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Détails et infos sur l'écurie de F1 Ferrari

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L'écurie Ferrari en bref

Ferrari, également connue sous le nom complet de "Scuderia Ferrari HP" est une écurie de Formule 1 basée à Maranello en Italie.

Cette écurie a fait ses débuts en F1 lors du Grand Prix de Monaco de 1950.

Elle est actuellement dirigée par Frédéric Vasseur.

Pour la saison en cours, l'équipe Scuderia Ferrari HP participe avec la monoplace "SF-25", qui est propulsée par une unité de puissance Ferrari.

Les pilotes pour cette saison sont Charles Leclerc et Lewis Hamilton, portant respectivement les numéros 16 et 44.

Jusqu'à ce jour, l'écurie a remporté 16 championnats du monde des constructeurs.

Pour la saison de Formule 1 en cours (2025), l'équipe Ferrari se classe quatrième sur les dix écuries en lice, avec un total de 362,00 points.

 Ferrari

Scuderia Ferrari HP

Ferrari SF-25
SF-25
Casque de Charles Leclerc
16 Charles Leclerc T-Cam
Casque de Lewis Hamilton
44 Lewis Hamilton T-Cam
  • Directeur d'écurie : Frédéric Vasseur
    Directeurs techniques : Loïc Serra, Enrico Gualtieri
  • Basée à : Maranello (Italie)
    Premier Grand Prix : 21/05/1950 (Monaco)
    Titres mondiaux : 16
  •  PU 2025 : Ferrari
     PU > 2026 : Ferrari

Les brefs concernant l'écurie Ferrari

Lewis HAMILTON | Ferrari

La déception du Grand Prix du Brésil 2025 a provoqué une onde de choc chez Ferrari. À l'issue d'un week-end désastreux à Interlagos, marqué par un double abandon, le président de la marque, John Elkann, a pris la parole publiquement pour adresser un message ferme à ses pilotes, Lewis Hamilton et Charles Leclerc.

Dans une déclaration en italien prononcée lors d'un événement du Comité olympique italien à l'approche des Jeux d'hiver de Milan-Cortina, Elkann n'a pas caché son mécontentement : "Abbiamo vinto il campionato del mondo Endurance, ed è stata un'emozione straordinaria sabato sera in Bahrain. Vincere sia come costruttori che come piloti è una bellissima dimostrazione di quanto, quando la Ferrari è unita, quando tutti lavorano insieme, si possano ottenere risultati grandissimi."

"Il Brasile è stata una grande delusione e se guardiamo il campionato di Formula 1 possiamo dire che da una parte abbiamo i nostri meccanici che stanno di fatto vincendo il campionato con le prestazioni che hanno fatto, con tutto quello che è stato fatto sui pitstop, se guardiamo i nostri ingegneri non c'è dubbio che la macchina è migliorata, se guardiamo il resto non è all'altezza e sicuramente abbiamo dei piloti che è importante che si concentrino a guidare, che parlino meno e che abbiamo davanti a noi ancora delle gare importanti e non è impossibile ottenere il secondo posto e questo è l'invito più importante che dal Bahrain, è proprio la dimostrazione di quando la Ferrari è una squadra, noi vinciamo."

Traduction du monologue d'Elkann dans la langue de Leclerc (ou Molière... je ne sais plus) : "Nous avons remporté le championnat du monde d'endurance, et ce fut une émotion extraordinaire samedi soir à Bahreïn. Gagner à la fois chez les constructeurs et chez les pilotes est une très belle démonstration que, lorsque Ferrari est unie et que tout le monde travaille ensemble, de grandes choses peuvent être accomplies."

