La petite bombe : Nico le Hulk Hülkenberg ne continuera pas chez Haas en 2025 !

Il y a 10 h

Nico Hülkenberg file chez Audi en F1 !!!

Haas venait d'annoncer qu'à la fin de la saison 2024, l'Allemand et l'écurie américaine prendraient des chemins différents !

Il y a 10 h

Petit tour hier, 25 avril, dans les stands de la Formula E, juste avant l'ePrix de Monaco.

Il y a 6 h

Jaguar a réaffirmé son engagement dans l'ère GEN4 de la Formule E jusqu'en 2030, marquant un tournant décisif dans sa collaboration avec la Formule E et la FIA. Cette décision souligne la convergence des objectifs à long terme des trois entités en matière de durabilité et d'innovation dans l'industrie automobile, tant sur les pistes qu'en dehors. Cette annonce historique met en lumière la volonté de Jaguar de se positionner comme un constructeur pionnier de la Formule E, pleinement engagé dans cette nouvelle phase du championnat.

La technologie GEN4 promet une avancée révolutionnaire dans les courses de véhicules électriques, avec des améliorations significatives en termes d'efficacité énergétique, de performance en course et de normes de sécurité. La nouvelle plateforme GEN4 introduira des caractéristiques telles qu'une capacité de régénération pouvant atteindre jusqu'à 700 kW et une puissance poussée jusqu'à 600 kW, équivalent à environ 816 chevaux. Ce bond technologique réaffirme l'engagement de Jaguar TCS Racing à développer des solutions de course durables tout en propulsant sa propre trajectoire technologique vers de nouveaux sommets.

Il y a 5 h

La pénalité d'Alonso à Dejddah est le résultat d'un imbroglio entre règle écrite et accord FIA-écuries

25/03/2023

La pénalité d'Alonso à Dejddah est le résultat d'un imbroglio entre règle écrite et accord FIA-écuries  - Crédit photo : F1 / FOM
Crédit photo : F1 / FOM 

La FIA est retombée dans ses travers en appliquant une pénalité non maîtrisée à Fernando Alonso en Arabie saoudite. C'était sans compter sur l'équipe juridique d'Aston Martin qui a défendu son bout de gras auprès de l'instance dirigeante qui n'a pu qu'admettre son erreur.

Dans sa place sur la grille de départ à Djeddah, Fernando Alonso était trop décalé sur le côté (et non pas par rapport à la ligne jaune marquant l'emplacement dans la longueur). Il ainsi reçu une première pénalité pour ceci. Là, on a déjà un problème puisque de nombreux observateurs ont fait part de plusieurs pilotes qui n'étaient pas non plus alignés transversalement. Admettons, les commissaires se sont focalisés sur un seul pilote, pas sur les autres...

Ensuite, Fernando Alonso est allé purger sa peine de cinq secondes pendant la Safety Car provoquée par son coéquipier. Jusque là, rien de fou, sauf qu'un mécanicien a touché la voiture. En effet, l'homme en charge du lève-vite arrière a calé son outil sous la voiture sans la soulever, pendant l'observation de la pénalité. Ce qui est dingue, c'est que l'instance dirigeante du sport automobile ne s'est manifestée à ce sujet qu'après le podium, le podium ayant déjà été fêté par l'Ibère. Bam ! Dix secondes de pénalité, Russell récupère la P3.

Justification initiale de la FIA : "Aucune partie de la voiture ne pouvait être touchée pendant qu'une pénalité était purgée car cela constituerait un travail sur la voiture". Mais Aston Martin est allé faire appel et a eu gain de cause : en évoquant sept cas similaires où les voitures étaient touchées par le cric, les commissaires allaient reconnaître leur erreur et annuler la décision initiale, réhabilitant Fernando Alonso à sa troisième place et à son centième podium en F1.

Mais le plus important dans ceci, c'est qu'Aston Martin a expliqué à la FIA qu'avec de tels précédents, il y avait eu un accord entre les équipes et l’instance régulatrice à ce sujet. Quand on parle d'accord, ce n'est pas une entente cachée visant à favoriser l'un ou l'autre mais c'est la façon dont fonctionnent les règles. Les règles sont rédigées d'une certaine façon et sont parfois appliquées sans correspondre totalement à la rédaction. Les parties s'entendent sur des choses admissibles, ce qui était le cas du positionnement d'un cric pendant une pénalité.

La FIA en est donc arrivée à la conclusion suivante : "Après avoir examiné les nouveaux éléments de preuve, nous avons conclu qu'il n'y avait pas d'accord clair, comme c'était le cas suggéré aux commissaires précédemment, qui pourrait être invoqué pour déterminer que les parties avaient convenu qu'un cric touchant une voiture reviendrait à travailler sur la voiture, sans plus."

Ainsi, positionner un cric sous la voiture n'était pas considéré comme un travail sur l'auto. Il était alors incorrect de juger cette action comme elle l'avait été initialement. Cette "entente" générale n'était donc pas claire, selon l'aveu de la FIA dans son verdict sur l'appel d'Aston. De plus, ce détail n'a surtout jamais été inclus dans la règle concernée et ceci laisse une certaine liberté d'interprétation exploitable par les équipes.

 Réseaux sociaux