Le développement d'un système météorologique avancé nommé "Tempest" dans le jeu de simulation iRacing est toujours en cours.

Tempest, actuellement en phase finale de développement, simule de manière réaliste la pluie et ses effets sur les pistes, les voitures de course et l'environnement. Utilisant des données réelles des lieux de course, il interagit avec le système de piste dynamique existant pour offrir une expérience de simulation unique. Ce système reproduit fidèlement les conditions humides, y compris la formation de flaques d'eau et l'aquaplaning, modifiant ainsi les stratégies de course et les attentes des joueurs.

Le projet Tempest, débuté en janvier 2020, a nécessité l'effort de nombreux développeurs spécialisés dans différents domaines techniques. Il nécessite un développement spécifique pour chaque voiture, notamment pour la modélisation des pneus de pluie, ce qui signifie que le support de la pluie sera implémenté progressivement pour différentes voitures, avec un premier lot incluant la Formula 1600, la Toyota GR86 et la Ferrari 296 GT3.

L'équipe d'iRacing veut donc intégrer "la pluie" prochainement dans son jeu mais les spéculations énoncent une disponibilité pour mars 2024 au plus tôt, donc après la première saison de 2024.

Par ailleurs, on en sait plus sur les futures fonctionnalités prévues pour la mise à jour de la saison 1 de 2024 dans iRacing. Cet update inclura des améliorations des physiques hors-piste, la première partie de la mise à jour des circuits ovales, ainsi que l'implémentation du nouveau modèle de dégâts sur 18 voitures. D'autres ajouts sont prévus, y compris de nouveaux contenus, mais les détails précis n'ont pas été entièrement révélés.

Il y a 15 h

Après une saison précédente riche en nouveaux véhicules, l'équipe d'iRacing s'est concentrée sur des projets de recherche et développement à long terme, comme le système de pluie, la modélisation aérodynamique, la mise à jour des circuits ovales et des pneumatiques. Malgré cela, un nouveau véhicule, l'Audi R8 LMS Evo II GT3, sera lancé en décembre. Ce modèle s'inscrit dans une initiative visant à maintenir la modernité et l'attrait visuel de la flotte GT3 du jeu. Des efforts similaires se poursuivront l'année suivante avec plusieurs ajouts et remplacements dans la gamme GT3.

En ce qui concerne les propriétaires de l'ancienne version de l'Audi R8 LMS GT3, iRacing a prévu un système de crédits pour compenser l'achat du nouveau modèle. Les joueurs qui ont acheté l'ancienne version dans les 30 derniers jours recevront un remboursement intégral (100 % du prix d'achat), tandis que ceux qui l'ont achetée entre 31 et 180 jours auparavant recevront 50 % du prix d'achat sous forme de crédits.

Il y a 15 h

Lors des finales mondiales de la série Gran Turismo 2023, le célèbre joaillier romain BVLGARI a dévoilé leur concept-car virtuel "BVLGARI Aluminium Vision Gran Turismo". Cette voiture numérique s'inspire directement de la montre emblématique BVLGARI Aluminium de 1998.

Le design de la voiture, en termes de formes, matériaux, couleurs et langage esthétique global, puise son inspiration dans l'esprit et la combinaison graphique sans précédent de la montre Aluminium. Le style de carrosserie "barchetta" est un archétype de sportivité exprimant "le mouvement dynamique, la légèreté et la performance".

Cette création résulte d'une collaboration entre Fabrizio Buonamassa Stigliani, directeur de la création des produits de BVLGARI, et Fabio Filippini, reconnu pour son rôle d'ancien directeur du design chez Pininfarina. Leur travail a été fondamental dans le développement du caractère unique de cette voiture.

Le design de la carrosserie allie des formes "pures et géométriques", symboles de la tradition italienne de conception automobile, alliant créativité et caractère. Il intègre des références originales telles que des volants sportifs à trois branches et des tableaux de bord en noyer, rappelant la glorieuse ère des concept cars des années 60 et 70 des "Carrozzeria" italiennes.

Le résultat est un design "intemporel, unique et indéniablement italien" qui s'affirme comme une pure expression de l'ADN du design de BVLGARI.

La "BVLGARI Aluminium Vision Gran Turismo" sera ajoutée à Gran Turismo 7 en 2024.

Il y a 15 h

Théo Pourchaire, fraîchement couronné en F2, sera aux tests rookies de Super Formula à Suzuka du 6 au 8 décembre.

