Fortnite accueille des skins F1 dès le 21 novembre

Epic Games ajoute la Formule 1 à Fortnite avec une collection officielle de skins disponible dans la boutique le 21 novembre à 01h00, heure française.

Cette arrivée marque la première collaboration directement affiliée au championnat,…
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Il y a 19 h
Qatar : Pirelli impose une limite de 25 tours par train de pneus

Pirelli introduit pour le Grand Prix du Qatar une limite maximale de 25 tours par train de pneus sur l'ensemble du week-end. La mesure, validée avec la FIA et la Formule 1 puis formalisée dans le document technique envoyé aux équipes,…
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Il y a 1 h

Détails sur le Grand Prix de F1 de Singapour 2025

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 Singapour | Marina Bay

Pneus
C3
C4
C5
Singapour
Course 18/24
FP1 03/10/2025 11:30
FP2 03/10/2025 15:00
FP3 04/10/2025 11:30
Qualifications 04/10/2025 15:00
Course 05/10/2025 14:00

 FALC (Faits à la con)

1500 : le nombre approximatif de projecteurs utilisés pour éclairer le circuit pendant la course.
2008 : l'année de la première course de F1 à Singapour, également le premier Grand Prix nocturne de l'histoire de la F1.

Mieux que Weight Watchers : 3 kilogrammes perdus par les pilotes pendant cette course qui est chaude, extrêmement humide et exigeante physiquement.

 Les données sur le circuit

 Infos générales

Premier Grand Prix : 2008
Sens : antihoraire
Nombre de tours : 62
Nombre de zones DRS : 4

 Distances

Longueur du circuit : 4.940 km

Ou encore... 36 866 canettes de 250 mL de Red Bull couchées

Longueur de la course : 306.143 km

Ou encore... 2 284 649 canettes de 250 mL de Red Bull couchées

 Virages

Nombre de virages : 19
Nombre de virages à gauche : 12
Nombre de virages à droite : 7

 Les stands

Vitesse limite dans les stands : 80 km/h
Distance d'allée des stands sous limiteur de vitesse : 402.00 m
Temps nécessaire pour purger un Drive-Through : 25.00 s

 Chronos

Tour en course le plus rapide : 1:35.867 (Lewis Hamilton, 2023)
Tour le plus rapide : 1:30.984 (Carlos Sainz, 2023)

 Pole position

Côté de la pole position : droit
Distance de la pole au premier freinage : 177.00 m

 Accélérateur et boîte de vitesses

Temps à pleine charge : 54 %
Distance à pleine charge : 66 %
Consommation d'essence : élevée
Nombre de changements de vitesses en un tour : 58

Données F1 et Mercedes-AMG F1 Team, aucune affiliation ou autre. Ces données étaient valables avant que le Grand Prix de F1 ne se déroule.
Les éléments ont pu évoluer après le week-end de course : changement de tracé, nouveau record et etc.

