Stroll devant Piastri et Verstappen pour la seule séance d’essais libres du #ChineseGP.
Détails sur le Grand Prix de F1 de Mexique 2023
Retour à la saison 2023Mexique | Mexico
FP1 | 27/10/2023 | 20:30 | |
FP2 | 28/10/2023 | 00:00 | |
FP3 | 28/10/2023 | 19:30 | |
Qualifications | 28/10/2023 | 23:00 | |
Course | 29/10/2023 | 21:00 |
FALC (Faits à la con)
Un des circuits les plus courts de la saison, derrière Zandvoort et Monaco, il a cependant la plus longue distance de la pole au premier freinage (811 m).
De par son altitude, le niveau d'oxygène au circuit est à 78 % de celui au niveau de la mer. Il y a un effet sur les moteurs et l'aérodynamique.
Créé en 1821, le drapeau mexicain a son usage régi et encouragé par la loi (Ley Sobre el Escudo, la Bandera y el Himno Nacionales de 1984).
Les données sur le circuit
Infos générales
Premier Grand Prix : 1963
Sens : horaire
Nombre de tours : 71
Nombre de zones DRS : 3
Distances
Longueur du circuit : 4.304 km
Ou encore... 32 119 canettes de 250 mL de Red Bull couchées
Longueur de la course : 305.354 km
Ou encore... 2 278 761 canettes de 250 mL de Red Bull couchées
Virages
Nombre de virages : 17
Nombre de virages à gauche : 7
Nombre de virages à droite : 10
Les stands
Vitesse limite dans les stands : 80 km/h
Distance d'allée des stands sous limiteur de vitesse : 378.00 m
Temps nécessaire pour purger un Drive-Through : 17.00 s
Chronos
Tour en course le plus rapide : 1:17.774 (Valtteri Bottas, 2021)
Tour le plus rapide : 1:14.756 (Daniel Ricciardo, 2018)
Pole position
Côté de la pole position : gauche
Distance de la pole au premier freinage : 811.00 m
Accélérateur et boîte de vitesses
Temps à pleine charge : 43 %
Distance à pleine charge : 59 %
Consommation d'essence : moyenne
Nombre de changements de vitesses en un tour : 50
Données F1 et Mercedes-AMG F1 Team, aucune affiliation ou autre. Ces données étaient valables avant que le Grand Prix de F1 ne se déroule.
Les éléments ont pu évoluer après le week-end de course : changement de tracé, nouveau record et etc.
Les données pneumatiques Pirelli
Pressions minimale de départ des slicks
Avant : 23.5 psi
Arrière : 20.5 psi
Limites de carrossage
Avant : -3.25°
Arrière : -1.75°
Pneumatique et piste
Evolution de la piste (FP1 aux qualifs) : élevée
Abrasion de l'asphalte : 2/5
Résultats du Grand Prix de F1 de Mexique 2023
Pos. | Pilote (Constructeur) | Temps | Pos. grille | Gain/perte pos.* | Vitesse moyenne | Meilleur tour | Points |
---|---|---|---|---|---|---|---|
1 | M.Max VERSTAPPEN (Red Bull) | 2:02:30.814 | 3 | 2 | 189.780 km/h | 1:21.644 (T.40) | 25 |
2 | L.Lewis HAMILTON (Mercedes) | +13.875 | 6 | 4 | 190.503 km/h | 1:21.334 (T.71) | 19 |
3 | C.Charles LECLERC (Ferrari) | +23.124 | 1 | 2 | 188.194 km/h | 1:22.332 (T.38) | 15 |
4 | C.Carlos SAINZ (Ferrari) | +27.154 | 2 | 2 | 187.722 km/h | 1:22.539 (T.57) | 12 |
5 | L.Lando NORRIS (McLaren) | +33.266 | 17 | 12 | 189.085 km/h | 1:21.944 (T.71) | 10 |
6 | G.George RUSSELL (Mercedes) | +41.020 | 8 | 2 | 187.175 km/h | 1:22.780 (T.38) | 8 |
7 | D.Daniel RICCIARDO (AlphaTauri) | +41.570 | 4 | 3 | 187.404 km/h | 1:22.679 (T.66) | 6 |
8 | O.Oscar PIASTRI (McLaren) | +43.104 | 7 | 1 | 187.220 km/h | 1:22.760 (T.53) | 4 |
9 | A.Alexander ALBON (Williams) | +48.573 | 14 | 5 | 187.191 km/h | 1:22.773 (T.65) | 2 |
10 | E.Esteban OCON (Alpine) | +1:02.879 | 15 | 5 | 186.733 km/h | 1:22.976 (T.66) | 1 |
11 | P.Pierre GASLY (Alpine) | +1:06.208 | 11 | 186.163 km/h | 1:23.230 (T.43) | ||
12 | Y.Yuki TSUNODA (AlphaTauri) | +1:18.982 | 18 | 6 | 187.808 km/h | 1:22.501 (T.11) | |
13 | N.Nico HÜLKENBERG (Haas) | +1:20.309 | 12 | 1 | 186.181 km/h | 1:23.222 (T.43) | |
14 | G.Guanyu ZHOU (Alfa Romeo) | +1:21.676 | 10 | 4 | 185.412 km/h | 1:23.567 (T.39) | |
15 | V.Valtteri BOTTAS (Alfa Romeo) | +1:25.597 | 9 | 6 | 186.306 km/h | 1:23.166 (T.43) | |
16 | L.Logan SARGEANT (Williams) | Abandon (T.70) | 19 | 3 | 186.672 km/h | 1:23.003 (T.24) | |
