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Il y a 13 h

Détails sur le Grand Prix de F1 du Mexique 2025

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 Mexique | Mexico

Pneus
C2
C4
C5
Mexique
Course 20/24
FP1 24/10/2025 20:30
FP2 25/10/2025 00:00
FP3 25/10/2025 19:30
Qualifications 25/10/2025 23:00
Course 26/10/2025 21:00

 FALC (Faits à la con)

Troisième circuit le plus court de la saison, derrière Zandvoort et Monaco, il a cependant la plus longue distance de la pole au premier freinage (811 m).
De par son altitude, le niveau d'oxygène au circuit est à 78 % de celui au niveau de la mer. Il y a un effet sur les moteurs et l'aérodynamique.
Créé en 1821, le drapeau mexicain a son usage régi et encouragé par la loi (Ley Sobre el Escudo, la Bandera y el Himno Nacionales de 1984).

 Les données sur le circuit

 Infos générales

Premier Grand Prix : 1963
Sens : horaire
Nombre de tours : 71
Nombre de zones DRS : 3

 Distances

Longueur du circuit : 4.304 km

Ou encore... 32 119 canettes de 250 mL de Red Bull couchées

Longueur de la course : 305.354 km

Ou encore... 2 278 761 canettes de 250 mL de Red Bull couchées

 Virages

Nombre de virages : 17
Nombre de virages à gauche : 7
Nombre de virages à droite : 10

 Les stands

Vitesse limite dans les stands : 80 km/h
Distance d'allée des stands sous limiteur de vitesse : 378.00 m
Temps nécessaire pour purger un Drive-Through : 17.00 s

 Chronos

Tour en course le plus rapide : 1:17.774 (Valtteri Bottas, 2021)
Tour le plus rapide : 1:14.758 (Max Verstappen, 2019)

 Pole position

Côté de la pole position : gauche
Distance de la pole au premier freinage : 811.00 m

 Accélérateur et boîte de vitesses

Temps à pleine charge : 53 %
Distance à pleine charge : 68 %
Consommation d'essence : faible
Nombre de changements de vitesses en un tour : 51

Données F1 et Mercedes-AMG F1 Team, aucune affiliation ou autre. Ces données étaient valables avant que le Grand Prix de F1 ne se déroule.
Les éléments ont pu évoluer après le week-end de course : changement de tracé, nouveau record et etc.

Données 2024 qui doivent être mises à jour en 2025.

 Les données pneumatiques Pirelli

 Pneumatique et piste

Evolution de la piste (FP1 aux qualifs) : élevée
Abrasion de l'asphalte : 2/5

Données 2024 qui doivent être mises à jour en 2025.

 Résultats du Grand Prix de F1 de Mexique 2025

Pos. Pilote (Constructeur) Temps Pos. grille Gain/perte pos.* Meilleur tour Points
1 L.Lando NORRIS (McLaren) 1:37:58.574 1   1:20.764 (T.45) 25
2 C.Charles LECLERC (Ferrari) +30.324 2   1:21.588 (T.45) 18
3 M.Max VERSTAPPEN (Red Bull) +31.049 5   2 1:21.108 (T.50) 15
4 O.Oliver BEARMAN (Haas) +40.955 9   5 1:20.705 (T.51) 12
5 O.Oscar PIASTRI (McLaren) +42.065 7   2 1:20.422 (T.53) 10
6 A.Andrea Kimi ANTONELLI (Mercedes) +47.837 6   1:20.826 (T.58) 8
7 G.George RUSSELL (Mercedes) +50.287 4   3 1:20.052 (T.50) 6
8 L.Lewis HAMILTON (Ferrari) +56.446 3   5 1:20.601 (T.50) 4
9 E.Esteban OCON (Haas) +1:15.464 11   2 1:21.869 (T.65) 2
10 G.Gabriel BORTOLETO (Sauber) +1:16.863 16   6 1:21.121 (T.39) 1
11 Y.Yuki TSUNODA (Red Bull) +1:19.048 10   1 1:21.486 (T.44)
12 A.Alexander ALBON (Williams) (T.70) 17   5 1:20.480 (T.45)
13 I.Isack HADJAR (Racing Bulls) (T.70) 8   5 1:21.714 (T.44)
14 L.Lance STROLL (Aston Martin) (T.70) 19   5 1:20.593 (T.45)
15 P.Pierre GASLY (Alpine) (T.70) 18   3 1:22.271 (T.43)
16 F.Franco COLAPINTO (Alpine) (T.70) 20   4 1:21.342 (T.50)
17 C.Carlos SAINZ (Williams) Abandon (T.67) 12   5 1:20.098 (T.48)
Ab F.Fernando ALONSO (Aston Martin) Abandon (T.34) 14 1:21.708 (T.22)
Ab N.Nico HÜLKENBERG (Sauber) Abandon (T.25) 13 1:23.091 (T.14)
Ab L.Liam LAWSON (Racing Bulls) Abandon (T.5) 15 1:25.124 (T.4)