 Les données pneumatiques Pirelli

 Pressions minimale de départ des slicks

Avant : 22.0 psi
Arrière : 20.0 psi

 Limites de carrossage

Avant : -3.25°
Arrière : -2.00°

 Pneumatique et piste

Evolution de la piste (FP1 aux qualifs) : élevée
Abrasion de l'asphalte : 3/5

 Résultats du Grand Prix de F1 de Singapour 2025

Pos. Pilote (Constructeur) Temps Pos. grille Gain/perte pos.* Meilleur tour Points
1 G.George RUSSELL (Mercedes) 1:40:22.367 1   1:35.676 (T.27) 25
2 M.Max VERSTAPPEN (Red Bull) +5.430 2   1:35.649 (T.30) 18
3 L.Lando NORRIS (McLaren) +6.066 5   2 1:35.555 (T.36) 15
4 O.Oscar PIASTRI (McLaren) +8.146 3   1 1:35.408 (T.31) 12
5 A.Andrea Kimi ANTONELLI (Mercedes) +33.681 4   1 1:35.303 (T.27) 10
6 C.Charles LECLERC (Ferrari) +45.996 7   1 1:35.983 (T.41) 8
7 F.Fernando ALONSO (Aston Martin) +1:20.667 10   3 1:35.862 (T.52) 6
8 L.Lewis HAMILTON (Ferrari) +1:25.251 6   2 1:33.808 (T.48) 4
9 O.Oliver BEARMAN (Haas) +1:33.527 9   1:36.201 (T.56) 2
10 C.Carlos SAINZ (Williams) (T.61) 18   8 1:34.963 (T.61) 1
11 I.Isack HADJAR (Racing Bulls) (T.61) 8   3 1:36.938 (T.54)
12 Y.Yuki TSUNODA (Red Bull) (T.61) 13   1 1:36.831 (T.45)
13 L.Lance STROLL (Aston Martin) (T.61) 15   2 1:35.851 (T.60)
14 A.Alexander ALBON (Williams) (T.61) 20   6 1:35.648 (T.60)
15 L.Liam LAWSON (Racing Bulls) (T.61) 12   3 1:35.641 (T.61)
16 F.Franco COLAPINTO (Alpine) (T.61) 16   1:37.182 (T.17)
17 G.Gabriel BORTOLETO (Sauber) (T.61) 14   3 1:37.126 (T.16)
18 E.Esteban OCON (Haas) (T.61) 17   1 1:36.646 (T.32)
19 P.Pierre GASLY (Alpine) (T.61) 19   1:34.573 (T.53)
20 N.Nico HÜLKENBERG (Sauber) (T.61) 11   9 1:35.404 (T.47)

Les actus concernant le Grand Prix de F1 de Singapour 2025

Les brefs concernant le Grand Prix de F1 de Singapour 2025 (35)

Lando NORRIS | McLaren
FIA

Interrogé en conférence de presse après sa troisième place à Singapour, Lando Norris a dû s'expliquer longuement sur l'accrochage du premier tour qui l'a vu toucher d'abord la Red Bull de Max Verstappen, puis son coéquipier Oscar Piastri.

"Je n'ai toujours pas vu les images. Je dois aller les regarder. Peut-être que je verrai qu'il y avait autre chose à faire ou à mieux faire. Mais n'importe qui sur la grille aurait fait exactement la même chose que moi."

"Donc si on me reproche simplement d'être allé à l'intérieur et d'avoir placé ma voiture dans une ouverture, alors oui, je pense que vous ne devriez pas être en Formule 1."

"Donc, vous savez, je ne pense pas avoir fait quoi que ce soit de mal. Bien sûr, j'ai un peu mal jugé à quel point j'étais proche de Max, mais c'est ça, la course."

"Rien d'autre ne s'est passé, et je suis sûr que j'aurais de toute façon fini devant Oscar, car j'étais à l'intérieur et lui aurait eu le mauvais côté de la piste à l'extérieur."

"Donc oui, je dois bien sûr revoir ça. Je dois regarder et voir s'il y avait quelque chose que j'aurais pu mieux faire. La dernière chose que je veux, c'est toucher mon coéquipier, surtout parce qu'après je n'ai droit qu'à vos questions."

"Donc, vous savez, je suis celui qui ne peut pas se permettre ce genre de choses par rapport à lui. Je me mettrais moi-même en danger si cela se produisait."

"Donc oui, je verrai ce que je peux faire la prochaine fois. Mais la FIA a manifestement jugé que c'était correct, et l'équipe aussi. Donc voilà."

L'analyse de ses propos met toutefois en lumière une certaine contradiction. Norris affirme "je ne pense pas avoir fait quoi que ce soit de mal" tout en concédant immédiatement après "j'ai un peu mal jugé à quel point j'étais proche de Max". Ce paradoxe illustre bien la ligne de défense du Britannique : minimiser la faute tout en admettant implicitement une erreur d'appréciation. Pouvons-nous lui jeter la pierre dans un milieu compétitif où les décisions se prennent à la milliseconde et où les conditions d'adhérence ne sont pas inscrites, immuables et constantes, dans un réglage de jeu vidéo ?

Enfin, le discours de Norris sur la "grande ouverture" qu'il a voulu exploiter a fait réagir sur les réseaux sociaux. Comme l'a relevé un observateur : réussir à toucher deux voitures en trois secondes relativise cette justification. Cette ironie met en exergue la perception extérieure d'une manœuvre plus brouillonne qu'il ne veut bien l'admettre.

Ceci dit, Norris faisait remarquer il y a quelques temps que quoiqu'il fasse, les gens n'étaient pas contents. Il attaque ? "C'est trop aggressif". Il n'attaque pas ? "Il n'est pas assez mordant". L'opinion publique s'embrase mais ce qui est sûrement à tirer de cette action n'est pas tant le fait de course, puisqu'il ne s'agit finalement d'un fait de course, mais plutôt la gestion perceptible (mauvaise ?) par McLaren de deux pilotes en route avec un possible premier titre de champion du monde.