17 | L.Lance STROLL (Aston Martin) | Dégâts dus à un accrochage (T.66) | Stands | 3 | 186.103 km/h | 1:23.257 (T.43) | |
Ab | F.Fernando ALONSO (Aston Martin) | Forfait (T.47) | 13 | 185.492 km/h | 1:23.531 (T.40) | ||
Ab | K.Kevin MAGNUSSEN (Haas) | Accident (T.31) | 16 | 186.351 km/h | 1:23.146 (T.25) | ||
Ab | S.Sergio PÉREZ (Red Bull) | Dégâts dus à un accrochage (T.1) | 5 | N/A | N/A |
Les actus concernant le Grand Prix de F1 de Mexique 2023
Les brefs concernant le Grand Prix de F1 de Mexique 2023
La question posée à Lando Norris concernant sa remarquable cinquième place au Grand Prix du Mexique a suscité une réflexion sur ses performances passées et la progression de sa carrière en Formule 1. Son directeur d'équipe, Andrea Stella, n'a pas tari d'éloges sur la course, la considérant comme l'une des meilleures collaborations avec Norris à ce jour.
Norris s'est ainsi auto-analysé : "C'est toujours délicat de comparer avec les courses où j'ai décroché des podiums. Les deuxièmes ou troisièmes places sont difficiles à égaler. Cependant, si on considère la gestion de la course, et le fait de ne jamais abandonner, surtout après le restart qui m'a vu rétrograder en 14e position, sous cet angle, ce fut probablement l'une de mes meilleures courses."
Et il reste critique face à ses faiblesses : "La vitesse en course n'a jamais été mon point fort, surtout il y a quelques années, donc le fait d'avoir presque converti cela en une de mes forces est un bon signe. Aujourd'hui, il semble que c'est plutôt en qualifications que je doive m'améliorer. J'ai beaucoup apprécié cette course. C'était certainement l'une de mes meilleures performances. Mais la situation était très différente de celle d'Austin, où je partais en tête et tentais de mener et de contrôler la course. Donc, c'était une situation très différente. Une de mes meilleures courses ? Oui, mais c'est compliqué de comparer aux autres."
La capacité d'évaluer ses propres forces et faiblesses démontre une maturité et une intelligence de course qui ne font que présager d'autres grandes performances à venir.
Kevin Magnussen s’est exprimé sur son accident au Mexique qui l’avait secoué , ce qui avait été remarqué lors de la retransmission : "J'ai eu un accident à la suite d'une défaillance de la suspension arrière gauche. Cela s'est produit à un mauvais endroit et j'ai percuté le mur, donc mes mains ont pris un coup et elles me font un peu mal, mais elles vont bien."
Le Danois a complété : "Nous devons enquêter davantage pour savoir exactement ce qui s'est passé car ça a simplement lâché. Avant ça, ça allait plutôt bien, j'étais coincé dans le trafic pendant longtemps et j'ai surchauffé mes pneus, mais je ne sais pas si ce qui a causé la défaillance avait un impact depuis un moment."
Logan Sargeant a été contraint d'abandonner lors du Grand Prix du Mexique en raison d'un problème de pompe à essence.
La décision a été prise de rappeler le rookie américain aux stands plutôt que de le laisser passer la ligne d'arrivée, dans le but de protéger son groupe motopropulseur.
"Nous avons rencontré un problème de pompe à carburant qui nous a contraints à abandonner. Nous avions la bonne quantité de carburant dans la voiture, mais nous ne pouvions pas l'acheminer vers le moteur." a déclaré Logan Sargeant.
Malgré cet incident, le pilote états-unien demeure confiant : "Nous avons fait de notre mieux pour gérer la situation et l'équipe m'a aidé à traverser cette épreuve. C'est décevant de ne pas terminer après avoir tout donné pendant 71 tours, mais il y a de nombreux points positifs à retenir et je suis satisfait de moi-même."
A la porte des points et en embuscade derrière la Haas de Nico Hülkenberg, Esteban Ocon a lâché un message radio qui paraissait plutôt ambitieux, voire pédant.
En effet, à l'assaut de la P10, le Français a dit : "Vous pouvez dire à Haas que j'vais y aller, donc il vaudrait mieux qu'ils soient prêts !"