"Le Brésil a été une grande déception et, si nous regardons le championnat de Formule 1, nous pouvons dire que d'un côté, nos mécaniciens sont en train de gagner le championnat par les performances qu'ils réalisent, notamment avec tout ce qu'ils ont accompli lors des arrêts aux stands. Si nous regardons nos ingénieurs, il ne fait aucun doute que la voiture s'est améliorée. Mais si nous regardons le reste, ce n'est pas au niveau. Et nous avons certainement des pilotes pour lesquels il est important qu'ils se concentrent sur le pilotage, qu'ils parlent moins. Il reste encore des courses importantes devant nous, et il n'est pas impossible d'obtenir la deuxième place. C'est l'invitation la plus importante : l'exemple de Bahreïn démontre que, quand Ferrari est une équipe, nous gagnons."

La mention de Bahreïn n'est pas anodine. C'est là que Ferrari vient tout juste d'être sacrée championne du monde d'endurance 2025 en remportant les titres constructeurs et pilotes du FIA WEC, 53 ans après son dernier sacre mondial. Elkann a ainsi voulu rappeler que l'unité affichée dans le programme 499P avait conduit au triomphe, et qu'une cohésion comparable devait être retrouvée en Formule 1.

Ses mots arrivent alors que Ferrari a glissé à la quatrième place du championnat constructeurs derrière Red Bull, Mercedes et les champions 2025 que sont McLaren. L'équipe de Maranello, qui espérait se battre pour le titre, n'a plus remporté de course cette saison et compte près de 400 points de retard sur le leader. Le double abandon d'Interlagos, avec Leclerc éliminé dans un accrochage impliquant Oscar Piastri et Kimi Antonelli, et Hamilton contraint à l'abandon après un contact avec Franco Colapinto, a scellé un week-end cauchemardesque.

Les propos d'Elkann ont rapidement fait réagir les deux pilotes, chacun publiant un message sur les réseaux sociaux dans la soirée de lundi.

Charles Leclerc a insisté sur la nécessité de rester unis : "Un week-end très difficile à São Paulo. C'est décevant de rentrer à la maison avec presque aucun point pour l'équipe, à un moment crucial de la saison pour se battre pour la deuxième place du championnat constructeurs. La pente sera raide désormais, et il est clair que seule l'unité peut nous aider à renverser cette situation lors des trois dernières courses. Nous donnerons tout, comme toujours."

De son côté, Lewis Hamilton a livré un message plus personnel, réaffirmant sa confiance en son équipe et en lui-même malgré une première saison difficile sous les couleurs de la Scuderia : "Brésil, merci pour tout l'amour, comme toujours. Au final, ce n'était pas la course que nous voulions. C'est dur à encaisser, surtout après de bons progrès, mais nous irons de l'avant. J'ai confiance en mon équipe. J'ai confiance en moi. Je n'abandonnerai pas. Ni maintenant, ni avant, ni jamais."

Le septuple champion du monde, encore sans podium en rouge, peine à s'adapter à la SF-25 bien qu'il ait pu gagner assez magistralement une course Sprint en Chine (victoire non comptabilisée dans les statistiques officielles). Hamilton avait déjà confié à Sky Sports F1 après la course : "Passer du rêve de piloter pour cette équipe incroyable au cauchemar des résultats que nous avons eus, avec leurs hauts et leurs bas, c'est difficile. Mais demain je me relèverai, je continuerai à m'entraîner, à travailler avec l'équipe."

Alors que Ferrari n'a plus connu de saison sans victoire depuis 2021, la pression monte à Maranello à l'approche des trois dernières manches que sont Las Vegas, le Qatar et Abou Dhabi. Le message d'Elkann, sévère mais clair, vise à mobiliser toute la Scuderia autour d'un objectif minimal : sauver la deuxième place du championnat constructeurs. Les réponses de ses pilotes, elles, témoignent d'une volonté commune de redresser la barre dans un climat tendu, où l'unité semble plus que jamais la clé.

Charles LECLERC | Ferrari

Charles Leclerc s'est exprimé auprès de Sky Sports F1 après son abandon dès les premiers tours du Grand Prix du Brésil, consécutif au contact entre Oscar Piastri et Kimi Antonelli : "Oscar a été optimiste, mais Kimi savait qu'Oscar était à l'intérieur, je pense, et il a pris le virage comme si Oscar n'avait jamais été là."

