La Formule 1 a officialisé un partenariat d'envergure avec Disney, dont les premiers effets se feront sentir dès 2025 avant un lancement global prévu pour 2026. Cette collaboration placera Mickey Mouse et ses amis au cœur de l'univers F1 à travers une série de contenus, d'expériences et de produits dérivés co-brandés.

Présentée comme une rencontre entre deux icônes du divertissement, l'opération vise à toucher un public plus large, au-delà du cercle des fans de sport automobile. Emily Prazer (Chief Commercial Officer de la F1) évoque une stratégie claire : "sortir du cadre purement sportif pour s'adresser à un marché grand public", tout en offrant à Disney une visibilité immédiate auprès des 820 millions de fans que revendique la F1 à l'échelle mondiale.

Chez Disney, on célèbre une synergie naturelle entre deux marques fondées sur la créativité et le spectacle. Tasia Filippatos (Consumer Products President) y voit une manière unique de faire vivre Mickey et ses amis sur une scène mondiale, à travers des contenus originaux et des produits qui séduiront à la fois les fans de F1 et ceux de l'univers Disney.

Ce partenariat s'inscrit dans une dynamique déjà amorcée par la F1, dont les audiences chez les jeunes explosent : 4 millions d'enfants âgés de 8 à 12 ans suivent désormais le championnat en Europe et aux États-Unis, et plus de la moitié des abonnés F1 sur TikTok ont moins de 25 ans.

Les premières activations devraient être annoncées dans les mois à venir. En attendant, Mickey chauffe déjà les moteurs.

Il y a 23 h

Pour le premier Grand Prix à domicile de la saison 2025 de Ferrari, Charles Leclerc a dévoilé un casque inédit rendant hommage aux mécaniciens de la Scuderia.

Le design reprend fidèlement celui des casques portés par les membres de l'équipe technique à Maranello, avec un message clair posté sur ses réseaux sociaux : "J'espère que le casque sera aussi rapide que vos arrêts au stand. Merci pour tout le travail accompli, ce casque est aussi semblable que possible à celui de nos mécaniciens. Imola est spécial, et je donnerai tout ce que j'ai."

Absent jeudi pour cause de maladie, le Monégasque a bien pris la piste dès la première séance d'essais libres vendredi matin. Ce Grand Prix d'Émilie-Romagne marque le début de la tournée européenne du championnat, avec une triple confrontation enchaînée.

"Après les six premières courses réparties sur trois continents, nous entamons la phase européenne de la saison à Imola", a déclaré Fred Vasseur. "Depuis le dernier Grand Prix, nous avons travaillé en détail à Maranello pour maximiser le potentiel de notre package afin de permettre à Charles et Lewis [Hamilton] d'exprimer leur talent sur un tracé exigeant, avec le soutien de nos tifosi."

Lewis Hamilton, lui aussi, a souligné l'importance du rendez-vous : "J'ai toujours adoré venir à Imola, mais maintenant cela signifie encore plus. On a beaucoup appris à Miami, on a bien analysé les données, et maintenant on sait dans quelle direction aller. Il ne reste plus qu'à tout donner, surtout avec le soutien des tifosi."

Il y a 14 h

Nico Hülkenberg a profité du Grand Prix d'Émilie-Romagne pour étrenner un casque spécial, pensé pour accompagner la phase européenne du championnat 2025. Le pilote Sauber a lui-même annoncé la couleur sur ses réseaux sociaux avec un message simple : "Nouveau continent. Nouveau casque. Que la tournée européenne commence !"

Sur fond blanc irisé, le dessin met en avant un jeu d'étoiles argentées et de lignes subtiles, avec l'inscription "HULK" stylisée sur le côté. Un design sobre, élégant, en accord avec les couleurs de son équipe Stake F1 Team. Aucun clin d'œil national ou hommage appuyé ici, juste l'envie d'accompagner la deuxième partie de saison avec un casque à l'esthétique renouvelée.

L'Allemand s'est donc élancé pour la première fois en compétition avec ce design à Imola, dans un paddock où plusieurs pilotes, comme Leclerc ou Antonelli, ont eux aussi opté pour des éditions spéciales. On retrouvera ainsi ce casque à Monaco et aux Grands Prix qui suivront.

Il y a 14 h

À l'occasion du Grand Prix de Monaco 2025, Ferrari bouscule une nouvelle fois les codes. Après le rouge traditionnel, place cette année à une combinaison blanche soulignée de bleu clair pour Charles Leclerc et Lewis Hamilton.

Le design, volontairement épuré, mêle le blanc au bleu ciel dans un style élégant, presque vintage. Le logo Ferrari passe au bleu, la casquette adopte un motif à rayures fines, et les sponsors se fondent dans cette charte repensée. On ne peut pas parler de collaboration avec HP (une autre après Miami) mais le raccourci est vite fait.