Sauf que le dépassement n'a pas été immédiat contrairement à cette supposée promesse, ce qui a été relevé pendant cette fin de course.
Mais Esteban Ocon est revenu sur ce message après la course : "Non, ce n'était pas que je l'ai annoncé en fait. Tout le monde a cru que c'était prétentieux et que j'allais l'annoncer. Non, c'était que peu importe la conséquence, j'allais me jeter."
Le pilote Alpine était juste prêt à arracher le dernier point de ce GP mexicain : "Donc j'allais y aller, fallait qu'il laisse la place et c'était surtout pour les prévenir qu'il fallait qu'il laisse la place sinon ça n'allait pas bien se passer. Voilà, bon je suis passé, je suis content parce que tout le monde a cru que c'était en disant : 'Ouais je vais y aller, je vais le doubler' mais c'était pas sûr, ce n'était pas aussi sûr que ça."
Et il est heureux d'avoir pu glaner cette unité pour son compteur de points et celui de son écurie en expliquant que la phrase selon laquelle il ne faut jamais rien lâcher jusqu'à la fin avait ici du sens.
Guenther Steiner, le directeur de l'écurie Haas, parle de l'accident de Kevin Magnussen et apporte une piste sur la raison du décrochage de la monoplace américaine : "Kevin a eu une défaillance de suspension, donc nous devons enquêter sur les raisons de cela, mais il semble que ce soit lié à la chaleur - nous devons vérifier. Nous avons pu lutter pendant presque toute la distance, mais presque n'est pas suffisant."
Dans son accrochage avec lance Stroll, Valtteri Bottas hérite d'une pénalité de 5 secondes imposée après la course et de 2 points de pénalité (total de 2 points sur une période de 12 mois).
"La voiture n°18 [Stroll] a dépassé la voiture n°77 [Bottas] au virage 13, conformément aux directives sur les standards de conduite. Après le virage, la voiture n°77 est sortie large et, en tentant de revenir sur la trajectoire de course, a heurté la voiture n°18 qui était devant elle."
"Les commissaires ont déterminé que le pilote de la voiture n°77 était principalement responsable de la collision. La pénalité standard, cohérente avec d'autres incidents similaires en 2023, est appliquée."
Abandon de Stroll suite à cet accrochage avec Bottas. #MexicoGP #F1 pic.twitter.com/nQszutNlLh
— Au Rupteur (@AuRupteur) October 29, 2023
Pas d'action contre Leclerc pour avoir piloté "avec des dommages visibles avant que des parties de la carrosserie [flap vertical gauche de l'aileron avant] ne se détachent au virage 1".
Le jugement est le suivant : "L'équipe ne s'attendait pas à ce que l'aileron se détache, mais a noté un sérieux détérioration au tour 3, avant que cela ne se produise."
"Les représentants de la FIA ont expliqué que depuis octobre 2022, il est convenu que le détachement d'un aileron et l'endroit où il atterrit ne doivent pas être considérés comme "dangereux"."
"Cette procédure a été confirmée par un e-mail daté d'octobre 2022 et les minutes d'une réunion de la SAC en janvier 2023."
"Par conséquent, le détachement de l'aileron n'est pas considéré comme rendant la voiture "dangereuse" et aucune autre action n'est jugée nécessaire."
Les propos de Max Verstappen après avoir remporté le Grand Prix de Mexico City : "C'est incroyable. Bien sûr, Checo a abandonné au premier tour mais la foule est restée et elle a été fantastique. Incroyable."
"Nous vivons une saison incroyable. Aujourd'hui, nous avons commencé en P3 mais le rythme de la voiture était vraiment, vraiment bon."
"Nous avons essayé d'adopter une stratégie différente de tout le monde, mais malheureusement avec le drapeau rouge, nous n'avons pas pu la montrer. Néanmoins, avec les pneus durs, nous étions très forts."
En interview post-course, Lewis Hamilton était en joie par rapport à son résultat du jour : "Je me sens frais, nous n'avions pas à pousser comme des fous sur la piste. Mais c'est un excellent résultat considérant que nous avons commencé en sixième position."
"Vraiment fier de l'équipe [Mercedes]. Ce sont deux semaines vraiment difficiles et rebondir après un week-end difficile la semaine dernière avec le résultat final [disqualification après une P2], c'est vraiment bien réalisé."
Et concernant le choix de terminer la course avec des pneus medium (face aux pneus durs de Verstappen mais surtout Leclerc) après le redémarrage en milieu de course, Hamilton a dit à Button qui l'interviewait :
"Je ne pensais pas qu'ils allaient tenir. J'ai fait preuve de beaucoup de finesse - j'essayais de conduire comme toi !"
Leclerc sur sa course : "Nous avons maximisé notre course. [...] Nous avons eu quelques difficultés avec les pneus durs après le redémarrage. Lewis était vraiment rapide sur les mediums et ils ont réussi à avoir une très bonne dégradation."
