Iron Lynx a annoncé son engagement dans le Championnat du Monde d'Endurance FIA 2025 avec deux Mercedes-AMG LMGT3.
Ce partenariat marque une première pour Mercedes-AMG dans cette catégorie et inclut une participation à la 93e édition des 24 Heures du Mans.
La Mercedes-AMG LMGT3 devra être adaptée pour répondre aux critères de la classe LMGT3, notamment l'intégration de capteurs de couple et des tests en soufflerie.
Le processus devrait être finalisé avant le début de la saison, qui commencera par le Prologue FIA WEC les 21 et 22 février à Lusail, avant la course inaugurale au Qatar.
L'équipe a confirmé ses deux premiers pilotes : Claudio Schiavoni (numéro 60), un habitué des 24 Heures du Mans, et Matteo Cressoni (numéro 61), membre historique de l'équipe. Andrea Piccini, directeur d'Iron Lynx, se dit confiant quant à leur compétitivité avec le soutien de Mercedes-AMG.
Détails sur le Grand Prix de F1 de Bahreïn 2024
Retour à la saison 2024 Course précédente Course suivanteBahreïn | Sakhir
FP1 | 29/02/2024 | 12:30 | |
FP2 | 29/02/2024 | 16:00 | |
FP3 | 01/03/2024 | 13:30 | |
Qualifications | 01/03/2024 | 17:00 | |
Course | 02/03/2024 | 16:00 |
FALC (Faits à la con)
7 : freinages dont 3 très gros, c'est-à-dire de 4G ou plus pendant 0,4 s ou plus. Ce circuit est exigeant, les pilotes prennent aussi 3,3G latéraux au T12.
495 : nombre de lampadaires utilisés pour éclairer la piste.
1 120 : nombre de palmiers présent dans l'enceinte du circuit. Il est au milieu du désert et a été érigé en lieu et place d'une ferme à chameaux.
Les données sur le circuit
Infos générales
Premier Grand Prix : 2004
Sens : horaire
Nombre de tours : 57
Nombre de zones DRS : 3
Distances
Longueur du circuit : 5.412 km
Ou encore... 40 388 canettes de 250 mL de Red Bull couchées
Longueur de la course : 308.238 km
Ou encore... 2 300 284 canettes de 250 mL de Red Bull couchées
Virages
Nombre de virages : 15
Nombre de virages à gauche : 6
Nombre de virages à droite : 9
Les stands
Vitesse limite dans les stands : 80 km/h
Distance d'allée des stands sous limiteur de vitesse : 421.00 m
Temps nécessaire pour purger un Drive-Through : 18.90 s
Chronos
Tour en course le plus rapide : 1:31.447 (Pedro DE LA ROSA, 2005)
Tour le plus rapide : 1:27.264 (Lewis HAMILTON, 2020)
Pole position
Côté de la pole position : gauche
Distance de la pole au premier freinage : 297.10 m
Accélérateur et boîte de vitesses
Temps à pleine charge : 61 %
Distance à pleine charge : 73 %
Consommation d'essence : moyenne
Nombre de changements de vitesses en un tour : 61
Données F1 et Mercedes-AMG F1 Team, aucune affiliation ou autre. Ces données étaient valables avant que le Grand Prix de F1 ne se déroule.
Les éléments ont pu évoluer après le week-end de course : changement de tracé, nouveau record et etc.
