Hyundai tease la future IONIQ 6 N avant Goodwood

Hyundai présente les premières images de la IONIQ 6 N, berline électrique sportive aux lignes aérodynamiques. Dotée d'un aileron imposant et de jantes allégées, elle promet agilité, performances sur circuit et polyvalence au quotidien. Sa révélation est prévue au Festival of Speed de Goodwood.

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Détails sur le Grand Prix de F1 d'Espagne 2025

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 Espagne | Montmeló

Pneus
C1
C2
C3
Espagne
Course 9/23
FP1 30/05/2025 13:30
FP2 30/05/2025 17:00
FP3 31/05/2025 12:30
Qualifications 31/05/2025 16:00
Course 01/06/2025 15:00

 FALC (Faits à la con)

Le circuit de Catalogne est apparu pour la première fois au calendrier en 1951 et est devenu permanent en 1986.
Le circuit de Montmelo est le cinquième à accueillir ce Grand Prix : auparavant, il se déroulait sur deux circuits urbains de la capitale catalane, deux fois à Pedralbes et quatre fois à Montjuic.
Il s'est également déroulé sur la piste permanente de Jarama, dans la banlieue de Madrid (neuf fois) et à Jerez de la Frontera en Andalousie (cinq fois).
L'Espagne a également accueilli sept autres épreuves du championnat du monde, toutes appelées Grand Prix d'Europe : en 1994 et 1997 à Jerez et de 2008 à 2012 sur le circuit urbain de Valence.

 Les données sur le circuit

 Infos générales

Premier Grand Prix : 1991
Sens : horaire
Nombre de tours : 66
Nombre de zones DRS : 2

 Distances

Longueur du circuit : 4.657 km

Ou encore... 34 754 canettes de 250 mL de Red Bull couchées

Longueur de la course : 307.236 km

Ou encore... 2 292 806 canettes de 250 mL de Red Bull couchées

 Virages

Nombre de virages : 14
Nombre de virages à gauche : 6
Nombre de virages à droite : 8

 Les stands

Vitesse limite dans les stands : 80 km/h
Distance d'allée des stands sous limiteur de vitesse : 367.00 m
Temps nécessaire pour purger un Drive-Through : 16.50 s

 Chronos

Tour en course le plus rapide : 1:16.330 (Max Verstappen, 2023)
Tour le plus rapide : 1:12.272 (Max Verstappen, 2023)

 Pole position

Côté de la pole position : gauche
Distance de la pole au premier freinage : 613.00 m

 Accélérateur et boîte de vitesses

Temps à pleine charge : 62 %
Distance à pleine charge : 73 %
Consommation d'essence : élevée
Nombre de changements de vitesses en un tour : 40

Données F1 et Mercedes-AMG F1 Team, aucune affiliation ou autre. Ces données étaient valables avant que le Grand Prix de F1 ne se déroule.
Les éléments ont pu évoluer après le week-end de course : changement de tracé, nouveau record et etc.

 Les données pneumatiques Pirelli

 Pressions minimale de départ des slicks

Avant : 26.0 psi
Arrière : 22.0 psi

 Limites de carrossage

Avant : -3.00°
Arrière : -1.75°

 Pneumatique et piste

Evolution de la piste (FP1 aux qualifs) : moyenne
Abrasion de l'asphalte : 4/5

 Résultats du Grand Prix de F1 d'Espagne 2025

Pos. Pilote (Constructeur) Temps Pos. grille Gain/perte pos.* Meilleur tour Points
1 O.Oscar PIASTRI (McLaren) 1:32:57.375 1   1:15.743 (T.61) 25
2 L.Lando NORRIS (McLaren) +2.471 2   1:16.187 (T.61) 18
3 C.Charles LECLERC (Ferrari) +10.455 7   4 1:17.259 (T.62) 15
4 G.George RUSSELL (Mercedes) +11.359 4   1:17.244 (T.62) 12
5 N.Nico HÜLKENBERG (Sauber) +13.648 15   10 1:17.575 (T.63) 10
6 L.Lewis HAMILTON (Ferrari) +15.508 5   1 1:17.706 (T.62) 8
7 I.Isack HADJAR (Racing Bulls) +16.022 9   2 1:17.770 (T.63) 6
8 P.Pierre GASLY (Alpine) +17.882 8   1:17.896 (T.63) 4
9 F.Fernando ALONSO (Aston Martin) +21.564 10   1 1:18.128 (T.66) 2
10 M.Max VERSTAPPEN (Red Bull) +21.826 3   7 1:17.019 (T.62) 1
11 L.Liam LAWSON (Racing Bulls) +25.532 13   2 1:19.424 (T.62)
12 G.Gabriel BORTOLETO (Sauber) +25.996 12   1:18.297 (T.51)
13 Y.Yuki TSUNODA (Red Bull) +28.822 19   6 1:17.998 (T.46)
14 C.Carlos SAINZ (Williams) +29.309 17   3 1:19.317 (T.65)
15 F.Franco COLAPINTO (Alpine) +31.381 18   3 1:18.353 (T.41)
16 E.Esteban OCON (Haas) +32.197 16   1:18.624 (T.46)
17 O.Oliver BEARMAN (Haas) +37.065 14   3 1:18.907 (T.63)
Ab A.Andrea Kimi ANTONELLI (Mercedes) Abandon (T.53) 6 1:18.255 (T.52)
Ab A.Alexander ALBON (Williams) Abandon (T.27) 11 1:20.508 (T.9)