Toto Wolff, directeur de l'écurie Mercedes, au micro de Sky Sports F1 : "Le sourire sur notre visage est dû à la force de la voiture. Une fois que Lewis a eu de l'air libre, nous avions une grande marge avec les pneus mediums. Les temps au tour étaient bons et le meilleur tour à la fin."
"Cela fait quelques week-ends maintenant où nous disons que nous 'aurions pu' mais ne l'avons pas fait. Je pense que nous devons mieux nous qualifier. Probablement qu'avec notre vitesse en ligne droite, nous n'aurions pas été aussi compétitifs face à Max, mais qui sait, le rythme est là."
"C'était un pilotage brillant, brillant de la part de Lewis. Nous avons ces oscillations de performance et nous ne savons pas vraiment parfois si les pneus adhèrent."
"Juste quelques degrés de température de piste et vous sortez de la fenêtre optimale."
Lando Norris à Sky Sports F1 après avoir terminé cinquième au Grand Prix de Mexico City : "Nous n'avons pas bien géré le redémarrage. Nous avons eu quelques difficultés avec les températures de l'unité de puissance, donc je n'ai pas pu mettre les pneus et autres dans la fenêtre optimale pour le redémarrage. J'ai un peu payé le prix."
"Ensuite, j'ai dû éviter quelques incidents et ralentir dans la ligne droite. Après ça, je suis resté calme, j'ai mis les pneus dans une bonne fenêtre et j'ai continué."
"C'était agréable, je ne pensais pas revenir en P5, donc c'est encourageant pour la performance de la voiture."
"Le rythme était très fort. J'étais loin de ma position initiale. Passer aux pneus durs et gagner sept ou huit places était agréable."
"La voiture de sécurité et le drapeau rouge ont presque joué en ma faveur parce que j'ai pu ensuite passer aux pneus mediums."
"J'ai bien géré les dépassements et les ai mis dans des positions inconfortables, réussissant à les dépasser rapidement. L'essentiel était de rester hors de problème et tout s'est bien passé."
"J'aurais aimé être plus haut [sur la grille] et je pense que j'aurais pu prétendre à un trophée."
Lewis Hamilton au micro de Sky Sports F1 après avoir terminé deuxième au Grand Prix de Mexico City en partant de la sixième position sur la grille : "Honnêtement, je ne m'attendais pas à ça aujourd'hui."
"C'est toujours un sentiment formidable lorsque vous avancez pas à pas."
"Le week-end avait été vraiment difficile comparé à la dernière course où nous avions démarré en trombe. Ce week-end, je creusais vraiment pour essayer de régler la voiture correctement et je pense que nous avons fait un excellent travail. Les qualifications ont été un peu compliquées et être loin derrière les Ferrari, il faut finir devant eux pour maintenir la position dans le classement des constructeurs, c'était donc mon objectif aujourd'hui."
"Avoir progressé si bien pendant la première phase de la course et être en lice pour un podium puis une deuxième place, c'est incroyable. Je suis vraiment content de la course."
Que peut-il tirer de cette performance ? "Je suis incroyablement fier de mon équipe et, comme je l'ai dit à la fin de la course, j'ai une foi totale en l'équipe."
"Nous pouvons construire une excellente voiture. Nous ne l'avons pas fait ces deux dernières années, mais nous pouvons construire une excellente voiture. Il y a beaucoup d'ingénieurs qui... personne ne veut copier qui que ce soit, ils veulent trouver leur propre voie. Je pense que nous progressons mais j'ai entendu dire que Red Bull progresse également."
"Nous devons être vraiment, vraiment stratégiques et vraiment précis dans nos mouvements. Ils le savent déjà, mais pour que nous puissions affronter ces gars-là."
"Ils sont si rapides en ligne droite, nous perdions deux dixièmes et demi dans le premier virage, mais je suis prêt. Si nous pouvons avoir une voiture qui peut les égaler, nous allons avoir de belles batailles l'année prochaine."
Daniel RIcciardo au micro de la Sky après son GP du Mexique qu'il a terminé dans les points : "Beaucoup d'émotions. Soulagé aussi. Deux départs sur cette piste... on retient son souffle parce que c'est une longue course jusqu'au premier virage."
"Le premier départ, nous avons commencé quatrièmes et nous avons terminé quatrièmes, donc j'étais plutôt content, surtout quand on sait qu'on a un peu plus de traînée que les autres."
"Le deuxième. Quand j'ai vu le drapeau rouge, je savais que cela allait probablement nuire à notre course. Nous étions cinquièmes et aurions potentiellement pu finir là."
"Puis, en commençant avec les pneus durs alors que d'autres voitures étaient en mediums... ne perdre qu'une seule place, c'est presque le meilleur scénario possible."
"Se battre contre une Mercedes à la fin, c'est un grand week-end pour nous. Je suis heureux-triste.