Les données pneumatiques Pirelli
Pressions minimale de départ des slicks
Avant : 22.0 psi
Arrière : 19.0 psi
Limites de carrossage
Avant : -3.50°
Arrière : -2.00°
Pneumatique et piste
Evolution de la piste (FP1 aux qualifs) : moyenne
Abrasion de l'asphalte : 5/5
Résultats du Grand Prix de F1 de Bahreïn 2024
Pos. | Pilote (Constructeur) | Temps | Pos. grille | Gain/perte pos.* | Vitesse moyenne | Meilleur tour | Points |
---|---|---|---|---|---|---|---|
1 | M.Max VERSTAPPEN (Red Bull) | 1:31:44.742 | 1 | 210.383 km/h | 1:32.608 (T.39) | 26 | |
2 | S.Sergio PÉREZ (Red Bull) | +22.457 | 5 | 3 | 206.468 km/h | 1:34.364 (T.40) | 18 |
3 | C.Carlos SAINZ (Ferrari) | +25.110 | 4 | 1 | 206.156 km/h | 1:34.507 (T.44) | 15 |
4 | C.Charles LECLERC (Ferrari) | +39.669 | 2 | 2 | 207.069 km/h | 1:34.090 (T.36) | 12 |
5 | G.George RUSSELL (Mercedes) | +46.788 | 3 | 2 | 204.946 km/h | 1:35.065 (T.40) | 10 |
6 | L.Lando NORRIS (McLaren) | +48.458 | 7 | 1 | 206.223 km/h | 1:34.476 (T.1) | 8 |
7 | L.Lewis HAMILTON (Mercedes) | +50.324 | 9 | 2 | 205.688 km/h | 1:34.722 (T.39) | 6 |
8 | O.Oscar PIASTRI (McLaren) | +56.082 | 8 | 205.123 km/h | 1:34.983 (T.1) | 4 | |
9 | F.Fernando ALONSO (Aston Martin) | +1:14.887 | 6 | 3 | 206.830 km/h | 1:34.199 (T.48) | 2 |
10 | L.Lance STROLL (Aston Martin) | +1:33.216 | 12 | 2 | 203.730 km/h | 1:35.632 (T.30) | 1 |
11 | G.Guanyu ZHOU (Sauber) | +1 tour (T.56) | 17 | 6 | 204.102 km/h | 1:35.458 (T.30) | |
12 | K.Kevin MAGNUSSEN (Haas) | +1 tour (T.56) | 15 | 3 | 203.863 km/h | 1:35.570 (T.34) | |
13 | D.Daniel RICCIARDO (Visa Cash App RB) | +1 tour (T.56) | 14 | 1 | 204.735 km/h | 1:35.163 (T.37) | |
14 | Y.Yuki TSUNODA (Visa Cash App RB) | +1 tour (T.56) | 11 | 3 | 203.303 km/h | 1:35.833 (T.37) | |
15 | A.Alexander ALBON (Williams) | +1 tour (T.56) | 13 | 2 | 203.537 km/h | 1:35.723 (T.40) | |
16 | N.Nico HÜLKENBERG (Haas) | +1 tour (T.56) | 10 | 6 | 205.445 km/h | 1:34.834 (T.46) | |
17 | E.Esteban OCON (Alpine) | +1 tour (T.56) | 19 | 2 | 202.473 km/h | 1:36.226 (T.34) | |
18 | P.Pierre GASLY (Alpine) | +1 tour (T.56) | 20 | 2 | 205.508 km/h | 1:34.805 (T.45) | |
19 | V.Valtteri BOTTAS (Sauber) | +1 tour (T.56) | 16 | 3 | 202.523 km/h | 1:36.202 (T.33) | |
20 | L.Logan SARGEANT (Williams) | +2 tours (T.55) | 18 | 2 | 205.659 km/h | 1:34.735 (T.42) |
Les actus concernant le Grand Prix de F1 de Bahreïn 2024
Les brefs concernant le Grand Prix de F1 de Bahreïn 2024 (81)
Alex Kalinauckas d'Autosport a questionné Charles Leclerc sur son duel avec Carlos Sainz le week-end dernier, qui semblait assez excitant du point de vue des spectateurs, mais nettement moins frénétique, peut-être, ou sur le fil du rasoir que ce qui s'était passé à Monza l'année dernière. Le journaliste rappelle une scène dans "Drive to Survive" où les pilotes Ferrari parlent de la manière dont ils s'affrontent en course. Quelle était sa réflexion en termes de combat roue contre roue avec Carlos ? Est-ce différent de ce que c'était avant ? Réponse de Leclerc "Non, je pense que nous essayons toujours de nous battre à la limite, en gardant évidemment à l'esprit que Ferrari passe en premier et que nous ne pouvons pas prendre de risques inutiles."
Le Monégasque a complété : "Encore une fois, de mon côté, je n'étais pas vraiment en position de me battre correctement, car nous avions pas mal de problèmes à gérer. Oui, au final, c'est une question d'équilibre et parfois nous pouvons dépasser un peu la limite et être un peu trop agressifs, puis nous aurons une discussion et nous recentrerons cela. Et c'est ce que nous avons fait au cours des années où nous avons concouru ensemble. Mais je ne me souviens d'aucun moment où cela est allé jusqu'à avoir un problème entre nous. C'est donc une bonne chose et cela devrait rester ainsi. Mais je n'ai aucun doute à ce sujet. Nous avons aussi une très bonne relation en dehors de la voiture, donc nous sommes très ouverts et très honnêtes entre nous, donc nous avons cette discussion très souvent. Donc oui, il s'agit de trouver le bon équilibre, mais je pense que nous l'avons fait."
