Renault présente l’Estafette Concept, une vision futuriste de ses fourgons électriques, pensée pour répondre aux besoins de la logistique urbaine et du dernier kilomètre. Ce véhicule compact, mais spacieux, combine les dimensions d’un Kangoo et la capacité de chargement d’un Trafic. Conçu à partir des retours d’expérience des professionnels du secteur, l’Estafette optimise sécurité et gain de temps pour les chauffeurs.
Bâti sur la plateforme électrique FlexEVan, développée par Flexis (entreprise indépendante créée par Renault Group, Volvo Group et CMA CGM Group), l’Estafette est 100 % connecté et intègre des fonctionnalités innovantes, telles que les mises à jour en temps réel et la maintenance prédictive, réduisant ainsi les coûts d’usage de 30 %. Renault mise sur ce concept pour révolutionner la logistique urbaine avec un véhicule durable, sûr et parfaitement adapté aux environnements urbains.
L’Estafette Concept s’inscrit dans l’héritage de la fourgonnette de 1959, partageant les valeurs d’innovation et de praticité, tout en étant entièrement réimaginée pour les besoins modernes des chauffeurs et artisans. Renault prévoit de lancer une version de série d’ici deux ans.
Informations personnelles
Palmarès
En F1 depuis le 25/03/2018
de champion du monde de F1
5,00 %
27,86 %
18,57 %
Format Sprint
Saison 2024
/24 courses (8,33 %)
Casques de Charles Leclerc depuis 2018
2024
2023
2022
2021
2020
2019
2018
Les brefs concernant Charles Leclerc
Déclarations de Charles Leclerc après son GP d'Azerbaïdjan perdu au profit de Piastri sur McLaren : "Je pense qu’à partir du moment où nous avons chaussé les pneus durs, j’ai su que nous ne pourrions pas gagner. Les pneus médiums se comportaient bien, mais malheureusement, je n’ai pas fait de longs relais avec du carburant dans les FP1 et FP2, et nous avons opté pour une direction de réglages qui, en course, était peut-être un peu plus difficile à gérer. Surtout avec les pneus durs, j’ai eu du mal à préserver l’arrière, et à un moment donné, j’ai pensé que dans un ou deux virages, je pouvais finir dans le mur, c’était très proche."
"McLaren et Oscar ont fait un travail exceptionnel et mieux que nous. C’est une énorme déception pour Carlos dans les derniers tours, j’espère que tout le monde va bien, et évidemment ce n’était pas une grande journée pour l’équipe. Je pense que McLaren avait peut-être moins d'appui aérodynamique, et ils étaient très rapides dans les lignes droites. Je ne pouvais pas me rapprocher autant que je le voulais et finalement, nous avons perdu la course quand je n’ai pas aussi bien défendu que j’aurais pu à la fin de la ligne droite. Parfois, on fait des erreurs, et j’en tirerai des leçons."
Fred Vasseur, directeur de l'équipe Ferrari, sur Sky Sports F1 après la victoire de Charles Leclerc à Monza devant les tifosi : "C'était un bon week-end. En qualifications, nous étions un peu déçus, même si le rythme était bon. Mais la course s'est très, très bien passée."
"Depuis le début de la saison, je pense que nous sommes probablement en meilleure forme en rythme de course qu'en qualifications, et cela s'est encore vérifié aujourd'hui. Tout s'est bien déroulé, et quand ça marche comme ça, c'est parfait."
Sur la solide performance de Ferrari en termes de dégradation des pneus : "Honnêtement, l'année dernière c'était notre plus grande faiblesse, et je pense que c'est l'un des grands avantages de l'équipe cette saison. C'était déjà le cas la semaine dernière à Zandvoort. Nous sommes assez constants avec les pneus, et les pilotes gèrent très bien les pneus également. C'est une bonne sensation."
"Nous savions qu'en faisant un seul arrêt avec les deux voitures, Carlos pourrait nous aider à ce niveau. Il nous a aussi aidés en nous fournissant des retours sur les pneus. Honnêtement, je pense que tout le monde dans l'équipe a joué son rôle et l'a très bien fait, et je suis plus que satisfait de cela."