"En somme, c'est un bon week-end. Après le week-end dernier, c'était le week-end dont je rêvais et nous l'avons eu."
EN interview post-course, Leclerc relève les huées mais explique qu’il était pris en sandwich entre les Red Bull et qu’il n’avait nul part où aller.
"Beaucoup de huées. Les gars, je n'avais nulle part où aller. J'étais un peu coincé entre les Red Bulls et malheureusement, j'ai touché Checo. C'est la vie. J'ai endommagé ma voiture et malheureusement cela a mis fin à la course de Checo."
Il dit que sortir Pérez était forcément involontaire et qu’il est désolé : "Bien sûr, je suis déçu de terminer la course de Checo comme ça, mais je ne l'ai vraiment pas fait exprès et je n'avais nulle part où aller."
On attend également le résultat de l’enquête post-course pour avoir rouler avec un bout d’aileron avant pendant.
Pérez sur le virage 1 et son accrochage avec la Ferrari numéro 16 : il a pris un risque et ça n’a pas marché.
Selon lui, il était devant Charles Leclerc mais il ne pensait pas que le Monégasque freinerait aussi tard parce que la Ferrari manquait de place.
Il dit qu’il doit aller de l’avant et considère que c’est triste de terminer son GP ainsi, la pire des choses qu’il pouvait lui arriver.
Les pneus à disposition des pilotes pour le Grand Prix du Mexique.
Logan Sargeant, suite au non-respect d’un drapeau jaune au virage 3, perd 10 places sur la grille (il était P20 et sans temps…) et se prend 2 points de pénalité (soit un total de 6 sur une période de 12 mois).
Le pilote a déclaré avoir dépassé la voiture 22 (Tsunoda) car elle semblait ralentir et il avait vu un panneau vert devant lui. Cependant, les commissaires ont déterminé que le simple fait de voir un panneau vert ne signifie pas qu’il est autorisé à dépasser dans une zone sous drapeau jaune. Le dépassement ne peut se faire qu’après avoir dépassé le panneau ou le drapeau vert. De plus, il n’a pas suffisamment réduit sa vitesse.
Charles Leclerc s'exprimant après avoir décroché la pole position pour le Grand Prix de Mexico : "Deux week-ends consécutifs où nous ne nous attendions pas à cela. Je ne m'attendais pas à être en pole position aujourd'hui. Nous pensions avoir un certain retard après les essais libres 3."
"Mais pour une raison quelconque, une fois que nous avons tout mis en place, ça s'est bien passé, et avec les pneus neufs, nous avons beaucoup gagné."
"Je me concentre déjà sur la course de demain, car nous avons décroché de nombreuses pole positions, mais nous devons les convertir en victoires, et cela va être très difficile."
"Nous allons simplement nous concentrer sur nous-mêmes. Nous avons eu un bon rythme tout le week-end. Je ne suis pas sûr que ce soit suffisant pour rivaliser pour la victoire, mais nous allons tout faire en notre pouvoir pour l'obtenir."
Carlos Sainz s'exprimant après s'être qualifié deuxième pour compléter une première ligne entièrement Ferrari lors du Grand Prix de Mexico : "Honnêtement, c'était très étrange."
"J'ai eu du mal tout le week-end à réaliser un tour parfait, et le premier tour que j'ai réussi à faire était en première position à ce moment-là, puis Charles m'a battu d'un demi-dixième, d'un dixième."
"J'ai du mal à comprendre d'où soudainement nous pouvons trouver une demi-seconde et ensuite perdre une demi-seconde au tour suivant."
"C'est très compliqué avec les pneus, le ressenti avec la voiture est très étrange sur ce circuit. Mais nous avons réussi à faire un bon tour quand cela comptait, et cela nous place dans une bonne position pour demain."
Peuvent-ils répéter cela en course et garder Verstappen derrière selon lui ? "Nous ne sommes clairement pas aussi performants en charge de carburant élevée qu'en charge de carburant faible."
"Je pense que notre voiture bénéficie beaucoup de cette nouvelle sensation de pneus, de la sensation de pneus tendres à l'arrière, et nous allons voir comment nous allons faire demain pour maintenir ces pneus en vie et garder cette Red Bull derrière."
"Avoir deux voitures devant est un bel avantage, donc nous allons faire de notre mieux."
Max Verstappen s'exprimant après s'être qualifié troisième pour le Grand Prix de Mexico : "Il y a très peu d'adhérence ici, donc lorsque vous essayez de pousser un peu plus, la voiture a tendance à partir en dérapage, et c'est ce qui s'est passé un peu en Q3 où nous n'avons tout simplement pas réussi à tout mettre en place, en particulier dans le dernier secteur où nous avons eu plus de difficultés que je l'aurais souhaité."
"Néanmoins, c'était toujours serré, et c'est une course longue. Beaucoup de tours à parcourir, et c'est là que l'on marque des points."