Les actus concernant le Grand Prix de F1 de Mexique 2025

Les brefs concernant le Grand Prix de F1 de Mexique 2025 (37)

Le développement des pneus Pirelli 2026 s'est conclu au Mexique, sur le circuit Hermanos Rodríguez, avec deux journées d'essais consacrées aux composés les plus tendres de la future gamme. Après Gabriel Bortoleto mardi, Valtteri Bottas et Frederik Vesti ont pris le relais mercredi, chacun au volant d'une monoplace "mule" adaptée aux dimensions des pneumatiques (toujours en 18 pouces) qui seront légèrement plus étroits que ceux utilisés actuellement.

La première journée, menée par Bortoleto sur une Sauber C45, a permis d'évaluer les composés C3 à C6. Le Brésilien a couvert 136 tours (585 km) et signé un meilleur chrono en 1:19.089, dans des conditions stables et chaudes (jusqu'à 51 °C en piste). Les ingénieurs de Pirelli ont d'abord comparé les écarts de performance entre les gommes avant de prolonger les relais jusqu'à quinze tours afin d'étudier la dégradation.

Le lendemain, Bottas a poursuivi le travail au volant d'une Mercedes W16 spécialement préparée. Le Finlandais a principalement concentré son programme sur le C3, avec des relais longs destinés à mesurer l'usure et la constance du rendement. Il a bouclé 112 tours pour un total de 693 km parcourus avec Vesti, qui a pris le relais en fin de journée pour tester plusieurs structures de pneus sur des séries de dix tours. Le Danois a réalisé un meilleur temps en 1:19.657, tandis que Bottas a signé une référence en 1:18.204, sans que ces chronos soient comparables en raison de programmes distincts.

Au total, 1 278 km ont été couverts au Mexique sur deux journées, concluant un programme de quinze sessions d'essais entamé début 2024 sur sept circuits. La prochaine étape aura lieu à Abou Dhabi les 9 et 10 décembre, lors des essais post-saison réunissant l'ensemble des équipes, avant la validation finale prévue le 15 décembre. Ces pneus de nouvelle génération, toujours en 18 pouces mais plus étroits, doivent équiper les Formule 1 à partir de la saison 2026.

Lewis HAMILTON | Ferrari

Relégué de la troisième à la huitième place à cause d'une pénalité de dix secondes pour avoir quitté les limites de piste dans un duel avec Verstappen, Lewis Hamilton a reconnu sa déception tout en retenant quelques points positifs de sa course à Mexico.

"C'était amusant au départ, mais ça ne s'est pas terminé comme je l'espérais. C'est ça, la course. En dehors de la trajectoire, la piste était très sale et j'ai fait de mon mieux pour ramener la voiture en sécurité sur le circuit. C'est tout ce que je pouvais faire. Il y a malgré tout du positif : nous avons marqué quelques points, au moins."

S'il espérait un nouveau podium après sa belle qualification, Hamilton repart du Mexique avec un goût amer, conscient que la Ferrari avait le rythme pour viser mieux avant cet incident décisif.

Charles LECLERC | Ferrari

Deuxième du Grand Prix du Mexique, Charles Leclerc s'est montré à la fois soulagé et heureux après un week-end solide pour Ferrari. Le Monégasque, en difficulté avec la dégradation de ses pneus dans les derniers tours, reconnaît que la VSC du dernier tour lui a permis de conserver sa place face à Verstappen.

"Très heureux de ce week-end. Austin avait déjà été très positif, mais terminer à nouveau sur le podium ici est une excellente surprise. Je suis vraiment heureux d'être de retour sur ce podium incroyable."

Et sur la VSC de fin dans son duel avec Verstappen derrière lui : "J'étais plutôt content de la VSC à la fin ! Mes pneus étaient complètement détruits et je voyais Max revenir avec les tendres. C'était difficile, mais la VSC m'a sauvé sur la fin."

Avec cette deuxième place arrachée avec beaucoup d'efforts, Leclerc signe son troisième podium consécutif et confirme le regain de forme de Ferrari. Une performance solide qui lui permet de conforter la Scuderia dans la bataille des constructeurs.

Max VERSTAPPEN | Red Bull

Troisième à l'arrivée du Grand Prix du Mexique, Max Verstappen a reconnu un départ extrêmement mouvementé, marqué par un risque d'accrochage et un manque d'adhérence avec ses pneus mediums. Le quadruple champion du monde estime néanmoins que ce podium reste un bon résultat pour Red Bull.