"Pour moi, la faute ne revient pas entièrement à Oscar. Oui, c'était optimiste, mais on aurait pu éviter cela. Je suis frustré. Au fond, je n'en veux ni à Oscar ni à Kimi — ce sont des choses qui arrivent —, mais je n'irais pas jusqu'à dire que c'était entièrement la faute d'Oscar. Je ne le pense pas."

Le Monégasque, contraint à l'abandon après cet accrochage qui a endommagé sa SF-25, a préféré tempérer les débats autour des responsabilités, estimant que l'incident relevait davantage d'un malentendu en piste que d'une faute individuelle.

Lewis HAMILTON | Ferrari

Un Lewis Hamilton lucide s'est confié à Sky Sports F1 après une nouvelle journée à oublier lors de sa première saison chez Ferrari : "C'est un cauchemar, et je le vis depuis un bon moment."

"Le contraste entre le rêve de piloter pour cette équipe incroyable et le cauchemar des résultats que nous connaissons, avec tous ces hauts et ces bas, c'est difficile à vivre."

"Mais dès demain je me relèverai, je continuerai à m'entraîner et à travailler avec l'équipe. Je voulais vraiment leur rapporter de gros points ce week-end, mais je reviendrai aussi fort que possible lors de la prochaine course pour tenter de redresser la situation."

Le Britannique, contraint à l'abandon après avoir endommagé le fond plat de sa SF-25 dès le premier tour, a reconnu vivre une période difficile d'adaptation à Maranello, oscillant entre l'enthousiasme du défi et la frustration des résultats.

Lewis HAMILTON | Ferrari

Ce week-end à Interlagos, Lewis Hamilton rend hommage au Brésil avec un casque jaune et vert reprenant les couleurs du drapeau national, orné de la devise "Ordem e Progresso".

Trois ans après avoir reçu la citoyenneté d'honneur brésilienne, le pilote britannique a voulu souligner une fois encore son attachement au pays d'Ayrton Senna, son idole de toujours.

À travers ce design simple et symbolique, reprenant son design habituel mais dominé par le Scudetto Ferrari et la sphère bleue étoilée, Hamilton célèbre la passion brésilienne qui l'accompagne depuis ses débuts. Un hommage vibrant, chargé d'émotion et de gratitude envers un public qui l'a toujours adopté comme l'un des siens.

Lewis HAMILTON | Ferrari

Relégué de la troisième à la huitième place à cause d'une pénalité de dix secondes pour avoir quitté les limites de piste dans un duel avec Verstappen, Lewis Hamilton a reconnu sa déception tout en retenant quelques points positifs de sa course à Mexico.

"C'était amusant au départ, mais ça ne s'est pas terminé comme je l'espérais. C'est ça, la course. En dehors de la trajectoire, la piste était très sale et j'ai fait de mon mieux pour ramener la voiture en sécurité sur le circuit. C'est tout ce que je pouvais faire. Il y a malgré tout du positif : nous avons marqué quelques points, au moins."

S'il espérait un nouveau podium après sa belle qualification, Hamilton repart du Mexique avec un goût amer, conscient que la Ferrari avait le rythme pour viser mieux avant cet incident décisif.

Charles LECLERC | Ferrari

Deuxième du Grand Prix du Mexique, Charles Leclerc s'est montré à la fois soulagé et heureux après un week-end solide pour Ferrari. Le Monégasque, en difficulté avec la dégradation de ses pneus dans les derniers tours, reconnaît que la VSC du dernier tour lui a permis de conserver sa place face à Verstappen.

"Très heureux de ce week-end. Austin avait déjà été très positif, mais terminer à nouveau sur le podium ici est une excellente surprise. Je suis vraiment heureux d'être de retour sur ce podium incroyable."