Les actus concernant le Grand Prix de F1 d'Espagne 2025

Les brefs concernant le Grand Prix de F1 d'Espagne 2025 (51)

Max VERSTAPPEN | Red Bull

Max Verstappen s'est exprimé sur Instagram au lendemain d'une course agitée à Barcelone, marquée par une stratégie initialement prometteuse du côté de Red Bull, puis par une fin d'épreuve tendue.

Alors qu'il tentait de limiter les dégâts après l'intervention d'une voiture de sécurité tardive, provoquée par l'abandon d'Antonelli, le Néerlandais s'est retrouvé en difficulté à cause du choix pneumatique imposé par les circonstances. Red Bull l'a rappelé au stand pour chausser un train de gommes dures neuves (utilisé du tour 55 jusqu'à l'arrivée au tour 66), faute de disposer d'alternatives viables. Le train de tendres utilisé auparavant, chaussé au tour 47, était déjà entamé dès sa première utilisation. Ce choix défensif l'a donc laissé vulnérable face à des rivaux en médiums ou tendres plus frais.

À la relance, Verstappen s'est fait dépasser par Charles Leclerc dans la ligne droite principale. Puis, au virage 1, George Russell a tenté une attaque : les deux voitures sont entrées en contact, Verstappen coupant l'échappatoire pour ressortir devant la Mercedes.

Red Bull, craignant une sanction, lui a aussitôt demandé de rendre la position. Visiblement contrarié, Verstappen a brièvement obtempéré en laissant Russell pointer le museau de sa monoplace devant la sienne… avant de reprendre aussitôt l'avantage au virage suivant, au prix d'un nouveau contact. Ce geste, jugé inutilement agressif, lui a valu une pénalité de temps qui l'a fait chuter de la cinquième à la dixième place à l'arrivée.

Ce matin, à froid, le quadruple champion du monde a livré un rare mea culpa sur les réseaux sociaux : "Nous avions une stratégie excitante et une bonne course à Barcelone, jusqu'à l'intervention de la voiture de sécurité. Notre choix de pneus pour la fin de course et certaines manœuvres après la relance ont alimenté ma frustration, menant à une action qui n'était pas la bonne et qui n'aurait pas dû se produire. Je donne toujours tout pour l'équipe et les émotions peuvent parfois être fortes. Parfois on gagne ensemble, parfois on perd ensemble. Rendez-vous à Montréal."

En reconnaissant que sa réaction était mal calibrée, Verstappen admet une part de responsabilité dans un incident symptomatique d'un contexte plus tendu qu'à l'accoutumée. Un signal révélateur alors que la pression monte dans le clan Red Bull, en cette saison 2025 dominée pour l'instant par McLaren.

La FIA a publié les résultats définitifs du Grand Prix d'Espagne 2025, accompagnés des classements côté pilote puis côté constructeurs.

Charles LECLERC | Ferrari

Troisième à l'arrivée du Grand Prix d'Espagne, Charles Leclerc a reconnu au micro de Sky Sports que la stratégie pneumatique de Ferrari avait fait la différence… tout comme un coup de pouce inattendu du destin. Le Monégasque a également évoqué un souci spécifique dans le dernier relais, qu'il pense avoir identifié.

"Le premier relais a été super fort, car on avait une gomme qu'on n'avait pas utilisée hier. C'était quasiment un pneu neuf qu'on avait gardé en n'allant pas en Q3, et ça a tout changé."