L'équité, en revanche, semble avoir vacillé. Sans être dans l'intimité de l'écurie pour entendre les consignes exactes, la perception extérieure laisse croire qu'un favori a peut-être été désigné, malgré les assurances répétées de Stella et Brown affirmant qu'aucune préférence n'existe. Le fameux "let them race" reste affiché comme principe, mais il paraît n'être appliqué pleinement que si Piastri ne met pas en cause Norris ou que l'écurie ne pénalise pas Norris par rapport à Piastri. Lorsque la situation s'inverse, le traitement n'apparaît pas équitable, observation qui — je l'avoue — fait débat selon les sensibilités de chacun.

Cette impression n'est pas isolée : plusieurs observateurs listent déjà les épisodes récents où les "Papaya rules" auraient tourné à l'avantage de Norris — consignes de maintenir la position au Japon ou en Autriche, absence de sanction pour un quasi-contact en interne, stratégie plus favorable dans certaines courses, et désormais un deuxième contact avec Piastri qui n'entraîne aucune conséquence pour lui. Du côté de l'Australien, ce ressenti alimente un discours de "traitement inéquitable".

À l'inverse, d'autres estiment que Piastri dramatise : son irritation à Singapour découlerait aussi d'un enchaînement frustrant — un week-end moyen à Bakou ( de son fait), un départ raté à Marina Bay (bis) — qui le rend plus sensible à la moindre anicroche. Comme le soulignait un fan de l'Australien, "sa réaction est moins liée à l'incident en lui-même qu'à une accumulation de petits signes de favoritisme perçu".

A chacun sa perception des choses mais, surtout, à McLaren d'affirmer une bonne fois pour toute qu'elle a fait un choix pour désigner qui sera son champion.

Lando NORRIS | McLaren

Troisième du Grand Prix de Singapour, Lando Norris est revenu sur un premier tour marqué par un double contact, d'abord avec Max Verstappen, puis avec son coéquipier Oscar Piastri, qui n'a pas caché son agacement.

"C'était glissant. Il y avait encore beaucoup d'endroits humides. Mais c'est la course. Je me suis placé à l'intérieur, j'ai dû corriger un peu, mais rien de plus. C'était du bon pilotage."

Affaibli par un état de santé fragile tout le week-end, Norris s'est néanmoins montré satisfait de sa prestation : "Pas trop mal. Je pourrais repartir ! C'était une course difficile. Max n'a pas fait d'erreur. Que je me sente bien ou non, j'ai tout donné aujourd'hui et je me suis rapproché."

"Quelques opportunités où nous étions côte à côte et de belles petites bagarres, mais c'était trop difficile de dépasser car le rythme était très fort aujourd'hui. J'aurais aimé pouvoir tenter d'aller chercher George et lui mettre un peu plus de pression."

"Mais je suis content de ma course. J'ai gagné deux positions, nous avons de nouveau remporté le titre constructeurs en équipe, donc je suis très heureux pour ça."

Dans la salle de repos (cooldown room), Norris a plaisanté avec Verstappen à propos d'un contact tardif : "J'ai essayé de te crever l'arrière gauche avec ce petit [contact]…"

Max VERSTAPPEN | Red Bull

Deuxième à l'arrivée du Grand Prix de Singapour, Max Verstappen a reconnu que la course avait été plus compliquée qu'espéré, malgré une stratégie différente au départ et une gestion solide des pneus.

"La piste venait à peine de sécher et, en partant du côté sale de la grille, nous avons choisi de tenter quelque chose de différent car normalement, si vous passez le premier virage, vous y restez, sauf événement fou."

Le Néerlandais a ensuite détaillé son premier relais : "Nous avons essayé. Cela n'a pas vraiment fonctionné, donc le premier relais consistait surtout à survivre avec les pneus, en essayant d'aller assez loin pour ensuite chausser les pneus durs."

Mais la suite de la course s'est avérée loin d'être idéale pour Red Bull : "Je pense que cela a fonctionné, mais malheureusement l'ensemble de la course a été assez difficile, plus difficile que ce que j'espérais, pour de nombreuses raisons. Il y a plusieurs choses que nous devons comprendre pour savoir pourquoi elles se sont mal passées aujourd'hui."