"Le début de course a été très mouvementé pour moi. J'ai failli avoir un accident. Tout le monde autour était en pneus tendres, alors que nous étions en mediums, donc c'était un peu une lutte. Il s'agissait surtout de survivre au premier relais. Une fois les pneus tendres montés, nous étions un peu plus compétitifs et plus à l'aise. Le week-end a été difficile pour nous, mais terminer en bagarre pour la deuxième place après tout ce qui s'est passé dans les premiers tours, c'est un très bon résultat."

Et on avis sur la VSC qui lui a avorté ses chances d'aller chercher Leclerc en fin de course : "Parfois la voiture de sécurité joue en votre faveur, parfois contre vous. C'est comme ça, on gagne certaines fois et on en perd d'autres."

Interrogé ensuite par Sky Sports F1, Verstappen a livré une analyse plus large sur la situation de Red Bull face à McLaren : "C'est bien d'avoir des avis différents, mais le plus important est que nous devons être plus rapides. Nous avons fait de très bonnes courses, mais même sur celles que nous avons gagnées, si on regarde la gestion des pneus, McLaren reste très forte. Sur un week-end où ils ont plus de rythme globalement, nous n'avons aucune chance. Les pneus tendres commençaient à s'user et cela aurait donné une belle bataille jusqu'à la fin, mais c'est comme ça. Parfois la voiture de sécurité ou la VSC joue pour vous, parfois contre vous. J'étais très enthousiaste à l'idée de me battre avec Leclerc : nos duels sont toujours de belles batailles."

Verstappen, troisième derrière Leclerc et Norris, a conclu un week-end éprouvant par un podium arraché avec sang-froid. Loin d'être au niveau attendu, Red Bull limite ainsi la casse avant les quatre dernières manches d'une saison plus disputée que jamais.

Oscar PIASTRI | McLaren

Cinquième à l'arrivée du Grand Prix du Mexique, Oscar Piastri a reconnu une course difficile passée dans le sillage d'autres monoplaces et perturbée par le manque d'adhérence dans l'air sale. Le pilote australien veut surtout retenir les enseignements techniques de ce week-end pour rebondir.

"J'ai eu l'impression d'être derrière quelqu'un pendant toute la course, à lutter avec l'air sale, et c'était assez difficile. Le plus important pour moi aujourd'hui, c'était d'apprendre les choses que je voulais comprendre. Hier, après la séance, il est devenu évident que je devais changer plusieurs aspects de ma façon de piloter. Aujourd'hui, il s'agissait à la fois de limiter la casse et de travailler là-dessus. Si j'ai progressé un peu dans ce domaine, j'en serai satisfait."

"Évidemment, quand votre coéquipier gagne la course, finir cinquième n'a rien d'extraordinaire. Ces deux dernières semaines, j'ai dû piloter très différemment – ou plutôt, je ne l'ai pas fait alors que j'aurais dû. C'est un peu déroutant, car je conduis exactement de la même façon que depuis le début de la saison."

"Simplement, ces deux derniers week-ends, la voiture ou les pneus, ou peut-être les deux, demandaient une approche assez différente, et je ne me suis pas vraiment adapté à cela. J'ai essayé de changer un peu aujourd'hui, et une fois que nous aurons analysé si cela a porté ses fruits, cela devrait nous aider à progresser."

"La voiture n'a évidemment pas changé depuis un moment, donc ce n'est pas lié à elle. Vu la différence de rythme, il est clair que Lando a trouvé plus facilement la bonne manière de l'exploiter, alors que moi non. Mais il faut se rappeler que sur les 19 autres courses, ma manière de piloter a très bien fonctionné. Il s'agit d'ajouter quelques outils à ma boîte à outils, pas de me réinventer."

Lucide, Piastri assume ce passage à vide et préfère aborder le reste de la saison comme une opportunité d'apprentissage. Tandis que Norris s'installe en tête du championnat, l'Australien se concentre sur l'analyse de sa conduite pour retrouver rapidement sa pleine maîtrise et, qui sait, peut-être aller le chercher, ce sacre mondial !

Lando NORRIS | McLaren

Auteur d'un week-end parfait, Lando Norris a remporté le Grand Prix du Mexique 2025 avec maîtrise. Entre satisfaction et sérénité, le Britannique a salué le travail de McLaren tout en appelant à la continuité, malgré quelques sifflets du public lors de son interview d'après-course.

À la radio, son ingénieur Will Joseph l'a félicité : "P1 mon pote, un week-end absolument fantastique du début à la fin."

Le Britannique a répondu avec calme et fierté : "Oui, un superbe week-end. Bravo à tous. Résultat incroyable, voiture formidable. Merci pour tout le travail fourni — il faut continuer comme ça, vraiment continuer."