"Je suis confiant pour demain. Bien sûr, j'aimerais partir en pole position, mais nous aurons une bonne aspiration jusqu'au virage 1 !"
Le directeur de l'équipe Ferrari, Frederic Vasseur, s'exprimant sur Sky Sports F1 : "J'étais étrangement assez optimiste après les essais libres 3, car lorsque nous avons dû interrompre les tours, nous avions un bon rythme auparavant, mais nous ne savions pas comment nous nous en sortirions dans le Secteur 3."
"C'est principalement une question de pneus. Si vous démarrez trop fort au début du tour, vous épuisez les pneus arrière à la fin. C'est une question d'équilibre."
"Je pense que l'avantage de deux jeux de pneus neufs à la fin était qu'ils ont pu affiner leur pilotage et la manière dont ils ont poussé dans la première partie du tour."
"Sur les longs relais, nous nous sommes principalement concentrés sur le refroidissement. Tout le monde sera focalisé sur les freins et le moteur demain."
Toto Wolff, le directeur de l'équipe Mercedes, s'exprimant sur Sky Sports F1 : "Ce que vous voyez, ce sont des marges si minces. Les Ferrari sont apparues de nulle part."
"Tout se joue dans la réalisation des tours de sortie. Deux ou trois secondes de plus ou de moins, et soudainement vous avez un temps au tour décent."
"C'est presque incalculable. Les pneus sont si fragiles, et ceux qui les amènent à leur point optimal sont tout simplement rapides."
"Les Ferrari ont fait un bond énorme de la Q2 à la Q3. Les deux ont eu un fantastique premier secteur parce qu'ils ont réussi leurs tours de sortie."
"Nous étions peut-être un tout petit peu trop lents, un peu trop froids, c'est pourquoi les temps ne se sont pas alignés. Mais nous parlons de marges très fines, c'est une question de deux dixièmes."
Lewis Hamilton s'adressant à Sky Sports F1 après s'être qualifié sixième au Mexique : "J'ai éprouvé des difficultés tout le week-end avec la voiture. La voiture a été un peu cauchemardesque à conduire. Elle n'apprécie tout simplement pas ce circuit.
"Nous avons apporté de bons changements avant les qualifications. J'étais beaucoup plus heureux avec la voiture. J'aurais aimé que nous l'ayons fait ce matin."
"Les Q1 et Q2 ne semblaient pas trop mal se passer. En Q2, le deuxième tour était génial, mais la voiture est vraiment capricieuse - parfois ça fonctionne, parfois non, et je n'ai tout simplement pas pu en tirer beaucoup plus."
"Dans un monde parfait, j'aurais pu être cinquième, mais c'est tout ce que je pouvais faire."
Quant à ce qu'il peut faire dans le Grand Prix :
"Ce sera un vrai défi avec cette voiture demain. Les freins surchauffent, ça va être difficile pour nous de nous battre."
"Je ne sais pas quel genre de course ils vont avoir, mais ça va être sur le fil du rasoir."
Sergio Pérez, pilote talentueux de Formule 1, est au cœur de nombreuses discussions ces derniers temps, notamment en ce qui concerne sa relation avec son coéquipier Max Verstappen et sa position au sein de l’écurie Red Bull. Récemment, Antonio Pérez, le père de Sergio et homme politique, a pris la parole pour clarifier certains points.
Contrairement aux rumeurs qui circulent, Antonio assure que la relation entre son fils et Verstappen est l’une des meilleures qu’il ait jamais eues avec un coéquipier. Pour lui, c’est même "le meilleur rapport à un coéquipier que Checo ait jamais eu dans sa carrière en Formule 1". Une affirmation forte qui dément toute idée de rivalité malveillante au sein de l’équipe.
Antonio Perez est même allé plus loin en prédisant que Sergio et Max continueraient à courir ensemble pendant encore une décennie. Il espère même que son fils remportera un championnat du monde pendant cette période. Antonio est manifestement fier de voir son fils rivaliser avec celui qu’il considère comme le meilleur pilote du monde actuellement, Max Verstappen.
Cependant, le futur de Checo chez Red Bull reste incertain. Son contrat actuel se termine en 2024, et des rumeurs ont suggéré qu’il pourrait être libéré plus tôt. Jusqu’à présent, ces rumeurs n’ont pas été confirmées.
Une autre source de controverse concerne la relation entre Sergio et Helmut Marko, consultant en sport automobile pour Red Bull. Après une déclaration de Marko qui a été interprétée comme raciste par certains, il a été critiqué, notamment au Mexique. Cependant, Antonio Perez défend fermement Marko, le qualifiant de "meilleur promoteur que Checo aurait pu avoir". Il admire la mentalité de gagnant de Marko et son soutien indéfectible envers Sergio.
Enfin, malgré les mesures de sécurité prises par Red Bull pour protéger Verstappen et Marko des fans passionnés de Perez au Mexique, Antonio estime que ces précautions étaient inutiles. Il est convaincu que les Mexicains respectent profondément Marko et la famille Verstappen.