Charles Leclerc a indiqué que le problème de frein qu'il a eu à Bahreïn était inédit et qu'il ne pense pas que ça reviendra : "Cela n'était pas dû à la surchauffe ou à quoi que ce soit du genre. C'était juste un problème que nous n'avions jamais eu auparavant. Et cela a évidemment été très coûteux en termes de temps, surtout dans la première moitié de la course, où c'était extrêmement difficile à conduire. Mais non, je ne m'attends pas à ce que cela se reproduise ce week-end."
Lors de la conférence de presse pré-Grand Prix d'Arabie Saoudite, Yuki Tsunoda a été invité à revenir sur les ordres de son écurie à Bahreïn. Lui et Ricciardo ont dû échanger leurs positions mais l'Australien n'a pas pu dépasser la voiture précédant les VCARB. Après la course, le japonais a fait un divebomb sur Daniel Ricciardo puis l'a frôlé, laissant le numéro 3 plongé dans la perplexité.
- Les choses sont devenues un peu tendues entre vous et Daniel après le drapeau à damier le week-end dernier. Qu'est-ce qui s'est passé ?
- Oui, nous en avons parlé après la course avec toute l'équipe et nous sommes toujours unis, vous savez, nous sommes maintenant sur la même longueur d'onde. Nous nous comprenons. Donc, oui, je pense que c'est vraiment tout.
- Cela reflétait-il juste votre frustration concernant les consignes d'équipe ?
- À ce moment-là, oui. Mais au final, je comprends ce qu'ils disent. Et oui, je pense que c'est tout. La course n'a évidemment pas été facile à la fin. Donc, je pense que c'est ça, oui.
- Et qu'en est-il du rythme de la voiture ?
- Le rythme était bon. Assez content du rythme. Je pense que je me battais dans le top 10. Donc, oui, il y a définitivement du rythme et nous l'avons vu en qualifications aussi. Nous avons fini assez proches du P10 également. Donc c'était bien. J'ai donc apprécié la première moitié. Et oui, évidemment, beaucoup de choses à retenir de là comme point positif et évidemment pour l'avenir aussi.
- Et si, Yuki, il y a à nouveau des consignes d'équipe ce week-end, sera-ce plus facile pour vous de vous y faire ?
- Oui. À 100 %.
David Croft, de Sky Sports lui a ensuite posé la question suivante : "Vous semblez beaucoup plus calme maintenant concernant les consignes d'équipe, mais pour la 12ème place, était-ce vraiment nécessaire ? Et pourquoi l'équipe imposait-elle des consignes d'équipe pour ce qui était une lutte pour la 12ème place ? Et étiez-vous sur le point de dépasser Kevin, ou étiez-vous resté derrière lui pendant un moment ? Pouvez-vous nous expliquer un peu cela ?"
Le jeune Japonais lui a répondu : "Oui, je pense que nous avions une stratégie différente de celle de Daniel. Et il avait des pneus neufs. Enfin, il avait des pneus Tendres. Et je me battais avec Kevin [Magnussen, sur Haas]. Donc, évidemment, il avait plus d'air libre et il avait plus de rythme. Et je pense que probablement l'équipe pensait que Daniel avait plus de rythme et plus de chances de dépasser Kevin. Donc ils m'ont demandé de changer de position. Oui, je pense que c'est tout. Oui, sur le moment, j'étais un peu énervé. J'avais des moments de surchauffe dans mon cerveau. Mais oui, finalement, je l'ai laissé passer, peut-être un tour plus tard ou une demi-tour plus tard. Donc probablement que c'était ça. Donc à la fin, l'équipe pensait qu'ils avaient plus de chances, et je respecte cela, oui."
Ian Parkes du New York Times a rebondi sur le "moment de surchauffe" du Japonais, l'interrogeant sur la raison pour laquelle Red Bull voudrait engager un pilote qui lutte encore pour maîtriser ses émotions en course, comme cela a été observé par le passé. Il a également demandé à Tsunoda ce qu'il pense devoir démontrer au reste de la saison pour prouver qu'il mérite le deuxième baquet Red Bull, détenu actuellement par Checo Pérez. Tsunoda a répondu : "Oui, assurément. C'est quelque chose que je dois améliorer, c'est sûr. Et oui, je veux dire, si je refais ces choses, bien sûr, il y aura plus de problèmes. Et je sais que ce sont des choses que je dois principalement améliorer. Donc oui, je travaille dessus. Et oui, je montrerai des améliorations. Il me faut faire plus que deux pas en avant, vous savez, pas seulement un pas, par exemple. Et j'ai confiance en ma capacité à prouver cela. Et c'est à eux de décider s'ils me veulent ou non, je pense, pour le reste. Mais oui, je me concentre principalement sur ces autocontrôles. À part ça, j'ai une assez bonne confiance. J'atteins la plupart de mes objectifs, et je continue de m'améliorer."