Ce que je retire des interviews de Vasseur sur les dernières pièces amenées sur la Ferrari en quelques mots : ballec, je veux me mettre une mine (à quelque chose près).
— Au Rupteur (@AuRupteur) September 1, 2024
Charles Leclerc, vainqueur de la course à Monza pour Ferrari : "C'est un sentiment incroyable. Je pensais que la deuxième fois, si jamais il y avait une deuxième fois, ne serait pas aussi spéciale que la première, mais les émotions des derniers tours étaient les mêmes qu'en 2019 [quand j'ai remporté mon premier Grand Prix d'Italie]. Je veux [je voulais] gagner Monza et Monaco chaque année, et j'ai réussi à le faire. C'est tellement, tellement spécial."
Ferrari peut-elle continuer à se battre pour des victoires ? "Je ne sais pas. Notre package fonctionnait bien sur un circuit comme Monza, mais je doute que ce soit pareil pour le reste de la saison."
"Je pense toujours que McLaren est favori, mais nous avons fait un pas en avant, c'est certain. Baku est un circuit que j'aime beaucoup, alors peut-être que nous pourrons accomplir quelque chose de spécial là-bas [lors du prochain Grand Prix d'Azerbaïdjan]."
Charles Leclerc, pilote de la Ferrari numéro 16, quatrième des qualifications à Monza, au micro de la Sky : "C'était très compliqué. J'avais du sous-virage en FP1 et FP2, et pour une raison que j'ignore, c'était parti en FP3 et la voiture se comportait bien. Le sous-virage est revenu en qualifications. C'est dommage car nous avons tout perdu dans le premier secteur. Nous étions rapides dans les deuxième et troisième secteurs."
Un désir pour la course ? "Un podium ne ressemblerait pas à une victoire, mais ce serait bien."
Comme promis par Ferrari, Charles Leclerc a dévoilé son casque spécial pour Monza, en suivant le thème de la Scuderia pour son week-end à domicile : la fibre de carbone.
Le casque est donc conçu en hommage au Grand Prix d'Italie avec un design en fibre de carbone apparente, agrémenté de liserés jaunes qui rappellent la couleur emblématique de Ferrari et de la ville de Modène.
On note également la présence de chrome pour un effet brillant, ainsi que le drapeau italien positionné sur le dessus du casque.
Enfin, le drapeau monégasque est visible à l'arrière en position basse, un clin d'œil à ses origines.
Ce casque reflète parfaitement le thème du carbone tout en restant fidèle aux couleurs traditionnelles de Ferrari et de Leclerc.
Charles Leclerc sur sa Ferrari et ses attentes : "Je ne laisse pas les deux dernières courses changer mes attentes. Nous traversons un moment difficile, mais nous comprenons certaines choses. Pour la victoire, je ne pense pas que nous soyons encore tout à fait prêts."
Et pour Monza ? D'après le Monégasque, la voiture devrait mieux convenir au circuit italien : "Je pense que nous sommes dans une meilleure position que sur les circuits à plus fort appui. Nous avons également quelques améliorations sur la voiture, donc j'espère que nous serons plus proches que lors des dernières courses."
Charles Leclerc après sa troisième place au Grand Prix des Pays-Bas : "Très surpris ! Je ne suis pas souvent heureux avec une P3, mais avec la course d'aujourd'hui, nous pouvons être extrêmement satisfaits du travail que nous avons accompli lors d'un week-end difficile pour l'équipe."
"Nous avons rencontré des difficultés du vendredi jusqu'à la course. En course, nous avons trouvé un peu plus de rythme, exécuté une stratégie parfaite. Nous avons réussi l'undercut sur deux de nos concurrents, puis nous avons réussi à les maintenir derrière. Une course vraiment solide pour l'équipe."
"Je n'aurais jamais pensé me retrouver sur le podium après un week-end aussi difficile pour l'équipe."
Il a ensuite ajouté au micro de Sky Sports : "Hier, on m'a demandé si un podium était possible et j'ai dit que cela relèverait du miracle. Eh bien, c'est arrivé !"
"Je ne suis jamais vraiment content avec une P3, mais en partant de la P6 et avec les faibles attentes que nous avions, nous devons être satisfaits."