Isack Hadjar a pu faire ses débuts en F1, au volant d’une AlphaTauri lors de la première séance d’essais libres du Grand Prix du Mexique.
Jonathan Eddolls, responsable de l'ingénierie piste d'AlphaTauri, est revenu sur la FP1 d’Isack :
"Nous avons eu Isack au volant de la voiture de Yuki lors de la FP1 aujourd’hui, et il a très bien travaillé avec l’équipe. Avec un niveau d’appui aérodynamique similaire à celui de Monza et une piste encore verte au départ, ce n’est certainement pas un circuit simple pour un pilote débutant lors d’une séance d’essais libres, mais Isack a fait tout ce que nous lui avons demandé. Il a recueilli des données aérodynamiques utiles et a réalisé des temps au tour compétitifs."
Le Français avait donc la voiture de Tsunoda, ornée du numéro 41 pour ce roulage rookie. Lors des 25 tours qu’il a effectué, I l a pu réaliser un meilleur tour de 1:21.941 le classant 17e de la séance.
Isack s’est exprimé suite à sa première fois en F1 : "C’est le plus beau jour de ma vie ! [ce qu’il a d’ailleurs dit à la radio dans la voiture] Ma première expérience dans une voiture de F1 était incroyable, donc je suis heureux. Il y avait tellement de choses à gérer entre les procédures et le trafic que c’était accablant au début. C’était difficile, mais j’ai rapidement trouvé mon rythme et ma confiance a augmenté. Pendant mes premiers tours, j’ai eu du mal à réaliser un tour sans trafic, mais lors du dernier run, le rythme de course était assez bon et constant, et j’ai pu gérer les pneus tendres pendant quelques tours. Ce fut une très bonne expérience et maintenant, j’ai hâte de retourner dans la voiture."
Franz Tost a fait remarquer, sur le ton de l’humour, qu’il espérait que cette journée ne serait pas la meilleure de la vie d’Isack Hadjar. "Je souhaite qu’il remporte des courses et des championnats. Il ne faut pas que ce soit le jour le plus mémorable de sa vie. Il a effectué un travail remarquable, je dois l’admettre. Il a vraiment réussi à nous impressionner. Il était serein dès sa sortie."
Concernant l’avenir de Hadjar en Formule 1, Tost est très optimiste. AlphaTauri a mis le jeune pilote de la filière Red Bull à l’épreuve dès sa première sortie. "Il était posé dès qu’il a pris la piste. Il a essayé trois types de pneus différents : le prototype, le moyen et le tendre. Avec toutes ces différentes gommes, je dois dire qu’il a vraiment bien travaillé. Son retour technique était également assez pertinent, car il correspondait très étroitement aux données que nous avons. Nous sommes vraiment impressionnés et je pense qu’il fera bientôt partie de la Formule 1 de manière permanente."
Récapitulatif des nouvelles pièces amenée à Mexico un peu chiche puisque la très grande majorité concerne des impératifs de refroidissement sur le circuit en haute altitude mexicain.
Seule Alfa Romeo semble avoir amené une pièce ayant un lien avec ses derniers développements. Le conduit de frein arrière tout neuf conditionne l'écoulement pour améliorer la performance et fonctionne de concert avec le plancher introduit à Austin pour améliorer l'efficacité aérodynamique de la voiture et générer de la portance.
Checo Pérez portera un casque spécialement décoré pour son Grand Prix à domicile.
La victoire est revenue à Karla Lozano, une jeune femme de 22 ans originaire de San Nicolás de los Garza, Nuevo Leon, Mexique, qui a présenté un design coloré spectaculaire, mettant en avant des symboles et des représentations du Mexique ; un design qui rassemble l'histoire du pays, l'art et célèbre sa culture riche.
La principale inspiration de Karla derrière ce design étaient les alebrijes : des sculptures d'art populaire mexicain aux couleurs vives qui représentent la beauté, le mystère et la magie du pays.
Parmi elles, on retrouve des grecas et des symboles zapotèques, chacun ayant une signification, telle que la protection, le bonheur et le travail. Le sommet du casque arbore un Xoloitzcuintle au centre du design : un symbole culturellement important au Mexique.
Juste au-dessous, on peut lire la devise signature de Checo, "Never Give Up", juste en dessous de son numéro 11.
Isack Hadjar s’est exprimé avant son week-end mexicain au volant de l’AlphaTauri lors de la première séance d’essais libres : "Je suis extrêmement enthousiaste à l'idée de piloter en FP1, mais en même temps, je suis un peu appréhensif, car je n'ai jamais conduit une voiture de Formule 1."
"Le faire pour la première fois lors d'une séance d'essais officielle d'un Grand Prix est quelque chose d'assez exceptionnel. L'équipe ne m'a fixé aucun objectif, donc je ne ressens aucune pression particulière, et je pense être aussi bien préparé que possible."