Il y a 14 h

Wayne Taylor Racing s'apprête à disputer pour la première fois les 24 Heures du Mans avec Cadillac, et la n°101 arborera une livrée inédite aux couleurs de Mobil 1. Cette version bleue et blanche de la V-Series.R, dévoilée après un roulage à Putnam Park, remplace le sponsoring habituel de DEX Imaging vu en IMSA.

L'opération s'inscrit dans la continuité du renforcement du partenariat technique entre Mobil 1 et Cadillac en endurance, déjà visible cette saison sur les V-Series.R de l'équipe Jota. L'équipage réunira Ricky et Jordan Taylor, fils du fondateur, ainsi que Filipe Albuquerque.

À noter que la WTR rejoint Action Express en tant que deuxième équipe engagée par Cadillac au Mans cette année, sans pouvoir marquer de points au classement WEC. La structure américaine vise une performance d'envergure sur la classique mancelle, un an après le podium décroché en 2023.

Il y a 8 h

En annonçant un résultat d'exploitation positif de 4,7 millions d'euros pour l'exercice 2024, la FIA signe ce qu'elle présente comme son meilleur bilan depuis une décennie. Ce redressement, très médiatisé, est attribué à la stratégie menée depuis l'arrivée de Mohammed Ben Sulayem à la présidence fin 2021. Présenté comme une promesse électorale tenue, ce virage financier serait le fruit d'une modernisation interne, d'un renforcement du contrôle budgétaire et d'une rationalisation des processus décisionnels. Mais à la lecture du communiqué publié ce 20 mai 2025, plusieurs éléments invitent à relativiser la portée réelle de cette annonce.

Le message est clair : après cinq années consécutives de déficit, la FIA revient à l'équilibre grâce à une transformation structurelle de sa gouvernance. Le chiffre d'affaires 2024 atteint 182 millions d'euros, en hausse de 17 % sur un an, et l'organisation annonce fièrement ne présenter aucune dette financière, avec un ratio de fonds propres de 45 %. La mise en place d'un reporting trimestriel, le renforcement du contrôle des achats et l'instauration d'un comité de pilotage sont autant de leviers cités comme moteurs de ce redressement.

Mais cette communication, très orientée sur la performance et la transparence, laisse de nombreuses zones d'ombre. Aucun compte de résultat détaillé n'est fourni, aucun mot sur le résultat net ni sur les charges exceptionnelles ou les éventuels éléments non récurrents. La progression du chiffre d'affaires n'est pas ventilée par activité : on ignore donc si cette croissance est le fruit d'une amélioration des recettes liées à la Formule 1, d'une hausse des contributions des fédérations membres, ou d'une variation du périmètre consolidé. De la même manière, les économies réalisées ne sont pas chiffrées. Rien n'est dit sur une éventuelle réduction des aides versées aux ASN, sur une réorganisation de la masse salariale ou sur une rationalisation des événements soutenus. Autant d'éléments pourtant indispensables pour juger de la solidité d'un retour à l'équilibre.

Le ratio de 45 % de fonds propres, s'il semble rassurant, reste flou dans son périmètre : s'agit-il du total bilan ? d'un calcul sur les seuls capitaux permanents ? Aucune donnée comparative n'est fournie pour mesurer l'évolution par rapport aux années précédentes. En outre, la publication du rapport d'activité 2024 est annoncée pour juin, soit après la diffusion du communiqué, ce qui empêche toute vérification immédiate des chiffres avancés. Cette dissymétrie temporelle entre communication et publication comptable donne l'impression d'une volonté de maîtriser le discours public en amont.

Sur la forme, le communiqué relève davantage de la communication politique que d'un exercice de reddition de comptes classique. Il met en scène le président et son équipe comme artisans uniques de cette réussite, dans une logique de bilan de mandat, en insistant sur les engagements tenus. Mais dans un contexte où la FIA a été régulièrement critiquée depuis 2022 pour ses prises de position, sa gestion interne ou ses relations parfois tendues avec la F1, ce coup de projecteur budgétaire ressemble aussi à une tentative de reprise de contrôle du narratif à l'approche de la prochaine Assemblée Générale.

Il ne s'agit pas ici de nier la réalité d'un redressement financier tangible, ni de suspecter la véracité des chiffres avancés. Mais pour être crédible, une communication financière ne peut se limiter à un tableau flatteur dépourvu de détails concrets. En l'état, l'annonce constitue un signal positif, mais il faudra attendre la publication du rapport d'activité complet pour évaluer la qualité réelle du redressement, la part de structurel et celle de conjoncturel, et la soutenabilité de la trajectoire désormais revendiquée comme modèle.

Il y a 7 h

Détails sur le Grand Prix de F1 de France 2022

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 France | Castellet

Pneus
C2
C3
C4
France
Course 12/22
FP1 22/07/2022 14:00
FP2 22/07/2022 17:00
FP3 23/07/2022 13:00
Qualifications 23/07/2022 16:00
Course 24/07/2022 15:00

 FALC (Faits à la con)

6 : Alain Prost a gagné 6 fois (dont 4 au Castellet) son Grand Prix national. Seul Hamilton le devance dans cette stat : 8 victoires à Silverstone.
300 : ce sera le 300e Grand Prix de Sir Lewis Hamilton. Il rejoint ce cercle fermé des 300+ inauguré par Barrichello et composé de Schumacher, Button, Raïkkönen, Alonso. Sebastian Vettel sera le prochain membre de ce club, ce sera son 289e GP ce week-end.