Nico Hülkenberg a exprimé un optimisme prudent concernant les améliorations apportées à sa voiture pour cette saison, soulignant qu'elle est en "meilleur état que l'année dernière". Il admet que la base de départ était assez faible, ce qui rendait toute amélioration notable. Cependant, il reste attentif, considérant les performances au Grand Prix de Bahreïn comme un indicateur positif, malgré un incident qui l'a placé loin derrière dans la course. Hülkenberg souligne l'importance des améliorations aérodynamiques, mentionnant une "carte aéro" [aero map] plus cohérente et prévisible, qui contribue à une meilleure gestion des pneus. Malgré ce progrès, il reste prudent, rappelant que les conclusions définitives devraient attendre après quelques courses de plus, permettant d'évaluer la performance de la voiture dans des conditions variées.
Lors du Grand Prix de Bahreïn, les Mercedes ont montré un rythme qui n'était pas en adéquation avec les performances brillantes en FP2. Quelles conclusions Mercedes en a tiré, a-t-il été demandé à George Russell ? "Je pense que les conclusions que nous avons tirées étaient que la voiture a du potentiel. Je pense que lorsque nous avons vu le rythme lors des FP2, c'était authentique, Lewis et moi étions P1 et P2. Je pense que probablement tout le monde n'a pas montré son jeu, mais nous étions réellement rapides. Et puis en course, nous avons eu de très gros problèmes de refroidissement qui nous ont pris par surprise. Et nous savons que c'était au moins une perte de 15 secondes juste avec la batterie et la puissance. Et probablement plus après avoir considéré l'effet que cela a eu sur les pneus. et juste un couple de secondes en plus lors du premier relais quand j'avais Checo derrière moi aurait été assez pratique. Donc je pense que nous aurions été dans la lutte pour la P2, pour le podium, avec Checo et Carlos, mais définitivement, nous n'avons pas montré notre vrai potentiel."
Et ces problèmes de refroidissement étaient-ils une simple erreur de calcul ou quelque chose qui nécessite réellement une mise à jour de la W15 ? Russell a répondu : "Je pense que c'était définitivement une erreur de calcul. Il aurait été assez simple d'ouvrir un peu la carrosserie et de rendre les choses beaucoup plus faciles. Mais nous ne savons pas comment nous sommes arrivés à cette situation… Non, nous ne comprenons vraiment pas pourquoi, parce que nous n'avons rien changé depuis les tests, lors des FP2 également, et puis soudainement cela nous a surpris le samedi. Donc je suis sûr que cela ira mieux ce week-end [à Djeddah]."
Russell espère mettre à profit les essais libres en Arabie Saoudite pour prendre le dessus sur tout ça.
Ayao Komatsu s'est exprimé après sa première course à la tête de l'écurie Haas : "D'accord, ce n'était pas la course parfaite, Nico [Hülkenberg] a eu un mauvais départ et a endommagé son aileron avant, ce qui signifiait essentiellement que sa course était terminée à ce moment-là. La course de Kevin [Magnussen] a montré que nous pouvons nous battre cette année. Nous n'avons pas la meilleure dégradation mais au moins dans le milieu de peloton, nous pouvons nous battre pour les points. Nous n'avons pas fait une stratégie parfaite mais même dans ce cas, Kevin se battait dans le milieu de peloton jusqu'aux derniers moments, ce qui était très positif. Nous savons que la marge d'erreur est très, très petite, donc nous devons aussi nous améliorer de ce côté-là. Il y a d'énormes points positifs à retenir de ce week-end et ensuite, nous attendons avec impatience une autre chance le week-end prochain. Nous sommes vraiment impatients de faire à nouveau une forte impression à Djeddah."
La question de l'impact des nouvelles régulations sur la compétitivité en piste et la gestion des pneus a été au cœur des discussions lors du dernier Grand Prix. Sergio Pérez avait anticipé que suivre une autre voiture serait plus difficile cette saison, une prévision qui soulève des interrogations sur les stratégies en course et l'utilisation du système DRS dès le premier tour. Comment ces changements ont-ils affecté la dynamique en piste pour les pilotes Red Bull et Ferrari, et quelles sont leurs perspectives sur l'activation précoce du DRS ?