Petite liste des participants "notables" :
- Théo Pourchaire portera le numéro 19A chez Team Impul (champion de F2 en 2023)
- Ben Barnicoat sera chez TOM'S (titre IMSA GTD Pro)
- Ayumu Iwasa portera le numéro 15 chez Team Mugen (3e en F2 en 2023)
- Igor Fraga portera le numéro 64B chez Nakajima Racing (4e en SF Lights en 2023)
- David Vidales portera le numéro 37B chez TOM’S (9e en SF Lights en 2023)
- Iori Kimura portera le numéro 50 chez B-MAX Racing (champion de SF Lights en 2023)
- Syun Koide portera le numéro 51A chez B-MAX Racing (3e en SF Lights en 2023)
- Nolan Siegel portera le numéro 51B chez B-MAX Racing (3e en Indy Nxt en 2023)
- Juju Noda portera le numéro 53 chez TGM GP (8e en Euroformula en 2023)
- Rasmus Lindh portera le numéro 55B chez TGM GP (14e en Indy Nxt en 2023)

Il y a 12 h

La grille de départ pour l'ELMS 2024 comptera un total de 43 voitures, ce qui constitue le plus grand nombre de LMP2 jamais rassemblé pour un championnat continental d'endurance de premier plan. Plus de la moitié de ces voitures, soit 22 au total, concourront dans les deux catégories LMP2, représentant ainsi le plus grand rassemblement de voitures LMP2 en dehors des 24 Heures du Mans.

L'inscription des prototypes du Mans a été encore enrichie avec 10 voitures LMP3. De plus, 11 voitures participeront à la toute nouvelle catégorie LMGT3, avec des représentants des marques Aston Martin, Ferrari, Lamborghini et Porsche.

Il y a 11 h

Forza Horizon 5 va nous faire passer de bonnes fêtes de fin d’année !!!

Il y a 5 h

Pour Krack, Aston Martin est loin des victoires régulières mais s'y dirige humblement

14/04/2023

Pour Krack, Aston Martin est loin des victoires régulières mais s'y dirige humblement - Crédit photo : Aston Martin F1
Crédit photo : Aston Martin F1 

Mike Krack s'est entretenu avec AMuS et a passé en revue l'évolution d'Aston Martin, la place de l'écurie en ce début de saison, les orientations techniques mais aussi le changement de pilotes (Alonso-Vettel).

Mike Krack, directeur de l'écurie Aston Martin, avoue qu'après la saison 2022, ils ne pensaient pas être dans une telle position au début de la saison 2023 : "Nous savions que nous allions nous améliorer. Nous l'avions déjà fait l'année dernière. Au final, nous n'étions que septièmes. Cependant, la voiture était meilleure que cette position à la fin de la saison".

Et comment s'est déroulée une telle transformation ? Melbourne 2022 était le fond du gouffre pour l'écurie verte de Stroll. A partir de là, ils ont énuméré les problèmes. Chacune des principales faiblesses de la voiture a alors été éliminée, l'une après l'autre, méthodiquement.

Et pour la victoire ? "il est difficile de dire quand nous gagnerons". Des victoires régulières ne sont pas pour tout de suite et il reste un long chemin, de l'aveu de Mike qui pensent malgré tout que "les marches deviennent de plus en plus petites". Il n'oublie d'ailleurs pas qu'il serait possible de gagner ponctuellement avec des problèmes des deux Red Bull : "C'est opportuniste, au cas où il pleuvrait ou si nous profitions des erreurs de l'autre". En tout cas, le Luxembourgeois ne veut pas confondre confiance en soi et arrogance : il connaît la force de frappe de Red Bull (leur référence) au niveau du développement et il sait également que Ferrari, Mercedes ("Nous ne sommes pas loin devant Mercedes.") ou Alpine sont à surveiller.

D'ailleurs, où la Red Bull par rapport à l'AMR23 ? Où est-elle meilleure ? "Partout". Krack sait qu'ils doivent s'améliorer dans tous les domaines : "S'il y avait un point, ce serait plus facile. Nous saurions alors immédiatement quoi faire. On voit qu'ils sont un tantinet meilleurs dans toutes les plages de vitesse. Là où cela devient le plus évident, c'est à des vitesses plus élevées dans les lignes droites. Votre voiture est plus efficace. Ils ont un effet DRS plus important."

Pour en revenir aux résultats, excellents, en ce début de saison, lui et Alonso ont les pieds sur Terre. Il affirment qu'il serait stupide de rêver trop tôt : "Nous devons réaliser que nous devons toujours nous donner à 100% pour rester devant les deux autres [Mercedes et Ferrari]. Et ne pas être trop loin derrière Red Bull. Dès que quelque chose ne va pas, comme à Bahreïn en qualifications, nous sommes juste derrière eux. Il ne faut pas oublier : Leclerc a eu un problème technique à Bahreïn, ce qui nous a permis de monter sur le podium en premier lieu".