Verstappen a enfin souligné la difficulté de dépasser sur le tracé de Marina Bay : "Mais ici, même si vous avez plus de rythme, vous ne pouvez pas dépasser sans qu'il se passe quelque chose d'inhabituel. Donc je pense que la deuxième place était le maximum possible."

George RUSSELL | Mercedes

Vainqueur du Grand Prix de Singapour, George Russell a exprimé toute sa satisfaction au moment de retrouver le sommet après un week-end parfaitement maîtrisé.

"C'est une sensation incroyable, surtout après ce qui s'était passé il y a quelques années. C'était une occasion manquée, mais nous nous sommes largement rattrapés aujourd'hui."

Le pilote Mercedes a tenu à souligner la performance de son équipe : "Je suis tellement reconnaissant envers l'équipe. Elle a fait un travail incroyable ce week-end. Nous ne savons pas vraiment d'où vient cette performance, mais je suis vraiment, vraiment heureux."

Russell a également évoqué les difficultés rencontrées au début du week-end : "Le vendredi a été une journée très difficile pour moi pour de nombreuses raisons et je n'étais pas à l'aise, mais au moment de la Q3, je me sentais très bien dans la voiture et c'est là que ça compte."

Enfin, il est revenu sur sa gestion du départ et de la première partie de course : "J'étais un peu nerveux au départ en voyant Max en pneus tendres, mais ce premier relais a été excellent de notre part et nous avons creusé l'écart."

Lewis HAMILTON | Ferrari

Lewis Hamilton a écopé d'une pénalité de cinq secondes pour avoir dépassé à plusieurs reprises les limites de piste dans les derniers tours du Grand Prix de Singapour, alors qu'il tentait de contenir Fernando Alonso dans la lutte pour la septième place.

Le pilote Ferrari, en difficulté avec ses freins avant, avait coupé plusieurs virages pour rallier l'arrivée, conservant quatre dixièmes d'avance sur l'Aston Martin. Mais la sanction infligée après course le fait reculer au huitième rang, Alonso étant promu septième.

Les commissaires ont expliqué : "Lors de l'audition, le pilote a confirmé qu'il était sorti de piste à plusieurs reprises. Il tentait de gérer un problème de freins. Cela étant, après enquête et conformément à la liste d'exemptions prévue par les directives sur la conduite, les commissaires ont estimé que ce n'était pas une raison valable et ont appliqué la pénalité habituelle pour ce type d'infraction. Cette décision n'a pas été contestée par le représentant de l'équipe ni par le pilote."

Oscar PIASTRI | McLaren

La victoire de George Russell à Singapour a été marquée par un épisode tendu au sein de McLaren, où Lando Norris et Oscar Piastri se sont accrochés dès le premier tour. Si l'écurie a assuré son dixième titre constructeurs, les échanges à chaud comme les déclarations après-course illustrent une gestion délicate de cette rivalité interne.

Dès le contact entre les deux McLaren, Piastri a réagi fermement à la radio : "Oui, enfin ce n'était pas très esprit d'équipe, mais bon…"

Il a ensuite ajouté : "Donc on est d'accord avec le fait que Lando me pousse dehors, ou ? C'est quoi la logique là ?"

Son ingénieur lui a alors répondu : "On est en train de regarder, on revient vers toi."

Quelques instants plus tard, l'équipe a clarifié sa position : "Pas d'action supplémentaire des commissaires. En tant qu'équipe, nous voyons que Lando a dû éviter Verstappen, donc nous ne prendrons pas de mesure pendant la course. Nous pourrons revoir ça plus tard."

À quoi Piastri a répliqué : "Ce n'est pas équitable. Désolé, ce n'est pas équitable. [...] S'il doit éviter une autre voiture en percutant son coéquipier, alors c'est une façon vraiment merdique d'éviter."

Après l'arrivée, Piastri est resté mesuré devant les médias, insistant sur la nécessité de revoir les images : "Évidemment, une course difficile, un premier tour difficile. Je n'ai pas vu la vidéo, je sais juste ce que j'ai vécu dans la voiture, donc je vais aller regarder. C'est évidemment une grande soirée pour toute l'équipe. Pas la course que j'espérais, mais pour l'équipe, ce soir est l'aboutissement de beaucoup de travail, pas seulement cette année mais depuis plusieurs années. C'est un moment dont je suis très fier de faire partie, et un moment dont toute l'équipe peut être fière."