Checo Pérez est intervenu : "Je pense que cela change définitivement la façon de courir, vous savez, et surtout avec les voitures autour de vous lorsque vous êtes en lutte et que vous obtenez directement le DRS. Comme j'ai vu Carlos, il a perdu le DRS au début et il était juste hors de la course pendant un moment. Et la voiture devant, entrant directement dans l'air pur, est essentiellement seule, doit utiliser plus ses pneus, donc c'est un peu un désavantage si vous êtes en lutte, je pense, dans des endroits comme Bakou ou même Djeddah, vous savez, avoir ce genre de... Je pense que la course va être différente. Cela crée une différence pour la voiture de devant dans les premiers tours. Donc, oui, ça va être intéressant, je pense. Le premier relais entre Mercedes, Ferrari et moi-même était très compétitif tout du long. Je pense donc que le changement dans le DRS fait une différence."
Carlos Sainz a complété : "Je pense que la stratégie entre beaucoup en jeu, surtout avec la sensibilité des pneus à la poussée. Donc d'un côté, vous voulez pousser pour sortir du DRS ou pour entrer dans le DRS. Et d'un autre côté, vous voulez économiser des pneus car nous savons tous combien les pneus sont sensibles dans les premiers tours à la poussée. C'est une ligne très fine. J'ai choisi, dès que j'ai vu que je n'avais pas de pression derrière. J'ai décidé de gérer mes pneus et cela a payé au lieu d'entrer dans la bataille du DRS. Donc et puis je pourrais les dépasser. Pas de problème. Et oui, cela va dépendre du circuit. Ça va être, je pense, une saison très délicate avec 24 courses comme ça. Nous l'avions sur les Sprints l'année dernière. Donc oui, ça va être un défi. Mais une autre chose intéressante à considérer."
Max Verstappen a conclu : "Oui, je veux dire, aussi de mon côté, sachant jusqu'où pousser ou se retenir. Je pense que le premier tour, Charles, était dans le DRS au moins une fois. Mais oui, vous voulez pousser et économiser vos pneus, donc c'est prendre cette décision. Mais sûr, sur certains circuits, cela sera assez délicat car le DRS peut être très puissant. Donc cela pourrait créer des, disons, batailles ou situations intéressantes."
Dans le contexte actuel du championnat de Formule 1, une interrogation persiste quant à l'avantage perceptible de Red Bull. Alors que la saison débute, l'interrogation demeure : est-il possible pour les concurrents de rattraper Red Bull avant l'introduction d'un nouveau règlement en 2026 ? Cette question soulève des enjeux majeurs pour les équipes rivales, cherchant à combler l'écart avec le leader actuel du championnat.
Carlos Sainz a formulé une réponse : "L'avantage de Red Bull à Bahreïn est ce que vous avez vu aujourd'hui, très, très clairement. Il est intéressant de voir comment ils parviennent à prolonger la durée de vie du pneu C3 Soft un peu plus longtemps que les autres, comment ils ont tendance à moins surchauffer. Peut-être que cela rend la voiture également moins compétitive en qualification et si bonne en course sur un circuit comme Bahreïn. Nous avons besoin de plus d'exemples. Mais je m'attends à ce que Red Bull soit toujours meilleur en course comme l'année dernière. Regardez les huit dernières courses entre Charles et moi. Nous avons réussi à faire quelques pole positions, beaucoup de premières lignes, mais ensuite Max en course s'éloignait massivement et Checo était toujours capable de nous dépasser. Donc, oui, j'espère que le trait de cette année n'est pas aussi exagéré et nous avons fait un bon pas en avant dans ce sens, ce que j'ai déjà ressenti aujourd'hui. Mais ils sont toujours en tête. Il est donc temps de nous concentrer et de commencer à développer cette voiture pour continuer à réduire l'écart en course."
Max Verstappen a complété : "Oui, je veux dire, ce week-end, bien sûr, je pense qu'en course, nous sommes toujours très forts. Mais si vous regardez les qualifications, j'ai bien sûr obtenu la pole. Mais le tour le plus rapide a été réalisé en Q2 par Charles, vous savez. Donc, sur un tour, je ne pense pas que ce soit si évident. Et chaque circuit est différent. Donc peut-être que nous arrivons à Djeddah et vous avez une sensation différente. Et naturellement, sur des circuits avec une dégradation plus faible, les équipes seront plus proches. Et oui, heureusement, nous n'avons pas trop de Singapours au calendrier. Sinon, cela pourrait être un peu difficile pour nous. Mais voyons cette année si c'est un peu mieux sur les circuits urbains également."