 Les données sur le circuit

 Infos générales

Premier Grand Prix : 1971
Sens : horaire
Nombre de tours : 53
Nombre de zones DRS : 2

 Distances

Longueur du circuit : 5.842 km

Ou encore... 43 597 canettes de 250 mL de Red Bull couchées

Longueur de la course : 309.690 km

Ou encore... 2 311 119 canettes de 250 mL de Red Bull couchées

 Virages

Nombre de virages : 15
Nombre de virages à gauche : 6
Nombre de virages à droite : 9

 Les stands

Vitesse limite dans les stands : 60 km/h
Distance d'allée des stands sous limiteur de vitesse : 424.00 m
Temps nécessaire pour purger un Drive-Through : 25.00 s

 Chronos

Tour en course le plus rapide : 1:32.740 (Sebastian Vettel, 2019)
Tour le plus rapide : 1:28.319 (Lewis Hamilton, 2019)

 Pole position

Côté de la pole position : gauche
Distance de la pole au premier freinage : 413.00 m

 Accélérateur et boîte de vitesses

Temps à pleine charge : 65 %
Distance à pleine charge : 74 %
Consommation d'essence : faible
Nombre de changements de vitesses en un tour : 42

Données F1 et Mercedes-AMG F1 Team, aucune affiliation ou autre. Ces données étaient valables avant que le Grand Prix de F1 ne se déroule.
Les éléments ont pu évoluer après le week-end de course : changement de tracé, nouveau record et etc.

 Les données pneumatiques Pirelli

 Pressions minimale de départ des slicks

Avant : 24.0 psi
Arrière : 21.5 psi

 Limites de carrossage

Avant : -3.25°
Arrière : -2.00°

 Pneumatique et piste

Evolution de la piste (FP1 aux qualifs) : moyenne
Abrasion de l'asphalte : 3/5

 Résultats du Grand Prix de F1 de France 2022

Pos. Pilote (Constructeur) Temps Pos. grille Gain/perte pos.* Vitesse moyenne Meilleur tour Points
1 M.Max VERSTAPPEN (Red Bull) 1:30:02.112 2   1 215.724 km/h 1:37.491 (T.30) 25
2 L.Lewis HAMILTON (Mercedes) +10.587 4   2 215.333 km/h 1:37.668 (T.30) 18
3 G.George RUSSELL (Mercedes) +16.495 6   3 215.598 km/h 1:37.548 (T.51) 15
4 S.Sergio PÉREZ (Red Bull) +17.310 3   1 215.086 km/h 1:37.780 (T.45) 12
5 C.Carlos SAINZ (Ferrari) +28.872 19   14 219.575 km/h 1:35.781 (T.51) 11
6 F.Fernando ALONSO (Alpine) +42.879 7   1 214.254 km/h 1:38.160 (T.53) 8
7 L.Lando NORRIS (McLaren) +52.026 5   2 212.356 km/h 1:39.037 (T.43) 6
8 E.Esteban OCON (Alpine) +56.959 10   2 213.116 km/h 1:38.684 (T.53) 4
9 D.Daniel RICCIARDO (McLaren) +1:00.372 9   212.151 km/h 1:39.133 (T.27) 2
10 L.Lance STROLL (Aston Martin) +1:02.549 15   5 212.040 km/h 1:39.185 (T.52) 1
11 S.Sebastian VETTEL (Aston Martin) +1:04.494 12   1 212.341 km/h 1:39.044 (T.43)
12 P.Pierre GASLY (AlphaTauri) +1:05.448 14   2 212.896 km/h 1:38.786 (T.53)
13 A.Alexander ALBON (Williams) +1:08.565 13   212.010 km/h 1:39.199 (T.53)
14 V.Valtteri BOTTAS (Alfa Romeo) +1:16.666 11   3 214.685 km/h 1:37.963 (T.52)
15 M.Mick SCHUMACHER (Haas) +1:20.394 17   2 212.290 km/h 1:39.068 (T.48)
16 G.Guanyu ZHOU (Alfa Romeo) +6 tours (T.47) 16   211.649 km/h 1:39.368 (T.25)
Ab N.Nicholas LATIFI (Williams) Dégâts dus à un accrochage (T.40) 18 211.050 km/h 1:39.650 (T.40)
Ab K.Kevin MAGNUSSEN (Haas) Dégâts dus à un accrochage (T.37) 20 211.869 km/h 1:39.265 (T.11)
Ab C.Charles LECLERC (Ferrari) Accident (T.17) 1 214.411 km/h 1:38.088 (T.4)
Ab Y.Yuki TSUNODA (AlphaTauri) Fond plat (T.17) 8 209.858 km/h 1:40.216 (T.4)
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