Mais la suite a été plus délicate : "Le deuxième relais en médiums a été moins bon que prévu. Je pense que la 4e place était possible. Heureusement, il y a eu la Safety Car à la fin. À Imola, on avait été du côté malchanceux, aujourd'hui c'était l'inverse."

En radio, Leclerc avait évoqué une explication à son manque de rythme en fin de course. Il a confirmé qu'il disposait déjà d'un début d'analyse : "Je connais les limites. Pour une raison qu'on doit encore comprendre, elles ont énormément changé entre le premier et le dernier relais."

"C'était beaucoup plus difficile à gérer à la fin. Il faut comprendre pourquoi, mais j'ai une explication. Je suis presque sûr d'où ça vient. Ce n'est pas quelque chose auquel je m'attendais. C'est nouveau depuis ce week-end."

Lewis HAMILTON | Ferrari

Sixième à l'arrivée du Grand Prix d'Espagne, Lewis Hamilton a eu bien du mal à masquer sa frustration en débriefant sa course. Le pilote Ferrari, visiblement contrarié, a livré un discours court et désabusé, sans chercher à entrer dans le détail.

Interrogé sur ses propos radio durant la course, où il évoquait un problème sur sa voiture, Hamilton a rapidement balayé le sujet : "Pas vraiment. Juste une mauvaise journée."

Sur la stratégie : "La stratégie était bonne. L'équipe a fait du bon boulot. C'est tout."

Relancé sur ses difficultés, Hamilton n'a pas souhaité s'épancher : "J'ai passé une très mauvaise journée et je n'ai rien à dire. C'était une course difficile. Je n'ai rien d'autre à ajouter."

Avant de conclure avec amertume : "C'était horrible. Inutile d'expliquer. Ce n'est pas votre faute. Je ne sais juste pas quoi dire."

Quant à savoir si l'équipe pourrait analyser ce qui n'a pas fonctionné : "Je suis sûr qu'ils n'y arriveront pas…"
Il est à noter que la restranscription de Sky Sports s'arrêtait à ces quelques mots mais il m'a été remonté qu'il a poursuivi ainsi : "Je suis sûr qu'ils n'y arriveront pas, c'est probablement juste moi [qui n'y arrive pas]."

Max VERSTAPPEN | Red Bull

Dans une décision séparée, les commissaires ont conclu que Max Verstappen n'aurait pas dû avoir à rendre sa position à George Russell après le contact survenu au premier virage lors de la relance post-Safety Car. Après examen des données GPS, vidéos embarquées, images extérieures et données du système de marshalling, leur analyse disculpe le pilote Red Bull.

"La voiture 63 a tenté de dépasser la voiture 1 par l'intérieur du virage 1. Si l'axe avant de la voiture 63 était légèrement devant le rétroviseur de la voiture 1 au point de corde, le pilote de la voiture 63 a brièvement perdu le contrôle de sa monoplace et est entré en contact avec la voiture 1, la contraignant à élargir sa trajectoire et à passer par l'échappatoire.

La voiture 1 est revenue en piste à la hauteur du virage 3, devant la voiture 63. Étant donné que la sortie de piste de la voiture 1 a été provoquée par la perte de contrôle et le contact initié par la voiture 63, la voiture 1 n'a pas quitté délibérément la piste.

Par conséquent, nous avons décidé de ne prendre aucune mesure supplémentaire."

Autrement dit, Verstappen n'avait pas à rendre sa position : sa sortie large était involontaire et causée par Russell. L'ordre de Red Bull de restituer la quatrième place, mal fondé, l'a plongé dans une situation confuse – qu'il a tenté de gérer à sa manière – avant d'être pénalisé pour l'incident suivant où il rentre dans la monoplace de Russell.

Max VERSTAPPEN | Red Bull

Max Verstappen a écopé de trois points de pénalité supplémentaires sur sa Super Licence, en plus de la pénalité de dix secondes infligée après son accrochage avec George Russell lors du Grand Prix d'Espagne. Le pilote Red Bull totalise désormais 11 points sur les 12 autorisés avant une suspension automatique d'un Grand Prix. Il en perdra deux à l'issue du Grand Prix d'Autriche.

Voici les explications détaillées des commissaires : "D'après les communications radio, il était clair que le pilote de la voiture 1 a reçu de son équipe l'instruction de "rendre la position" à la voiture 63, car l'équipe estimait qu'il y avait eu une infraction antérieure de la part de la voiture 1 pour avoir quitté la piste et gagné un avantage durable (infraction pour laquelle nous avons, par la suite, décidé de ne prendre aucune mesure).