Au micro de la F1, Norris a ensuite résumé sa course avec le même ton posé : "J'adore ça. Quelle course. J'ai simplement gardé les yeux devant, concentré sur ce que j'avais à faire. Une course assez simple pour moi, exactement ce que je voulais. Bon départ, bon envol, bon premier tour et tout s'est enchaîné. J'ai eu un bien meilleur départ que ceux autour de moi. C'est ma première victoire au Mexique, et elle est magnifique."

Interrogé ensuite sur le championnat, Norris a été brièvement hué par une partie du public, sans se départir de son calme : "Un week-end après l'autre. Je suis heureux, concentré sur moi-même. Je garde la tête baissée, j'ignore tout ça, je reste dans ma bulle. Pour l'instant, ça fonctionne, donc je suis content."

Le nouveau leader du championnat a conclu son week-end mexicain dans la maîtrise. Rendez-vous au Brésil pour connaître la suite du feuilleton !

La FIA a publié le document définitif figeant la grille de départ du Grand Prix du Mexique 2025.

Lando Norris est donc bien en pole position devant les Ferrari, avec Russell en embuscade devant Verstappen et Antonelli. Piatsri n'est que P7, et encore, il bénéficie de la pénalité de Sainz.

Le Grand Prix du Mexique 2025 promet un scénario stratégique complexe, où la gestion des pneumatiques sera déterminante à plus de 2 200 mètres d'altitude. Lando Norris partira en pole après un tour exceptionnel, devant les Ferrari de Leclerc et Hamilton, puis George Russell et Max Verstappen, en difficulté d'adhérence. Mais sur ce tracé, la course se gagne rarement le samedi.

Comme à Austin, Pirelli a introduit une gamme de gommes "bridgée" avec le C2 en dur, le C4 en médium et le C5 en tendre. Selon les simulations du manufacturier italien, la stratégie la plus rapide devrait être un arrêt unique médium vers tendre, avec une fenêtre de ravitaillement optimale entre les tours 42 et 48. Ce choix demande toutefois une gestion rigoureuse, car la chaleur annoncée (26 °C ambiant, plus de 50 °C en piste) pourrait compromettre la fin de course sur le composé tendre. En cas de dégradation trop forte, les équipes pourront basculer sur un médium puis dur plus conservateur, avec un arrêt entre les tours 26 et 32.

Le départ pourrait jouer un rôle clé. Avec une ligne droite de 830 m jusqu'au premier freinage et un DRS peu efficace à cause de l'air raréfié, certains pourraient tenter le pari du tendre au départ pour gagner quelques positions. Les variantes tendre vers médium (arrêt entre les tours 23 et 29) ou tendre vers dur (tours 20 à 26) restent plausibles, notamment pour Ferrari ou Mercedes, qui pourraient diviser leurs choix entre pilotes.

À l'arrière du peloton, une deux arrêts tendre-médium-tendre n'est pas plus lente sur le papier, mais la difficulté à dépasser limite sa viabilité. Seul une Safety Car précoce pourrait offrir une opportunité aux retardataires de chausser les durs et rallier l'arrivée avec un long relais, comme l'a expliqué Mario Isola : "S'il y a une voiture de sécurité au premier tour, quelqu'un pourrait chausser les durs et tenter d'aller jusqu'au bout. C'est un risque, à cause non seulement de la dégradation mais aussi de l'usure."

La course s'annonce donc ouverte : un seul arrêt devrait rester la norme, mais la combinaison entre chaleur, altitude et faible effet du DRS pourrait piéger ceux qui surestiment la durabilité de leurs pneus.

Lewis HAMILTON | Ferrari

Troisième des qualifications au Mexique, Lewis Hamilton a retrouvé le haut de la grille aux côtés de son coéquipier Charles Leclerc. Le Britannique, visiblement heureux et détendu, a salué le travail collectif de Ferrari après plusieurs semaines marquées par une certaine frustration.

"C'est la première fois de l'année que nous sommes tous les deux [Leclerc et moi] dans le top 3 en qualifications, et l'équipe le mérite vraiment. Nous travaillons aussi dur que possible. La voiture n'a pas forcément progressé en développement, mais nous en tirons davantage et nos processus sont meilleurs. P3 est en quelque sorte la position idéale sur ce circuit, donc j'espère pouvoir en profiter. Notre rythme de course n'est pas mauvais. Difficile de le mesurer avec certitude, mais nous allons tout donner pour faire une belle course."

Souriant et détendu, Hamilton a semblé renouer avec une dynamique positive, saluant le travail collectif de Ferrari et affichant un optimisme mesuré avant la course. Une attitude contrastant avec son humeur plus sombre observée ces dernières semaines. Pourvu que ça dure !

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