"Il y a quelque chose dans la voiture que nous avons bien fait, mais je ne pense pas que nous ayons encore l'explication. Nous devons comprendre comment maximiser notre package."
Charles Leclerc a terminé deuxième des qualifications du Grand Prix de Belgique, ce qui se transformera en pole position pour la course en raison de la pénalité sur la grille de Max Verstappen.
Voici ses propos au micro de la F1 après la séance de qualification : "Exactement la même chose [que l'année dernière]. C'est bien. Je ne m'y attendais définitivement pas ce week-end. Évidemment, avec les conditions difficiles, nous avons pu faire quelque chose au-delà de nos attentes."
"C'est donc une bonne journée pour l'équipe, nous devons maintenant nous concentrer sur demain et voir ce qu'il se passera quand la pluie sera partie."
"Sans cette pluie, probablement la P5 était la position pour laquelle nous nous battions avec les Mercedes en particulier. Mais avec la pluie, cela nous a un peu aidés, mais je ne vais pas me plaindre."
"Je suis vraiment content, vraiment content du tour en Q3, et c'est bon d'être de retour à l'avant de la grille. Maintenant, nous devons finaliser cela demain."
Le Monégasque pense que cette position le rend vulnérable au départ, surtout sur le circuit de Spa-Francorchamps : "Ce n'est pas la première place la plus facile à garder au premier tour ici, mais honnêtement, je verrai. Chaque départ est différent et une fois que je serai dans la voiture demain à travers Eau Rouge, je verrai ce que je peux faire de mieux. Évidemment, je vais essayer de garder cette première place."
Charles Leclerc a à nouveau déploré un manque de "perfo" de la part de sa monoplace italienne. Ils doivent travailler dur pour retrouver ça et se battre convenablement contre les McLaren et surtout contre les Mercedes qui ont clairement refait leur retard. Affaire à suivre pour la Scuderia.
Les deux pilotes Ferrari ont déclaré qu'ils avaient été contraints de gérer leur rythme de course en raison d'un problème de freins lors du Sprint sur le circuit de Spielberg.
Charles Leclerc s'exprimant après les qualifications où il a fini en dixième position pour le Sprint du GP d'Autriche, ne pouvant inscrire de chrono en SQ3 : "Je ne sais pas ce qui s'est passé. J'étais dans la voie des stands et j'ai eu l'anti-calage, puis tout s'est éteint. L'équipe m'a dit que nous en parlerions plus tard, donc je ne sais pas. Nous n'étions pas super forts mais nous aurions fait mieux que la 10e place. Un peu décevant mais nous allons essayer de faire un bon Sprint pour revenir."
The anti stall engaged on @Charles_Leclerc’s car in the pit lane meaning he missed the chance to put a flying lap in 😔 #AustrianGP 🇦🇹 #F1
— Scuderia Ferrari HP (@ScuderiaFerrari) June 28, 2024
Interrogé sur les difficultés de la voiture dans certains types de virages, Charles Leclerc a expliqué les problèmes spécifiques rencontrés à Barcelone et ses attentes pour les prochaines courses.
Il lui est préalablement rappelé qu'il aurait dit que la voiture de cette année avait du mal principalement dans les virages lents et longs alors qu'à Barcelone, il semblait également avoir des difficultés dans les virages rapides et longs comme les virages 9 ou 14. Peut-il ainsi confirmer ceci ? "En fait, je ne confirme pas cela. Je pense que peut-être en course, c'est toujours difficile à voir parce qu'il y a beaucoup de gestion des pneus en cours. Et nous pourrions économiser plus dans les virages 9 et 13 que d'autres, ce qui pourrait ressembler à une faiblesse de l'extérieur, mais ce n'est peut-être pas le cas, en réalité. Cependant, en qualification, il y a deux virages où nous avons tout perdu à Barcelone, et c'était les virages 5 et 10. Et le virage 10 étant probablement le virage qui correspond aux caractéristiques que je mentionnais plus tôt, des virages lents et longs. Ce sont donc ce type de virages sur lesquels nous devons vraiment travailler. Pour les virages 9 et 13, en qualification, je ne pense pas que ce soient de grandes faiblesses."