Et sur la VSC de fin dans son duel avec Verstappen derrière lui : "J'étais plutôt content de la VSC à la fin ! Mes pneus étaient complètement détruits et je voyais Max revenir avec les tendres. C'était difficile, mais la VSC m'a sauvé sur la fin."

Avec cette deuxième place arrachée avec beaucoup d'efforts, Leclerc signe son troisième podium consécutif et confirme le regain de forme de Ferrari. Une performance solide qui lui permet de conforter la Scuderia dans la bataille des constructeurs.

Lewis HAMILTON | Ferrari

Troisième des qualifications au Mexique, Lewis Hamilton a retrouvé le haut de la grille aux côtés de son coéquipier Charles Leclerc. Le Britannique, visiblement heureux et détendu, a salué le travail collectif de Ferrari après plusieurs semaines marquées par une certaine frustration.

"C'est la première fois de l'année que nous sommes tous les deux [Leclerc et moi] dans le top 3 en qualifications, et l'équipe le mérite vraiment. Nous travaillons aussi dur que possible. La voiture n'a pas forcément progressé en développement, mais nous en tirons davantage et nos processus sont meilleurs. P3 est en quelque sorte la position idéale sur ce circuit, donc j'espère pouvoir en profiter. Notre rythme de course n'est pas mauvais. Difficile de le mesurer avec certitude, mais nous allons tout donner pour faire une belle course."

Souriant et détendu, Hamilton a semblé renouer avec une dynamique positive, saluant le travail collectif de Ferrari et affichant un optimisme mesuré avant la course. Une attitude contrastant avec son humeur plus sombre observée ces dernières semaines. Pourvu que ça dure !

Charles LECLERC | Ferrari

Deuxième sur la grille du Grand Prix du Mexique 2025, Charles Leclerc a reconnu la difficulté des conditions en piste mais s'est montré globalement satisfait du travail accompli. Le pilote Ferrari vise désormais un départ parfait pour tenter de s'emparer de la tête dès le premier virage.

"Cette séance de qualifications a été très, très difficile, car il y a très peu d'adhérence et la voiture glisse beaucoup. Réussir à tout mettre bout à bout dans ces conditions est vraiment compliqué."

"Mais je suis plutôt content du travail accompli. Je ne pense pas qu'il restait beaucoup à aller chercher dans la voiture, juste un peu par-ci par-là comme toujours en qualifications, mais je suis très satisfait de la performance d'aujourd'hui."

"Une victoire signifierait beaucoup. Nous allons tout faire pour prendre la première place dès le premier virage, puis voir ce qu'il sera possible de faire ensuite."

Le Monégasque, auteur d'un tour propre malgré la faible adhérence, s'élancera depuis la première ligne aux côtés de Lando Norris et compte bien profiter de la longue ligne droite du départ pour tenter de surprendre la McLaren.

Ferrari

Ferrari introduit deux ajustements pour le Grand Prix du Mexique, tous deux dictés par les exigences extrêmes en matière de refroidissement liées à l'altitude du circuit Hermanos Rodríguez.

La Scuderia a d'abord ajouté des ouïes de sortie supplémentaires sur la carrosserie supérieure afin d'augmenter la capacité d'extraction thermique du bloc moteur. Cette solution, courante à Mexico, vise à compenser la raréfaction de l'air à 2 200 m d'altitude. Elle élargit le spectre de refroidissement du V6 hybride, mais induit une légère perte d'efficacité aérodynamique en augmentant la traînée.

À l'arrière, les conduits de frein ont été agrandis sur la partie interne du carénage pour améliorer la dissipation de la chaleur générée lors des phases de freinage, particulièrement sollicitées dans les sections lentes du tracé. Cette configuration maximise la sécurité thermique du système de freinage au détriment, là encore, d'un peu d'efficacité aérodynamique.

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Les actus concernant l'écurie Ferrari

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