"Après la blessure de Daniel et l'arrivée de Liam, j'ai fait beaucoup plus de travail dans le simulateur pour aider les pilotes de course à se préparer, donc j'ai une bonne compréhension de tous les contrôles dans le cockpit. J'ai passé du temps à Faenza pour faire connaissance avec l'équipe, et l'ingénieur qui travaillera avec moi en FP1 était également avec moi au simulateur, donc nous nous connaissons déjà. L'altitude au Mexique signifie que c'est un circuit inhabituel à conduire avec moins d'appui que d'habitude, mais je suis impatient de monter dans la voiture et de faire de mon mieux pour l'équipe."
"Depuis mes débuts en karting en tant que jeune enfant, j'ai rêvé de faire partie de la Formule 1, et je tiens à remercier Scuderia AlphaTauri et Red Bull de m'avoir donné cette formidable opportunité."
Mario Isola, responsable de Pirelli Motorsport :
"La deuxième étape de la tournée américaine de la Formule 1 a lieu à Mexico, sur le circuit nommé d’après Pedro et Ricardo Rodriguez : les frères qui étaient les héros locaux du sport automobile pendant les années 1960 et 1970. Le circuit, situé à l’ouest de la ville, mesure un peu plus de quatre kilomètres avec 17 virages et se trouve à une altitude de plus de 2000 mètres. Cela a un effet important sur les performances des voitures, l’air raréfié réduisant la traînée et également l’appui aérodynamique. En conséquence, les réglages aérodynamiques sur les voitures sont similaires à ceux utilisés sur les circuits à fort appui aérodynamique – mais avec un effet beaucoup plus réduit sur les pneus. L’adhérence de l’asphalte est également bien moindre que la moyenne, car la rugosité de la surface est parmi les plus basses du calendrier entier.
Cette année, nous avons décidé d’apporter les trois composés les plus tendres au Mexique – C3, C4 et C5 – après une réflexion soignée basée sur les informations de l’année dernière, ainsi que sur les simulations que les équipes nous ont comme toujours fournies. Cela devrait conduire à une plus grande variété de choix de stratégie tout au long de la course, ouvrant également la porte à une stratégie à deux arrêts. L’année dernière, lorsque les composés choisis étaient C2, C3 et C4, presque tous les pilotes ne se sont arrêtés qu’une seule fois, utilisant principalement des pneus tendres et médiums.
Le Mexique nous donne également la chance de tester une nouvelle variante du C4 avec toutes les équipes. Pendant les deux heures d’essais libres du vendredi, chaque pilote aura deux jeux de ces nouveaux prototypes à utiliser comme il le souhaite. Une fois que nous aurons analysé toutes les données, nous déciderons alors d’homologuer ou non cette version pour utilisation en 2024."
La maison de luxe TANE México 1942 a à nouveau conçu le trophée pour le Grand Prix du Mexique.
La version 2023 représentant les ailes de l'aigle royal est réalisée à la main en argent .925 et montée sur une base de quartz vert appelé aventurine.
Deux tailles seront distribuées, pour la première place (pilote et constructeur) c'est 60 x 15 x 11 centimètres, tandis que pour la deuxième et la troisième place, c'est 47 x 13 x 9 centimètres.
Oliver Bearman, de la Ferrari Driver Academy et quadruple vainqueur en FIA Formule 2 en 2023, fera ses débuts en Formule 1 avec l'écurie MoneyGram Haas F1 Team.
Il pilotera la VF-23 lors des séances de FP1 du Grand Prix du Mexique le vendredi 27 octobre, et du Grand Prix d'Abou Dhabi le vendredi 24 novembre, conformément à la règle mandatant chaque écurie de F1 à allouer deux séances de FP1 à un pilote novice - défini comme un pilote ayant participé à deux Grands Prix au maximum.
Bearman rejoindra l'écurie MoneyGram Haas F1 Team dès le Grand Prix du Qatar ce week-end, en préparation de ses sorties en séances d'essais programmées.
La sélection la plus tendre de gommes, C3, C4 et C5, a été retenue pour l'Autódromo Hermanos Rodríguez.
C'est un cran plus tendre que l'an dernier.
Une nouvelle version du C4 sera testée pendant les essais libres, dans la perspective de la saison 2024.
Ce test sera effectué selon la même méthode que celle employée le vendredi à Suzuka, où une nouvelle mouture du C2 avait été expérimentée. Chaque équipe se verra attribuer deux jeux supplémentaires de ce composé expérimental par pilote, qu'ils pourront utiliser à leur discrétion au cours des deux heures d'essais libres prévues pour le vendredi.
Après le test pour 2024 d'une nouvelle version de la gomme C2 au Japon, c'est un C4 révisé qui sera essayé par les pilotes de F1 sur l'Autódromo Hermanos Rodríguez.
Frederik Vesti sera au volant de la Mercedes W14 lors de la FP1 du Grand Prix du Mexique.