Le pilote de la voiture 1 n'était manifestement pas d'accord avec la demande de son équipe. À l'approche du virage 5, la voiture 1 a considérablement réduit sa vitesse, donnant l'impression qu'elle permettait à la voiture 63 de passer.

Cependant, après que la voiture 63 soit passée devant la voiture 1 à l'entrée du virage 5, la voiture 1 a soudainement réaccéléré et est entrée en collision avec la voiture 63. La collision a été sans aucun doute causée par les actions de la voiture 1.

Nous avons donc infligé une pénalité de dix secondes à la voiture 1."

Lando NORRIS | McLaren

Deuxième à l'arrivée du Grand Prix d'Espagne, Lando Norris n'a pas caché sa satisfaction après une course solide de McLaren et une belle lutte en interne. Le Britannique a reconnu la supériorité de son coéquipier tout en mettant en avant le résultat collectif.

"Oscar a fait une très belle course aujourd'hui. Je n'avais pas tout à fait le rythme pour le suivre, mais on a tout donné."

Souriant, Norris a conclu sur une note positive : "C'était une course très sympa, et finir premier et deuxième, c'est encore mieux !"

Charles LECLERC | Ferrari

Charles Leclerc a décroché la troisième marche du podium à Barcelone, grâce à une stratégie payante et une manœuvre musclée face à Max Verstappen au moment de la relance. Les deux hommes se sont accrochés en pleine ligne droite, roue contre roue, dans une phase de défense agressive de part et d'autre.

Le pilote Ferrari est revenu sur cet épisode au micro après l'arrivée : "C'était une bataille de position pour avoir l'aspiration. Max a voulu me ramener vers l'intérieur, je ne voulais pas y aller donc j'ai essayé de le pousser de ce côté-là."

"Je l'ai décalé à gauche, il y a eu un léger contact mais heureusement sans conséquence."

Leclerc a également expliqué avoir volontairement compromis ses qualifications afin d'avoir un avantage pneumatique pour la course : "Je suis vraiment content. J'ai sacrifié les qualifs pour avoir de meilleurs pneus. Je ne savais pas si ça allait marcher mais ça a payé."

Ce podium, le deuxième consécutif après Imola, a été obtenu dans des circonstances favorables selon lui : "Je pense que P4 aurait été notre place dans une course normale. On a eu un peu de chance avec la Safety Car."

George RUSSELL | Mercedes

George Russell s'est montré mesuré mais lucide après son accrochage avec Max Verstappen en fin de Grand Prix d'Espagne. Au micro de Sky Sports F1, le pilote Mercedes n'a pas caché sa stupeur face à la manœuvre du Néerlandais dans la ligne droite principale.

"J'ai été aussi surpris que vous. Ce genre de manœuvre, je l'ai déjà vu dans des jeux de simulateur ou en karting… mais jamais en F1."

Avant d'ajouter : "Au final, je termine quatrième et lui dixième. Je ne sais pas trop ce qui lui est passé par la tête. Sur le moment, ça m'a paru délibéré, donc oui, j'ai été surpris."

Quant à savoir si Verstappen méritait un drapeau noir pour cette action, Russell a préféré rester diplomate : "Ce n'est pas à moi d'en juger. Là, je ne vais pas m'étendre là-dessus, car on a déjà nos propres problèmes à régler. On essaie de faire progresser notre voiture. La Safety Car a tout chamboulé en fin de course. C'est aux commissaires de décider si c'était intentionnel ou non."

Il a néanmoins tenu à souligner l'impact que ce type d'incident pouvait avoir, venant d'un triple champion du monde : "Max est un pilote incroyable, énormément de gens l'admirent. C'est juste dommage de voir ce genre de choses se reproduire. Ça semble totalement inutile et ça ne lui apporte jamais rien de bon."

Plus tard, Russell est revenu sur l'ensemble du week-end et les contradictions du pilotage de Verstappen : "Je suis trop impliqué pour donner un avis au nom des pilotes. C'est comme à Austin l'an dernier : certains des plus beaux dépassements jamais vus, et puis on va à Mexico, et là il se tire une balle dans le pied."

"À Imola encore récemment, il fait l'un des plus beaux gestes de tous les temps… puis il se passe ça. Et ça lui coûte, à lui et à son équipe, énormément de points. Avec Charles, on était à l'agonie sur les deux derniers tours. Il aurait peut-être pu revenir se battre pour le podium. Donc non, je ne vais pas perdre le sommeil pour ça."

"Nous, on a nos propres problèmes. Et c'est de rendre cette voiture plus rapide."

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