Et quelle est la perspective pour Silverstone ? Leclerc a répondu : "Tout d'abord, nous avons un week-end cette semaine pour performer au mieux. Et en fait, ici, nous avons aussi pas mal de virages rapides. Donc ce sera un bon test pour voir où nous nous situerons à Silverstone, même si les circuits sont assez différents. Encore une fois, nous avons eu ces nouvelles améliorations seulement depuis une course. Et nous devons encore les comprendre et comprendre comment régler la voiture afin d'optimiser cette amélioration de la meilleure façon possible. Et j'espère qu'à Silverstone, nous serons à 100 % et que nous reviendrons nous battre pour la pole position et la victoire."
Interrogé sur la dynamique au sein de l'équipe depuis l'annonce du départ de Carlos Sainz à la fin de l'année, Charles Leclerc a clarifié la situation et exprimé sa confiance en leur collaboration : "Nous avons travaillé très, très bien. Je pense que dans le passé, encore une fois, je suppose que la question est davantage liée à ce qui s'est passé lors de la dernière course. Mais dans le passé, nous avons également eu ces moments où c'était délicat. Et entre coéquipiers, surtout lorsque nous sommes si proches l'un de l'autre, ces moments arrivent. Et tout dépend de la façon dont vous gérez cela ensuite, en face à face. Et je pense que cela a toujours été très, très bien géré entre Carlos et moi. Je n'ai aucune inquiétude pour l'avenir et honnêtement, je n'ai vu aucun changement depuis. Au final, nous sommes des professionnels et nous savons qu'il est bon pour nous deux d'avoir une bonne relation au sein de l'équipe et de bien travailler ensemble sur la piste. Parfois, je dépasserai un peu les limites. Parfois, Carlos dépassera un peu les limites. Et puis il s'agit de parler l'un à l'autre et de remettre les choses à plat. Je n'ai aucune inquiétude pour l'avenir à ce sujet."
Et quand on demande au Monégasque si le priorité actuelle de l'Espagnol est avant tout de faire une bonne course pour lui plutôt que pour la Scuderia Ferrari, Leclerc a simplement répondu : "Non."
Interrogé sur la récente baisse de performance de Ferrari, Charles Leclerc a expliqué les problèmes rencontrés et leurs causes potentielles : "Je ne pense pas [que ce soit des problèmes de réglage]. À Montréal, je pense que nous avons bien identifié ce qui n'allait pas. Et c'était plutôt lié aux pneus. À Barcelone, je pense que c'était juste une question de rythme pur et nous étions simplement plus lents que prévu. Mais je ne pense pas que nous n'ayons pas optimisé notre package. Nous allons continuer à travailler sur nous-mêmes, essayer d'optimiser également le nouveau package que nous avons sur la voiture. C'était évidemment la première course à Barcelone et nous avons encore du travail pour essayer de trouver quelque chose et comprendre un peu mieux ces nouvelles pièces que nous utilisons maintenant. Cependant, je ne pense pas que les problèmes étaient les mêmes à Montréal et à Barcelone, donc je ne pense pas que ce soit une tendance."
Interrogé sur sa relation avec Carlos Sainz après l'incident au départ de la course à Barcelone, Charles Leclerc a tenu à rassurer sur l'état de leur collaboration.
"Pour notre relation, pas du tout [d'inquiétude]. Juste parce que nous sommes revenus dans le même avion dimanche soir et c'était une question de se voir et, oui, tout va bien. Nous avons eu une discussion. Comme toujours... et je pense que le problème semble toujours énorme de l'extérieur. Mais ensuite, entre nous, nous nous connaissons tellement bien depuis tant d'années que nous savons qu'après la course, il y a de la tension, nous sommes tous les deux dans le feu de l'action, déçus l'un par l'autre, et puis nous parlons ensemble et tout va bien. Donc je n'ai absolument aucune... Oui, je ne suis pas du tout inquiet pour notre relation à l'avenir. Et ce n'était qu'un événement et une course où c'était un peu plus tendu, ce qui est déjà arrivé dans le passé. Et ce ne sera peut-être pas la dernière fois, mais à chaque fois nous avons géré cela en parlant ensemble et puis tout va bien pour l'avenir et c'est juste pareil. Donc je ne suis pas du tout inquiet."