un changement plus large. Alors que la Formule 1 atteint un record de 24 courses en 2024, les calendriers à venir devront concilier une diversité géographique accrue et les exigences des circuits historiques. Des lieux emblématiques comme Spa, Barcelone ou Imola sont régulièrement évoqués pour une rotation des Grands Prix, et Zandvoort, malgré son succès fulgurant, pourrait n'être qu'un des premiers à céder sous cette pression.
L'annonce d'une édition finale incluant une Sprint en 2026 semble calibrée pour maximiser l'intérêt des fans et conclure sur une apogée médiatique. Mais elle pose aussi une question : la Formule 1, dans sa quête d'universalité, risque-t-elle de diluer ses racines européennes ? Avec la disparition simultanée d'autres rendez-vous historiques, le retrait de Zandvoort est un signal : chaque Grand Prix doit justifier sa place dans un calendrier toujours plus concurrentiel (et avec des pays prêts à mettre de l'argent... beaucoup d'argent - contrairement à la France).
Les fans néerlandais, eux, auront encore deux occasions de célébrer leur héros national (avant la retraite ? Qui sait...), dans un cadre qu'ils ont contribué à rendre mémorable. Mais cette annonce marque déjà la fin d'une aventure, dont l'héritage sera scruté pour comprendre le futur des circuits européens dans une Formule 1 en pleine mutation.
Il y a 4 h
Haas F1 Team a confirmé qu'Esteban Ocon et Ryo Hirakawa piloteront la VF-24 lors des essais de fin de saison sur le circuit de Yas Marina, le mardi 10 décembre, juste après le Grand Prix d'Abu Dhabi.
Dans le cadre de cette journée cruciale pour préparer la saison 2025, les dix équipes aligneront deux voitures : l'une dédiée à un rookie, l'autre à un pilote expérimenté. Ocon, fraîchement arrivé chez Haas, fera ses premiers tours de roue avec sa nouvelle équipe en tant que pilote titulaire pour 2025. À ses côtés, Ryo Hirakawa, pilote de réserve Toyota et rookie dans le cadre de cette session, découvrira également la monoplace américaine.
Ces essais seront l'occasion pour Haas de collecter des données essentielles pour développer un peu plus la voiture et, surtout, débuter sa collaboration avec Esteban Ocon.
Il y a 4 h
Pour son ultime course avec l'équipe Sauber, Zhou Guanyu a dévoilé un casque unique chargé d'émotion.
Orné de photos marquant ses trois années passées en Formule 1, ce design raconte des souvenirs précieux, tant sur la piste qu'en dehors, mettant en avant des moments partagés avec son coéquipier Valtteri Bottas, des fans, et même son chat.
Le casque arbore également des éléments traditionnels chinois dorés sur fond rouge, symbolisant la chance et la prospérité, un clin d'œil à ses racines. Créé par KV Design et produit par Bell Racing, ce casque est une véritable œuvre d'art, célébrant le parcours de Zhou avant de tourner la page.
Alors que Zhou se prépare pour "une dernière danse" avec Sauber, ce casque spécial est un témoignage de gratitude envers ses coéquipiers, supporters et partenaires.
Il y a 2 h
Genesis fait une entrée remarquée dans le sport automobile avec Magma Racing, son écurie d'endurance dévoilée aujourd'hui.
Au cœur de ce projet, l'hypercar Genesis GMR-001, véritable vitrine de la vision de la marque pour l'endurance.
Développée sur un châssis Oreca, la GMR-001 allie design futuriste et technologies de pointe. Son programme débutera en 2026 dans le Championnat du Monde d'Endurance (WEC) avant de rejoindre l'IMSA en 2027. Genesis a confié l'exploitation de Magma Racing à IDEC Sport, une structure française réputée dans le domaine de l'endurance.
L'écurie s'appuiera sur deux pilotes expérimentés pour ses débuts : André Lotterer, multiple vainqueur des 24 Heures du Mans, et Pipo Derani, référence du prototype en Amérique du Nord. Ce duo promet de porter haut les ambitions de Genesis sur les circuits internationaux.
Avec Magma Racing, Genesis veut se positionner comme concurrent sérieux dans le paysage de l'endurance mondiale, bien décidé à rivaliser avec les plus grands noms de la discipline.
Il y a 1 h