Concernant l'incident : "Oui, je pense que nous devons en parler. Je ne crois pas qu'il y ait eu une intention de contact, mais il y en a eu, et je dois regarder les images pour voir exactement ce qu'il s'est passé."

Interrogé sur d'éventuelles nouvelles règles internes avec Norris, il a répondu prudemment : "Je ne sais pas. Je n'ai pas vu l'incident depuis les caméras télé. Je dois regarder ça avant de dire quoi que ce soit."

Enfin, sur la suite : "Je pense qu'il faut simplement tirer les leçons de ce week-end et voir ce qui peut être amélioré. Globalement, le week-end a été très bon. Les essais se sont bien passés, les qualifications aussi, la course j'ai peut-être été un peu lent à me mettre en route, mais je pense que le rythme était plutôt bon."

De leur côté, Zak Brown et Andrea Stella ont cherché à calmer les tensions. Le directeur exécutif a relativisé l'incident : "Comme à chaque week-end de course, on revoit tout. On dirait que Max et Lando se sont touchés ou ont dû ralentir, donc c'était clairement une action animée au virage 3. De la course, une course dure. Quand vous avez trois ou quatre voitures empilées, ça arrive. On regardera ça plus en profondeur lundi, mais c'était clairement de la course dure."

Andrea Stella, directeur de l'équipe, a confirmé qu'il n'y aurait pas de changement d'approche : "Les deux pilotes étaient déjà en condition de courir et de poursuivre leurs ambitions. Nous resterons dans la continuité de cette approche. À chaque course, nous apprenons un peu, nous ajustons, mais ce sont des détails. Il y aura une continuité dans la poursuite du championnat pilotes. Le fait d'avoir gagné le championnat constructeurs ne change pas l'approche."

Quant à Norris, il a minimisé l'incident : "C'était glissant. Il y avait encore beaucoup d'endroits humides. Mais c'est la course. Je me suis mis à l'intérieur, j'ai eu une petite correction, mais rien de plus. C'était du bon pilotage."

McLaren

À l'issue du Grand Prix de Singapour, qui a vu McLaren décrocher un dixième titre mondial des constructeurs, le directeur exécutif de l'écurie, Zak Brown, a félicité le travail de Stella, ses pilotes et de toutes les petites mains de chez McLaren puis est revenu sur la performance de ses deux pilotes, Oscar Piastri et Lando Norris.

"Ils ont piloté brillamment toute la saison. On ne peut pas gagner le championnat constructeurs sans deux pilotes de course exceptionnels."

Le dirigeant américain a insisté sur la liberté accordée à ses pilotes de se battre en piste, malgré des situations parfois tendues : "Comme vous pouvez le constater, nous les laissons courir. Là, c'était un peu plus tendu, mais ils se battent fort, ils se battent proprement, ils se battent pour gagner."

Brown a enfin projeté la suite de la saison, confiant dans la capacité de ses pilotes à poursuivre sur cette lancée : "Il reste encore beaucoup de courses à disputer et, espérons-le, beaucoup d'autres victoires pour chacun d'eux."

George Russell s'élancera en pole position du Grand Prix de Singapour, après avoir signé un tour en 1:29.158 avec sa Mercedes. Il devance Max Verstappen, deuxième sur la Red Bull, et Oscar Piastri, troisième avec McLaren. Son coéquipier Lando Norris partira juste derrière, au cinquième rang. Le quatrième sera Antonelli, auteur d'une belle performance avec sa Mercedes.

Pierre Gasly et Alexander Albon devront quant à eux partir depuis la voie des stands. Le Français a vu le fond plat de son Alpine remplacé par une spécification différente, en plus de changements sur la suspension en régime de parc fermé. De son côté, le Thaïlandais a également enfreint l'article 40.9 en modifiant les réglages de suspension de sa Williams après les qualifications. Les deux pilotes sont donc exclus de la grille et prendront le départ depuis la pitlane.

Alexander ALBON | Williams

Comme Pierre Gasly, Alexander Albon partira depuis la voie des stands à Singapour. Les commissaires ont constaté une modification des réglages de suspension de sa Williams alors que la voiture était sous régime de parc fermé, en violation de l'article 40.9 du règlement sportif 2025. La sanction impose un départ depuis la pitlane, conformément à l'article 40.9a.

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