Et niveau intégration des ingénieurs de la concurrence ? L'intégration a été "facile". "Les deux [Dan Fallows et Eric Blandin] se sont intégrés extrêmement rapidement. Ils ont une bonne nature humaine Ce qu'ils ont fait : Ils ont pris leur temps. Vous n'êtes pas venu ici en disant : Je sais tout mieux. Ou tout va mieux chez Mercedes ou Red Bull. Ils se sont penchés sur ce que cette équipe a fait jusqu'à présent et comment cela peut être amélioré. C'était la clé. Cela leur a donné beaucoup de crédibilité dès le départ."

Et le mix de ces ingénieurs Red Bull - Mercedes a permis la création d'une philosophie "hybride" Aston Martin : "Je mentirais si nous ne profitions pas de l'expertise de ces deux-là. L'approche est différente dans chaque équipe. Nous avons tiré l'un ou l'autre aperçu."

Qu'en sera-t-il du développement à venir ? Un meilleur résultat au championnat du monde des constructeurs, c'est du temps en soufflerie en moins que Krack sait qu'il devra l'appréhender. En parlant de soufflerie, la nouvelle infrastructure Aston Martin ne sera prête que l'an prochain et il faudra appréhender le matériel et les équipes avant toute chose ; la voiture ne sera pas plus rapide du jour au lendemain avec de nouvelles installations.

Autre élément : les plafonnements de budget ! Sa plus grande préoccupation est que de nombreux ingénieurs quittent la Formule 1 : "[les ingénieurs gagnent plus d'argent] dans d'autres industries. Nous en avons déjà discuté avec la FIA. Christian [Horner] l'a dit lors de l'une des dernières réunions de la Commission de Formule 1 : que nous perdons maintenant plus de personnes vers d'autres industries que vers d'autres équipes. Les équipes ne peuvent pas surenchérir à volonté".

Sur le long terme, serait-il d'ailleurs bénéfique qu'Aston Martin ait plus d'indépendance, avec une boîte de vitesses ou un essieu arrière maison, par exemple ? "En tant qu'équipe, nous ne sommes pas capables de le faire complètement comme ça. Il faut aussi dire que le service est excellent. Nous n'avons jamais pensé que nous avions de pires matériaux, de pires moteurs ou de pires boîtes de vitesses. Tout est toujours super. Et s'il y a un problème, une analyse propre est toujours effectuée immédiatement. C'est très professionnel".

Au-delà de l'aspect "service après-vente" de Mercedes, ils ne sont jamais sentis "extrêmement limités" au niveau de la conception de la voiture (ex : la transmission aide à déterminer la conception du soubassement). Puis il a une analyse différente : l'investissement qu'amènerait l'indépendance sur certaines pièces serait-il rentable niveau gains ? "Bien sûr, les gens disent toujours que cela nous donne un avantage technique. Je pose la contre-question : quelle est sa taille ? Alors peut-être que c'est juste agréable à avoir. En bout de ligne, nous achetons une boîte de vitesses. La transmission n'est pas un différenciateur de performance. Si vous en construisez un vous-même, vous devez d'abord payer un apprentissage. La liberté que cela crée doit apporter un avantage significatif en termes de performances".

Finissons côté pilotes. A la question d'Andy Haupt "qu'est-ce qu'Alonso fait différemment de Vettel ?", Mike Krack explique : "C'est vraiment difficile à dire car ce sont tous les deux des mecs de haut niveau. C'est aussi difficile de comparer car nous avons traversé une période difficile avec Sebastian au début, et maintenant plus facile avec Fernando. L'un est latino, l'autre est allemand. Les deux sont extrêmement bien accueillis dans l'équipe. Mais l'équipe est aussi très ouverte aux champions du monde. Les deux représentent une attaque maximale. Nous avons également dû expulser Sebastian le soir car le couvre-feu est arrivé et les ingénieurs ont été contraints de quitter la piste. Ce que je suis sûr qu'ils ont tous les deux en commun, c'est l'éthique du travail".

Et l'Allemand sera-t-il embêté de voir les bons résultats d'Aston Martin depuis son départ ? "Je ne pense pas. Je pense qu'il voit qu'il y a joué un rôle. Je pense qu'il est en paix avec lui-même. Que ça ne l'ennuie pas beaucoup, mais qu'il est content de nous."

Référence AMuS